Le kirpan (API : /kɪrˈpɑn/) (pendjabi : ਕਿਰਪਾਨ) est une arme symbolique s'apparentant à un poignard, portée par les sikhs orthodoxes pour rappeler le besoin de lutter contre l'oppression et l'injustice. Le kirpan est porté sur une ceinture de toile appelée gatra.
Les Sikhs croient en un seul Dieu éternel et créateur selon le principe "Ik-On-Kar" - que l'on peut traduire par "une seule conscience créatrice manifestée". La religion renonce aux jeux de hasard et à la consommation de viande, d'alcool et de tabac afin de parvenir à la "mukti", c'est-à-dire la "libération".
Le turban permet de tenir les long cheveux du sikh, qu'il ne coupe jamais, selon la règle du Kesh, par respect pour la perfection de la création de Dieu. Il contient le Kangha, un peigne en bois symbolisant le fait que le sikh prend soin de ses cheveux.
Le kesh ou kes est la pratique du sikhisme qui consiste à ne pas couper ses cheveux (ni aucun poil du corps), à les laisser croître naturellement comme symbole de respect pour la perfection de la création de Dieu.
n'est pas un signe ostentatoire religieux au sens de la loi précitée.
La religion sikhe est strictement monothéiste. Ses adeptes croient en un seul Dieu suprême, absolu, infini, éternel, créateur, la Cause des causes, sans inimitié, sans haine, à la fois immanent et transcendant. Il est appelé : le Guru suprême (ou en langage courant, « Quel Dieu ! »).
Les hommes ainsi initiés sont appelés « Singhs » (lions) et, au fil du temps, sont tenus, en tant que membres du Khalsa, de rester fidèles aux cinq kakas (les cinq K) : de ne jamais se couper ni les cheveux ni la barbe (kesh) et de porter un peigne (kangha) symbolisant la propreté, un bracelet de métal (kara), une ...
Quand vous apercevez un sikh, le turban identifie cette personne comme quelqu'un qui va se tenir debout pour ces droits, même si vous n'êtes pas d'accord avec lui. Jagmeet Singh dit que son turban est un symbole d'unité et une balise de compassion envers les autres.
Issu du mot sanskrit sinha, Singh signifie « lion ». On retrouve ce terme dans le nom de la cité-État de Singapour, qui est « la ville du lion ». En Inde et partout dans le monde, tous les Sikhs hommes s'appellent Singh tandis que les femmes se nomment Kaur (« princesse »).
Le turban noir est un couvre-chef, accessoire traditionnel dans les pays chiites. C'est une partie de l'habit de tout théologien chiite descendant du prophète de l'islam Mahomet par l'un de ses deux petits-fils, Al-Hassan ibn Ali ou Al-Hussein ibn Ali, fils de Fatima Zahra.
Le Guru Granth Sahib est le livre saint des Sikhs, qui le considèrent comme leur Guru (ou maître spirituel) éternel, autrement dit la représentation de Dieu devant les fidèles.
Om (ou Aum ॐ) est un des symboles les plus sacrés de l'hindouisme : il est utilisé comme préfixe et parfois suffixe aux mantras hindous. Il est considéré comme la vibration primitive divine de l'Univers qui représente toute existence ; ainsi : « La syllabe Om est Brahman. (...)
Depuis quelque temps, une association organise un concours intitulé “Mister Singh International”, qui est réservé aux sikhs enturbannés. Les candidats doivent participer entre autres à une épreuve intitulée “Mon turban, ma fierté, mon identité”, où ils sont jugés sur leur façon de nouer le tissu sur leur tête.
L'athée ne croit pas à l'existence de Dieu; l'agnostique croit que nous sommes incapables de savoir s'il existe ou non. Bien que le terme « agnosticisme » ait été inventé par T.H. Huxley (1825-1895), le point de vue est très ancien, remontant aux sceptiques grecs.
Il est porté par les Arabes, nomades ou sédentaires. Chez les Kurdes, le turban fut jadis surmonté d'une crinière.
Drogues: les consommations d'alcool, de drogue, de tabac sont prohibées. Adultère: la fidélité est de rigueur dans le sikhisme.
POURQUOI LES INDIENNES PORTENT-ELLES UN POINT ROUGE SUR LE FRONT ? Le tilak, tika ou pottu est une marque portée sur le front par des Indiens. C'est une marque censée porter bonheur, appo- sée au cours d'une cérémonie religieuse ou en guise de bien- venue ou bien le tilak indique l'appartenance à un groupe re- ligieux.
Puja dans le bouddhisme
Dans le bouddhisme, la puja désigne un rituel d'offrandes. Il exprime de la gratitude envers le bouddha, ou une déité, forme pure de l'esprit, telle que Tchenrézi, personnifiant la compassion, Manjushri, la sagesse, etc.
Le bouddhisme a lui aussi ses dieux. Pourtant, contrairement à l'hindouisme, les bouddhistes ne vénèrent pas ces dieux. L'idée même d'un Dieu créateur est obsolète. Dieu n'est qu'en fait l'ensemble du monde, il n'est en rien créateur ou protecteur des hommes, il représente le tout et le rien, l'universel.
Ils ont dû tester différentes couleur d'habit il y a très longtemps et préférer les couleurs sombres ! Cela dit, la véritable explication de l'habit noir (ou bleu marine) des bédouins réside dans ''l'effet ventilation''. Pour maintenir une température constante de 37 C, l'organisme utilise la transpiration.
Quand le Soleil tape, on s'habille en général en blanc car cette couleur réfléchit mieux le rayonnement. Pourtant, les nomades du désert portent aussi des vêtements noirs.
A température égale, un habit noir est plus chaud qu'un vêtement clair, car il absorbe toute la lumière, qui se transforme en chaleur. Mais les Bédouins ont une astuce pour ne pas avoir trop chaud. Quelle que soit la température extérieure, notre corps doit se maintenir à 37°C. C'est le rôle de la transpiration.
En effet, les couleurs claires (blanc, bleu, jaune...) ont tendance à garder un maximum de lumière tout en offrant une protection moindre. À l'inverse, les teintes foncées (gris, noir...) protègent très efficacement contre les UV, mais créent une ambiance un peu plus sombre.