Cette subite poudre d'escampette n'était pas pour leur déplaire. Le nez au vent, ils grignotaient tout sur leur passage, «en particulier les cordages et la coque du bateau». Ils causèrent ainsi de nombreux naufrages, interdisant depuis l'évocation du mot «lapin» à bord, source de malédiction.
Autrefois, les cargaisons des bateaux étaient saisies avec des cordages en chanvre. Des lapins qui par accident s'étaient échappés de leur cage pouvaient donc les ronger, provoquant ainsi indirectement le naufrage du bateau par déplacement de la cargaison dans les cales provoquant une déstabilisation et la gîte.
C'est ainsi qu'au fil du temps, le mot « lapin » s'est trouvé prohibé à bord des bateaux. Et s'il est vraiment nécessaire de l'évoquer, certaines expressions sont admises : « bête à longues oreilles », « cousin du lièvre » ou encore « langoustine des prés ».
Si vous prononcez ces deux mots à bord d'un bateau, vous risquez fort de vous retrouvez aux fers façon Pirate des Caraïbes (sans Johnny Depp). Sur un bateau, on ne dit jamais, les mots "corde" et "lapin". Pour "corde", dites plutôt “bout” (en prononçant le "t"). Vous pouvez aussi dire “écoute”, "filin", manœuvres…
Pour éviter toutes frustration physique et sentimentale et autres tensions, les femmes étaient donc interdites à bord, sous prétexte de porter malheur. Elles attisaient les convoitises, les jalousies, les passions et les tentatives de viol, tout en semant la zizanie entre les membres d'équipage.
Pour eux, le vert était synonyme de moisissures sur les aliments donc de maladies et de famine en pleine mer. Du ver qui ronge le bois des coques des bateaux, également de très mauvaise augure pour les marins, à la couleur verte il n'y a eu qu'un pas qui n'a fait qu'achever la réputation du vert.
Parce que la seule corde présente sur un bateau est celle de la cloche, servant à saluer les marins défunts. Pas très joyeux donc. Si l'on ajoute à cela le fait que la corde servait également à pendre les mutins, on comprend vite que le mot n'était pas synonyme d'évènement gai.
Pas de Bananes à bord
Au 17eme – 18eme siècle, il y avait beaucoup de navires transportant ce fruit sucré et exotique depuis les Caraïbes en Europe. Quelques-uns étaient tellement en surcharge qu'ils coulèrent. Une autre idée est que les insectes tropicaux vivant dans les régimes de bananes avaient infesté les cargos.
Emporter des oeufs durs à bord, c'est signe de grand malheur, car la Bigouden qui préparait le frichti pour son mari de marin pêcheur, lorsqu'elle en était très amoureuse, elle lui concoctait de bons petits plats, pour sa gamelle de la journée…
Nommer un bateau. Donner un nom à son bateau est obligatoire pour qu'il puisse être identifié rapidement en cas d'urgence ou lors des diverses procédures, qu'elles soient administratives ou autres. C'est la raison légale.
Certains mots et dictons portaient malheur à bord, notamment « noyé », « au revoir » et « bonne chance » . Les choses liées à la terre étaient considérées comme portant malheur si elles étaient mentionnées, comme l'église, les cochons, les renards, les chats. , et les lapins.
La chaleur et le confinement peuvent être source de mal de mer. Évitez de rester dans votre cabine et restez sur le pont, à l'air libre. Vous pouvez également vous placer au centre du bateau, qui est l'endroit le plus stable.
Les marins croyaient généralement que siffler à bord d'un bateau était synonyme de mauvais temps . On disait que le sifflement défiait le vent et le faisait augmenter, ce qui pouvait provoquer une tempête. Chanter sur un bateau peut aussi avoir été interdit pour la même raison.
En effet, autrefois, les cargaisons des bateaux étaient arrimées avec des cordes en chanvre. Des lapins échappés de leur cage pouvaient donc les ronger, provoquant le naufrage du bateau lorsque les caisses cognaient les parois dans les cales.
1) Des lapins embarqués à bord d'un navire se sont échappés, et ont grignoté les amarres du fret qui a glissé, et fait chavirer le navire. 2) Chez les Vikings, grands marins, le lapin est un animal maudit. Même sa peau était interdite à bord.
Elle signifie «ne pas rétribuer les faveurs d'une femme». Le verbe «poser» désignant argotiquement «faire attendre» et le terme «lapin», «un libertin en herbe laissant les filles de petite vertu sans payer le prix convenu», indiquait en 1889 Lorédan Larchey dans son Nouveau supplément du dictionnaire d'argot.
Depuis des lustres les pêcheurs ont tendance à être superstitieux, ainsi si on vous souhaite affectueusement "une bonne pêche" cela porterait malheur ou qu'il serait de mauvais augure de mettre une épuisette dans l'eau avant d'avoir fait une prise...
Respectez l'intérieur du bateau : Si le bateau dispose d'un coin salon ou d'une cabine intérieure, il est d'usage d'enlever vos chaussures avant d'entrer à l'intérieur . Cette pratique permet de maintenir la propreté et l'hygiène des espaces intérieurs du bateau.
Le Miroir :
Casser un miroir est un signe de malchance. Les miroirs étaient connus pour être le refuge des esprits, et en casser un pouvait libérer un démon captif donc briser un miroir apporterait sept ans de malheur.
Une fois ingérée, elle entraine donc une libération d'acidifiants dans l'organisme, ce qui a comme effet de perturber la digestion. De plus, en raison du taux de glucides qu'elle contient (25 % t, elle provoque un pic de glycémie, ce qui peut favoriser le stockage des graisses dans l'organisme.
A noter que la banane peut apporter jusqu'à 26% de la quantité de mélatonine recommandée par jour, ces niveaux élevés de mélatonine pouvant parfois provoquer des frayeurs nocturnes. Trop de mélatonine peut donc avoir l'effet inverse de l'usage auquel elle est destinée.
Le bout noir des bananes est souvent considéré comme indésirable, mais en réalité, il est tout à fait comestible. Il s'agit simplement d'une partie de la peau de la banane qui devient plus foncée à mesure qu'elle mûrit.
Les cordes sur un bateau sont appelées lignes. Il existe différents types de lignes, notamment les lignes d'amarrage, les lignes de quai et les lignes de remorquage . Chaque type de ligne a un objectif spécifique. Par exemple, les amarres sont utilisées pour arrimer le bateau à un quai ou à un autre navire.
Le lexique maritime, adapté à une tâche précise, distingue chaque cordage en fonction de son utilisation : grelin, amarre, filin, garcette, hauban, écoute, aussière, drisse, élingue… Le mot générique actuellement plus fréquemment utilisé, est celui de bout, avec prononciation du « t » final.