travailler son cœur et cultiver sa vie spirituelle, intérioriser et méditer la vie du Christ, offrir du temps à Dieu, lui confier ses intentions.
Prêche le Rosaire ; c'est une arme très puissante contre l'enfer, et un bouclier impénétrable contre les traits de l'ennemi. Quiconque récitera dévotement le Rosaire croîtra en grâce, s'il est juste, et deviendra digne de la vie éternelle.
Un chapelet est un objet de dévotion religieuse généralement constitué de grains enfilés sur un cordon formant un cercle. Utilisé dans diverses traditions religieuses (sous des noms différents), le chapelet permet de compter, en égrenant les grains, des prières récitées de manière répétitive.
Pour que la prière s'installe comme toile de fond de toute l'existence. Depuis le XVe siècle, l'Église a enseigné à prier le chapelet en gardant au cœur les « mystères », les grands moments de la vie de Jésus.
Connaître les jours de prière des mystères du rosaire
Par habitude, les mystères joyeux sont récités le lundi et le samedi, les douloureux le mardi et le vendredi, les lumineux le jeudi et les glorieux le dimanche (sauf pendant le carême ou l'avent).
Le chapelet en Asie
Le chapelet originel indien est dénommé « mala », ce qui signifie en sanscrit : collier de méditation, car il est souvent porté autour du cou. Dans le bouddhisme, il comporte 108 graines ou perles, correspondant aux 108 noms du bouddha.
Le grain de chapelet en bois est le grain qui allie le mieux durabilité, praticité, prix. Le contact avec le bois est très agréable, ils ne risquent rien, et sont plus durables.
Quand les chrétiens réciteront les 3 Ave Maria pour rappeler les privilèges qu'elle reçut de la Sainte Trinité, pouvoir que lui concéda le Père, sagesse que lui communiqua le Fils et la miséricorde par laquelle l'Esprit-Saint la combla, des grâces leur seront accordées.
Pour ce faire, le chapelet fait office de symbole de dévotion. Il sert de repère dans la pratique. En effet, une personne qui prie avec un chapelet se sert des grains pour réciter sa prière, de manière répétitive : à chaque grain correspond une prière bien précise.
La seule condition requise à la prière est de se mettre à sa disposition dans l'humilité. Un Notre Père pourrait suffire pour lancer la conversation. « [Jésus] leur répondit : Quand vous priez, dites : Père, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour.
Prier Marie est le meilleur moyen de se rapprocher de Jésus, de l'aimer et de le servir. Les Écritures donnent trois titres à Marie : femme, mère et vierge. C'est à partir de ces trois aspects de son être que l'on comprendra la place à part qu'occupe Marie.
Il n'y a pas de différence réelle entre le rosaire et le chapelet. L'un complète l'autre en ce sens que le rosaire ne saurait se faire sans le chapelet. D'une façon simple, nous dirons qu'un chapelet est un objet de dévotion. Il est constitué de perles (grains enfilés en collier sur un cordon).
Les bréviaires du XVI e siècle joignent ces deux formules et donnent à la prière sa formulation actuelle : un bréviaire parisien de 1509, un bréviaire trinitaire de 1514, franciscain de 1525, chartreux de 1562. Elle est finalement introduite dans le bréviaire romain en 1568 par le pape Pie V.
Sur le Premier grain, on dit le Notre Père puis sur les trois grains suivants : trois Je vous salue Marie et le Gloire au Père, hommage d'amour et d'adoration à la Trinité. dans les siècles des siècles. Amen. » Gloire au Père qui termine chaque dizaine.
ROSAIRE. n. m. Grand chapelet qu'on dit à l'honneur de la Vierge et qui est composé de quinze dizaines d'Avé, chacune précédée d'un Pater. Dire son rosaire.
On attribue à Antoine le Grand, ermite dans le désert d'Égypte, l'invention du komvoskhinion, chapelet orthodoxe encore utilisé par les moines du mont Athos.
Il leur dit : Quand vous priez, dites : Père ! Que ton nom soit sanctifié ; que ton règne vienne. Donne-nous chaque jour notre pain quotidien ; pardonne-nous nos péchés, car nous aussi nous pardonnons à quiconque nous offense ; et ne nous induis pas en tentation. »
Je vous salue, Marie pleine de grâce ; Le Seigneur est avec vous. Et Jésus, le fruit de vos entrailles , est béni.
Le culte marial ou la dévotion mariale est la vénération que les catholiques et les orthodoxes portent à Marie, mère de Jésus. Dans les traditions catholique et orthodoxe, ce culte est appelé « hyperdulie » selon la définition qu'en a donnée le concile de Trente au XVI e siècle.
La liste des mystères joyeux du rosaire
L'annonciation. La visitation. La nativité La présentation de Jésus au Temple.
La célébration du Chemin de croix est très commune lors des vendredi du Carême, spécialement le Vendredi saint.
Le misbaḥa ou masbaḥa (arabe : مسبحة), également appelé sabḥa, subḥa ou encore