La consommation d'alcool occasionne une altération des fonctions hépatiques pouvant potentiellement réduire l'élimination des composés toxiques associés au traitement. La conséquence va être une toxicité accrue caractérisée par une augmentation des effets indésirables (nausées, vomissements, diarrhées).
Pour préserver ses reins, la personne malade aura pour recommandation d'augmenter sa consommation en eau tout au long de son traitement. Cela aura l'effet d'intensifier l'élimination des médicaments par les reins ce qui permettra d'en diminuer la toxicité.
Outre le cancer du sein chez la femme, il augmente le risque de contracter un cancer de la cavité buccale (bouche), du pharynx (gorge), de l'œsophage, du foie, du larynx et du côlon/rectum (gros intestin et rectum). La consommation d'alcool n'est jamais sans risque.
Même sans être un très gros consommateur ou alcoolo-dépendant, la consommation d'alcool a une influence sur le développement de nombreuses pathologies : cancers, maladies cardiovasculaires et digestives, maladies du système nerveux et troubles psychiques...
pour les consommateurs quotidiens, de ne pas dépasser un verre par jour et d'essayer d'avoir des jours dans la semaine sans consommation ; pour les consommateurs occasionnels, de ne pas dépasser 2 verres par occasion, d'avoir au moins 2 jours sans consommation dans la semaine et de ne pas dépasser 7 verres par semaine.
Une consommation modérée de vin rouge pourrait prolonger la durée de vie. Une étude hollandaise a, notamment, mis en évidence qu'un verre de vin par jour permettrait de vivre 3,8 années de plus par rapport aux hommes ne buvant pas de vin. L'étude révèle également que le risque de démence sénile se réduirait de 85%.
Pour limiter ce risque et protéger votre santé, il est recommandé : de ne pas boire plus de 2 verres par jour. de ne pas boire tous les jours de la semaine. de ne pas dépasser 10 verres d'alcool par semaine.
Après 20 minutes, l'alcool atteint le foie par l'intermédiaire de sang. Le foie commence à l'assimiler. C'est le foie qui traite en majorité l'alcool, à savoir à 95 %. Les 5 % restants finissent dans les urines, la sueur et l'haleine.
Après avoir suivi plus de 11.000 hommes en bonne santé pendant 14 années, des chercheurs ont en effet constaté que les personnes qui boivent en moyenne 7 verres par semaine ont 30 % de risques en moins de présenter un taux de créatinine élevé (signe d'une fonction rénale défaillante) par rapport à ceux qui consomment ...
Heureusement, il y a de bonnes nouvelles. Chez les personnes souffrant de stéatose hépatique, après seulement deux à trois semaines d'arrêt de consommation d'alcool, le foie peut guérir et semble fonctionner aussi bien que s'il était tout neuf.
En moyenne, le corps élimine de 0,1 à 0,15‰ par heure. L'alcool est éliminé en majeure partie par le foie. Jusqu'à 10% environ de l'alcool peut être éliminé par les poumons, les reins et la peau. L'élimination de l'alcool par le foie se fait grâce à différentes enzymes.
Des études de référence attribuent 17% des cancers du sein à la consommation d'alcool régulière, même modérée.
Les récits justifient donc un arrêt ou une abstention de chimiothérapie ou de radiothérapie quand « le traitement risque d'être plus délétère que la maladie » (med 7), « quand assez, c'est assez » (Harrington, 2008 :2267).
Il est prouvé que pratiquer une activité sportive est bénéfique pour favoriser la rémission et limiter les risques de récidive. Mais le sport est également excellent pour éliminer les toxines de l'organisme. Alors si vous le pouvez, essayez de pratiquer une activité physique régulièrement.
Pourquoi arrête t-on la chimiothérapie au bout de trois protocoles ? On arrête la chimiothérapie au bout de trois protocoles car elle est extrêmement toxique pour l'organisme. En effet, elle agit sur toutes les cellules de l'organisme, y compris les cellules saines.
Pourquoi ? Ce type de chimiothérapie, en cycles successifs, est basée sur les capacités différentes de récupération des cellules souches normales et tumorales. En effectuant des cures successives, on permet aux cellules souches normales mais aussi aux cellules cancéreuses de "récupérer".
Entre 60 et 98 ml/min/1,73 m2, on parle d'une insuffisance rénale chronique légère. En dessous de 60 ml/min/1,73 m2 c'est le signe d'une maladie des reins entraînant une insuffisance rénale plus sévère.
Les boissons alcooliques augmentent la tension artérielle, ce qui privilégie l'apparition de l'insuffisance rénale. Ainsi, l'alcool est également néfaste pour la régénération du tissu cellulaire, les tissus qui constituent son organisme sont agressés.
La clairance de la créatinine chez la femme est comprise entre 80 et 130 mL/min.Chez l'homme, elle est de 90 à 140 mL/min. La clairance de la créatinine est diminuée en cas d'insuffisance rénale et son taux est corrélé à la gravité de cette insuffisance.
La règle d'or est de choisir un alcool clair pour minimiser la gueule de bois. Alors si ces options semblent être les pires, ce sont en réalité les meilleures. J'ai nommé Vodka, Gin, et Saké. Plus un alcool est clair, moins il contient d'impuretés liées à la fermentation que notre corps a du mal à assimiler.
Pressez un citron dans un grand verre d'eau tiède à chaude et buvez le à jeun. Patientez au minimum 30 minutes avant de prendre votre petit déjeuner pour laisser le temps au citron de faire son travail : épurer le foie. Et enfin, l'artichaut, qui stimule la production de la bile et aide à éliminer les toxines du foie.
Les dimensions de personnalité les plus souvent associées à l'alcoolodépendance sont la recherche de sensations, la personnalité antisociale et la recherche de nouveautés. La recherche de sensations apparaît comme un déterminant particulièrement important.
l'alcoolisme mondain qui est souvent lié aux relations sociales. Il s'agit d'une consommation régulière, presque quotidienne, qui ne va pas forcément jusqu'à l'état d'ivresse avancé. Souvent, les personnes ne se rendent pas compte qu'elles sont alcooliques. Il faut commencer par évaluer sa consommation.
La consommation excessive d'alcool
S'il faut 2 à 4 semaines de consommation régulière excessive pour que le taux de Gamma-GT soit plus élevé que les valeurs de référence de laboratoire, il faut par contre 25 jours après la dernière consommation pour que ce taux baisse ou diminue de moitié.
Un petit verre de vin n'a jamais fait de mal à personne. Toutefois, boire une bouteille entière par semaine augmenterait fortement les risques de développer un cancer selon une nouvelle étude.