“Car” est aussi plus utilisé à l'écrit. Finalement, “car”, à la différence de “parce que”, est toujours précédé d'une virgule. Et on ne le trouve pas en début de phrase ! D'ailleurs, “car” ne répond pas à la question “pourquoi ?” Dans ce cas, on doit utiliser “parce que”.
- Car introduit une justification de ce qui est énoncé dans la proposition qui précède et se rapproche plutôt de puisque qui exprime la conséquence : 'Pierre n'a pas été renvoyé, car il est l'ami de Jean'.
Les conjonctions de coordination ne doivent pas s'employer en début de phrase ; si cette règle peut souffrir quelques exceptions, essentiellement pour des raisons stylistiques, s'agissant de mais, donc ou et, il n'en va pas de même pour car.
Parce que peut aussi être placé en début de phrase : Parce que j'ai découvert ce groupe de musique j'ai fait beaucoup de progrès en anglais. Parce que, si je ne le fais pas maintenant, personne ne le fera à ma place. et est utilisé dans un sens négatif, pour dénoncer ou bien remettre en cause, se plaindre etc.
On écrit « par ce que » lorsqu'on cherche à répondre à la question « par quoi ? » et écrit « parce que » lorsqu'on cherche à répondre à la question « pourquoi ? ». Le mot « parceque » n'existe pas en français.
MAIS, OU, ET, DONC, OR, NI, CAR sont des conjonctions de coordination. Elles coordonnent ou lient deux mots ou deux propositions de nature ou de fonction identiques.
« Car » est une conjonction de coordination et permet de donner une explication, une raison, une cause. « Parce que » a le même sens que « car » mais est généralement employé pour répondre à une question commençant par « pourquoi ». Exemple : « Pourquoi ne vas-tu pas à la fête ce soir ?
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
Comme la conjonction car introduit une explication ou une justification, elle est généralement précédée d'une virgule : Les gens économisent, car ils ont peur de perdre leur emploi. Elle a dû renoncer aux travaux d'aiguille, car elle fait de l'arthrite.
En utilisant la conjonction car, on souhaite généralement introduire une explication ou une justification. Tout comme la conjonction mais, la conjonction car est précédée le plus souvent d'une virgule : Exemples : Je serai en retard, car j'ai eu un problème de voiture.
La conjonction car permet d'indiquer une idée de cause entre les deux éléments (jamais davantage) de même nature et même fonction, qu'elle coordonne. En conséquence, les conjonctions « donc » et « car » ne sont jamais répétées, et se placent simplement devant le second élément.
CAR: indique une cause. Exemple : Il mange du poulet car il a faim. Consigne : Inscrivez la bonne conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car).
- Parce que permet de répondre à la question "Pourquoi ?" - Puisque permet de justifier ou d'expliquer ce qu'on va dire par une raison évidente (l'autre personne l' a dit elle-même ou on sait qu'elle connaît déjà le fait).
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Les termes et structures qui expriment la cause sont : parce que, puisque, comme, car, en effet, étant donné (que), vu (que), du fait de, en raison de, faute de, sous prétexte que, suite à, à cause de, grâce à, pour et par.
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
adv. Marque une opposition; cependant, pourtant, toutefois, malgré tout.
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ». Phrase correcte.
Étant donné que. En considérant que, puisque. Exprime la cause. Attendu que, car, comme, puisque, etc.
Elle a froid, c'est pourquoi elle tremble. Dans l'exemple précédent, "c'est pourquoi elle tremble" exprime la conséquence de la première proposition. Elle a froid donc elle tremble. Dans l'exemple précédent, "donc elle tremble" exprime la conséquence de la première proposition.
Lorsque la cause est mensongère ou s'il s'agit d'une excuse, on emploie "sous prétexte que". Exemple : Il arrivait chaque jour en retard sous prétexte que sa montre retardait. Il est introduit par les locutions prépositives : à cause de(du), en raison de (du), grâce à, à force de + nom.
Car, à la différence de parce que, est toujours précédé d'une virgule. Car en effet n'est admis que dans le cas très rare où en effet signifie « dans la réalité, dans les faits » : il peut l'imposer, car en effet et non plus seulement en théorie il en a maintenant le pouvoir.
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
Les termes et structures qui expriment la conséquence sont : donc, alors, ainsi, en conséquence, par conséquent, c'est pourquoi, si bien que, de manière que, de façon que, de sorte que, si … que, tellement … que, au point de/que, à tel point que, un tel … que, une telle … que, de tels … que, de telles … que, il suffit ...