"Poutine sait que s'il perd cette guerre, il va perdre le pouvoir, voire la vie, parce que c'est lui qui est personnellement responsable de son déclenchement", souligne Galia Ackerman. "Son départ n'est plus qu'une question de temps", tranche Mikhaïl Khodorkovski.
De son côté, le ministère de la Défense ukrainien, qui tient un décompte quotidien des dommages infligés aux troupes russes sur son territoire, recensait 55 510 morts au 22 septembre. Soit un chiffre qui va du simple au décuple entre le bilan officiel avancé par Moscou et celui revendiqué par Kyiv.
La guerre froide, commencée entre 1945 et 1947, s'était achevée le 26 décembre 1991 avec la dissolution de l'URSS. L'après-guerre froide s'est conclu le 24 février 2022 avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
L'Ukraine gagne du terrain, les Russes ripostent avec des frappes massives...
Grâce à une immense superficie de terres arables, la première en Europe hors Russie, et en particulier grâce à ses terres noires, très fertiles, l'Ukraine est incontestablement une puissance agricole. Sa production de blé se classe dans les dix premières mondiales.
C'est bête d'attaquer l'Ukraine parceque comme il a appartenue a la Russie ce cerait comme attaquer sa propre famille . il est mechant! Comment s appelle la bombe nucléaire et est ce que elle peut détruire une partie de la planète ou toute entière ?
Pour que la stabilité de la zone euro-atlantique soit assurée, il est indispensable que l'Ukraine soit forte et indépendante. Nouées au début des années 1990, les relations avec ce pays ont évolué jusqu'à constituer l'un des partenariats de l'OTAN les plus substantiels.
Après des mois d'affrontements internes sur fond de tensions diplomatiques, l'Ukraine a été envahie par la Russie le 24 février 2022. Une agression militaire unilatérale décidée par Vladimir Poutine et condamnée par l'assemblée générale des Nations unies.
La Russie a lancé dans la nuit du 23 au 24 février 2022 une offensive militaire sur l'Ukraine. L'ONU considère que cette attaque est une violation de l'intégrité du territoire et de la souveraineté de l'Ukraine. Elle est contraire aux principes de la Charte des Nations Unies.
On constate que les pays qui ont le plus aidé l'Ukraine sont ses voisins : l'Estonie (0,830% du PIB), devant la Lettonie, la Pologne et la Lituanie. Les États-Unis sont septièmes (0,216% du PIB), l'Allemagne est 13ème (0,082% du PIB) et la France 19ème (0,045% du PIB).
« L'armée russe régresse depuis le début de cette guerre, analyse l'historien militaire Michel Goya. Au fil des mois, ses capacités se sont dégradées alors que l'armée ukrainienne est montée en puissance.
Guerre en Ukraine : Le coût pour Kiev estimé à environ 1.000 milliards de dollars. Alors que la Russie mobilise de nouveaux combattants et que le conflit dure depuis sept mois, l'Ukraine vient de sortir sa calculette pour évaluer l'impact du conflit sur son économie.
La Russie va vraisemblablement perdre cette guerre commencée il y a un peu plus de six mois. En fait, elle a déjà perdu sur le plan géopolitique : son objectif existentiel de réintégrer dans sa sphère d'influence des Ukrainiens désormais tournés entièrement vers l'Ouest est à l'eau.
"Nos pertes à ce jour sont de 5.937 morts", déclare Sergueï Choïgou, ce 21 septembre dans une interview à la chaîne de télévision Russie-24, rapporte l'agence de presse Interfax. Selon le ministre de la Défense russe, les pertes ukrainiennes dépasseraient, disproportionnellement, les 100.000.
La guerre de la Russie pourrait probablement coûter jusqu'à un demi-milliard de dollars par jour. La guerre de la Russie pourrait probablement coûter jusqu'à un demi-milliard de dollars par jour.
Ces pays qui soutiennent encore la Russie de Poutine. Alors que l'invasion de l'Ukraine s'éternise, la Russie de Vladimir Poutine n'a jamais paru si isolée sur la scène mondiale.
En 1993, la Russie, la Biélorussie, l'Arménie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Kirghizistan et la Géorgie signent un accord-cadre d'union économique dans le cadre de la CEI (l'Ukraine et le Turkménistan s'y sont associés).
Cependant une guerre risque belle et bien de se produire en France. Les causes exactes sont encore incertaines. Beaucoup de personnes commencent à évoquer un soulèvement pour le printemps 2022 ! Peut-être qu'il y aura un rapport avec la crise sanitaire de 2020 liée au Covid 19 et ses confinements.
L'Ukraine ne fait, en effet, pas partie de l'espace Schengen, ne partage pas la politique de sécurité et de défense commune à l'Union (qui comprend notamment une clause de défense mutuelle entre ses Etats membres), ou encore ne s'est pas engagée à rejoindre l'euro.
Mais la principale cause de russophobie dans l'ancien « bloc de l'Est » et dans les républiques anciennement soviétiques est la géopolitique de la Russie et sa volonté de s'affirmer comme superpuissance en contrôlant son voisinage, comme en témoignent la guerre d'Ossétie de 1991-92, la guerre du Dniestr de 1992, la ...
La France "n'est pas en guerre contre la Russie" et veut "rester en contact" avec Poutine pour Macron. Le président a expliqué qu'il avait "choisi de rester" en liaison avec le dirigeant russe pendant le conflit avec l'Ukraine.
Allégation : la défense antimissile de l'OTAN représente une menace pour la sécurité de la Russie. Dans les faits : la défense antimissile balistique de l'OTAN n'est pas dirigée contre la Russie et ne peut porter atteinte aux capacités de dissuasion stratégique russes.
Dans les faits : l'OTAN est une alliance défensive, qui a pour mission de protéger ses membres. La politique officielle veut que « l'OTAN ne cherche pas la confrontation et ne représente aucune menace pour la Russie ». Ce n'est pas l'OTAN mais la Russie qui a envahi la Géorgie et l'Ukraine.
D'après l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI), la Russie comptait en janvier 2021 6.255 ogives, soit le nombre le plus important au monde. Face à elle, l'OTAN dispose d'un total de 6.065, répartis entre les USA (5.550), la France (290) et le Royaume-Uni (225).
Vladimir Poutine a affirmé dimanche à Emmanuel Macron qu'il "atteindrait ses objectifs" en Ukraine "soit par la négociation, soit par la guerre", mais nié s'en prendre aux civils et assuré qu'il n'attaquerait pas les centrales nucléaires, a indiqué la présidence française.