des nausées légères à fortes avec vomissements ; des maux de têtes ; une perte de repère ou une disparition des réflexes ; une perte de conscience, aussi appelé « G-hole », pouvant conduire jusqu'au coma (conséquences potentiellement mortelles).
Le GBL est une molécule chimique, contenue dans certains solvants industriels, destinés aux professionnels : il s'agit d'un produit très efficace pour nettoyer les jantes de voiture ou les peintures (en particulier les tags).
La dose habituellement consommée est d'environ 1 gramme dilué dans une boisson (eau ou soda) pour atténuer son goût salé. On le trouve plus rarement sous forme de poudre blanche en capsules. Dans les deux cas, il est destiné à être dilué. Le GBL est un liquide visqueux incolore.
Le GBL n'est pas classé comme stupéfiant mais il est soumis à une partie de la réglementation des stupéfiants. l'arrêté du 2 septembre 2011 notamment interdit la vente et la cession au public de la Gamma-Butyrolactone (GBL).
Il se consomme en grande majorité par voie orale mais il peut aussi être injecté (mode de consommation plus marginal). Le GHB est une drogue classée comme stupéfiant, exception faite des préparations injectables réservées à un usage hospitalier.
Le sevrage nécessite du diazépam à doses très importantes (> 150 mg/24 h), conformément aux rares éléments de la littérature. Une dépendance physique aux benzodiazépines s'installe avec majoration parallèle des consommations d'alcool (35 UI/j) « compensant » selon lui l'absence de GBL.
de la difficulté à parler; des vomissements; des battements de cœur lents, irréguliers ou rapides; une perte de conscience.
L'acide gammahydroxybutyrique, plus connu sous le nom de GHB, est une drogue de synthèse utilisée initialement en médecine pour traiter la narcolepsie. Il est également efficace comme anesthésiant préopératoire.
JBL est une entreprise américaine crée en 1946 par James Bullough Lansing spécialisée dans la fabrication d'enceintes acoustiques.
Le principal risque connu est la dépendance au GHB. Parmi les autres effets à long terme signalés, il y a : l'amnésie.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
Piqûre au GHB : quels risques pour la santé ? Administré à faible le dose, le GHB va avoir des effets similaires à une prise d'alcool comme une désinhibition et un état d'euphorie. Mais, mélangé à de l'alcool, le GHB va plus rapidement provoquer des overdoses.
Les "drogues du violeur", à savoir le GHB, la kétamine, mais aussi le Rohypnol et le Zolpidem, deux puissants hypnotiques, permettent aux agresseurs de commettre l'irréparable pus facilement. Généralement utilisées en soirée, les substances sont versées dans le verre de la future victime à son insu.
L'excitation, l'hyperactivité et l'agitation qu'elle provoque peuvent être à l'origine d'une insomnie et d'un épuisement physique. La dilatation des pupilles, la bouche sèche, un langage précipité, une mauvaise coordination des mouvements, et des sautes d'humeur permettent souvent de repérer les consommateurs.
Parfois, les comprimé d'ecstasy peuvent contenir d'autres drogues et substances. Effets: Sous l'influence de l'ecstasy, on peut se sentir plus alerte et plus en harmonie avec son environnement. On se sent heureux, calme et l'on éprouve des sentiments chaleureux envers les autres.
Le GHB, vendu en pharmacie sous le nom de Xyrem, peut être prescrit aux personnes atteintes de cataplexie (perte soudaine du tonus musculaire) associés à une narcolepsie, qui prennent le médicament à l'heure du coucher pour réduire la somnolence diurne.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend. Mais le cannabis est beaucoup plus dosé qu'autrefois. Selon son pays d'origine, sa concentration peut être conséquente", alerte-t-elle.
Sensations de malaise, tête qui tourne, bouffées de chaleur, "trous noirs", nausées, amnésie ou encore trouble du comportement sont rapportés par les victimes. Mais toutes ne ressentent pas forcément la piqûre : certaines constatent une trace de piqûre à postériori des effets, d'autres non. Les effets sont variables.
Plusieurs données restent encore floues, notamment la cause des symptômes évoqués par les victimes. Les enquêteurs tentent d'établir si les piqûres sont liées à des injections de drogues comme le GHB, dite "drogue du violeur".
En cas de piqûre en soirée, vous pouvez ressentir des symptômes qui vous font penser avoir été drogué : nausées, vomissements. vertiges, bouffées de chaleur. malaise, tête qui tourne.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Souvent décrite comme la "drogue de l'amour", la MDMA favorise la communication verbale et non verbale, par les sens, en particulier le toucher (effet entactogène). Elle donne aussi l'impression de pouvoir se mettre à la place des autres et de s'en rapprocher physiquement et psychologiquement (effet empathogène).
Le plaisir est constitutif de la drogue. Tous les travaux de recherche neurologique en attestent, les drogues activent les circuits de récompense du cerveau, comme le sexe, la nourriture ou le sport, et procurent donc du plaisir. De ce point de vue, c'est donc un plaisir tout à fait comme un autre.