La cortisone est une molécule qui n'a aucune interaction avec le soleil. Elle peut donc être utilisée comme le reste de l'année, sans adaptation à la saison.
Si le médicament concerné est sensible, les réactions chimiques entraînées par l'exposition peuvent produire des substances toxiques ou allergisantes, on parle alors de photosensibilisation.
Les dermocorticoïdes sont largement utilisés dans le traitement de certaines affections cutanées, aiguës ou chroniques. Selon une idée reçue encore très répandue, ces crèmes et pommades seraient photosensibilisantes et donc à ne pas utiliser avant ou pendant une exposition au soleil.
Effets indésirables cutanés
trophiques (= fragilité de la peau) avec notamment vergetures, ecchymoses (certaines formes étant appelées purpura de Bateman, voir photo), sécheresse cutanée et difficultés pour cicatriser. infectieux : infection de la base des poils par exemple.
Prise de poids, fragilisation de la peau, fonte musculaire ou ostéoporose sont les effets secondaires que connaissent beaucoup de patients sous cortisone à haute dose. D'autres effets, neuropsychiatriques, sont moins connus bien que fréquents.
Il est recommandé de boire un grand verre d'eau après une bouffée de cortisone pour en éliminer les résidus.
Augmenter les aliments riches en Potassium, pour limiter la rétention d'eau : Bananes, figues, abricots secs, autres fruits secs et graines oléagineuses, légumes-racines.
La cortisone a déjà, à elle seule, de nombreux effets indésirables possibles. Ceux-ci sont augmentés par la consommation d'alcool pendant le traitement.
La cortisone induit peu d'interactions médicamenteuses et peut donc être associée à la plupart des autres médicaments.
Certains médicaments ou dispositifs médicaux sont à utiliser avec prudence en cas de traitement par corticoïdes : - les anti-inflammatoires dits « non stéroïdiens » (aspirine, ibuprofène…) ont, comme les corticoïdes, de possibles effets indésirables digestifs.
La cortisone est une molécule qui n'a aucune interaction avec le soleil. Elle peut donc être utilisée comme le reste de l'année, sans adaptation à la saison.
Comment maigrir après un traitement de cortisone ? Une des solutions est d'avoir un régime alimentaire adapté, c'est-à-dire riche en protéines, en potassium, en vitamines et en calcium, mais pauvre en graisses, en sucres, et surtout en sel, pour éviter la prise de poids et l'hypertension artérielle.
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique. Les effets secondaires dépendent de la dose et de la durée du traitement. Plus la dose est élevée, plus le traitement est long et plus le risque d'effets indésirables augmente.
La cortisone est une hormone naturelle synthétisée dans la zone corticale (externe) des glandes surrénales à partir du cholestérol. Les corticoïdes sont des hormones synthétiques fabriquées par les laboratoires pharmaceutiques.
La cortisone exerce une activité immunosuppressive locale, utile dans le cadre de pathologies faisant intervenir le système immunitaire comme l'eczéma. Elle permet de faire disparaître les plaques rouges et suintantes, les plaques rouges et gonflées, les plaques épaisses.
La prednisone est en fait une prodrug (en français prodrogue) de la prednisolone. Cela signifie que la prednisolone est la forme active dans l'organisme. Les glucocorticoïdes ont surtout un effet anti-inflammatoire et immunosuppresseur. La prednisone (et prednisol) inhibe les glandes surrénales.
- Cette étude confirme l'augmentation de la pression artérielle systolique associée à la baisse de la fréquence cardiaque en cas de traitement corticoïde. La relation inverse entre ces deux paramètres suggère un mécanisme adaptatif physiologique par baroréflexe (réponse de type hypertension/bradycardie).
Description : les corticoïdes induisent fréquemment une prise de poids lorsqu'ils sont pris durant plusieurs semaines ou mois. Cette prise de poids est habituellement modérée, de l'ordre de 1 à 2 kilos.
Les corticoïdes ou cortisone sont utilisés dans l'arthrose lors des poussées douloureuses aigues inflammatoires en infiltrations intra articulaires (genou, epaule, hanche, pied, main etc.).
La dépendance à la cortisone peut être d'origine physique et/ou psychique. Lorsque la prise du médicament est arrêtée, cette dépendance se manifeste par une réapparition des symptômes de la maladie, parfois en association avec le développement d'un état anxieux ou dépressif qui disparait si le traitement est repris.
Si des symptômes tels que douleurs abdominales, fièvre ou troubles inhabituels du transit (diarrhées, constipation) apparaissent sous corticoïdes, n'hésitez pas à les signaler à votre médecin. On sait que ces troubles digestifs peuvent vous amener à prendre de façon moins régulière votre traitement par corticoïdes.
Dans les inflammations cutanées (eczéma, éruptions, etc.), la potentille tormentille (Potentilla erecta) pourrait remplacer la cortisone et éviter ses effets secondaires, selon une récente étude.
Enfin, certains médicaments (antibiotiques, antidépresseurs, cortisone, etc.) et la tension psychique (stress, panique, peur, etc.) peuvent induire une transpiration excessive.
Résumé La toxicité digestive des anti-inflammatoires non stéroïdiens est bien démontrée et dominée par les lésions gastriques et duodénales, bien que des cas de plus en plus nombreux de toxicité intestinale aient également été rapportés.
Lorsqu'il existe des symptômes, il peut s'agir d'une sensation de soif inhabituelle et/ou d'une envie fréquente d'uriner. Fréquence : certaines études ont évalué à 5 à 10% le pourcentage des patients traités par corticoïdes et ayant développé un diabète après plus d'un an de traitement.