Les causes sont multiples : La chute de la tension artérielle ( hypotension orthostatique) lors du passage de la position couchée ou de la position assise à la position debout est due à des troubles du rythme cardiaque, des médicaments, une déshydratation ou une dénutrition, une anémie, etc.
Les crises migraineuses. La maladie de Ménière (maladie de l'oreille interne) La maladie de Parkinson. La sclérose en plaques.
Autres causes possibles : Les troubles de l'équilibre et les vertiges peuvent être dus à une migraine, une hypotension, la compression de nerf, des troubles musculaires, à la consommation d'alcool et de drogues, au mal des transports ou à certains médicaments (neuroleptiques, antidépresseurs, antiépileptiques…)
La pratique d'une activité physique (aquagym, tai-chi) pour entretenir l'équilibre. Des séances de rééducation avec le kinésithérapeute pour renforcer les membres inférieurs. Des rendez-vous récurrents chez votre médecin généraliste.
Les chutes de plein pied sont toujours liées à la combinaison de plusieurs facteurs : acteurs matériels, facteurs environnementaux, facteurs organisationnels, facteurs individuels. mauvais état des sols, systèmes d'accès aux véhicules et aux machines absents ou mal conçus, chaussures inadaptées ou abîmées.
Les causes sont multiples : La chute de la tension artérielle ( hypotension orthostatique) lors du passage de la position couchée ou de la position assise à la position debout est due à des troubles du rythme cardiaque, des médicaments, une déshydratation ou une dénutrition, une anémie, etc.
Le vertige est une sensation angoissante qui donne l'impression de tanguer, de perdre l'équilibre ou que tout tourne autour de soi. C'est une sensation très désagréable, inquiétante et répandue.
C'est la raison pour laquelle à Laval un rhumatologue a créé la première consultation dédiée à la marche instable. La consultation spécialisée permet d'identifier la cause des troubles de la marche. Pour le Dr Bernard Auvinet, rhumatologue et ancien médecin du sport, nos pas peuvent cacher des troubles préoccupants.
Les causes des troubles de l'équilibre les plus fréquentes sont : Certains traitements médicamenteux : antiépileptiques, neuroleptiques, antidépresseurs et certains traitements cardiaques. Une faiblesse des muscles. Des perturbations de l'oreille interne (l'organe de l'équilibre).
L'organe de l'équilibre est la partie vestibulaire de l'oreille interne. Il se compose de deux chambres, l'utricule et le saccule, et de trois canaux semi-circulaires (figure 16.1).
Les symptômes incluent des crises soudaines et non provoquées de vertiges invalidants sévères, des nausées et des vomissements, généralement avec des sensations de pression dans l'oreille et une perte auditive. En général, les médecins pratiquent des tests auditifs et parfois une imagerie par résonance magnétique.
Faiblesse musculaire (p. ex., causée par un accident vasculaire cérébral, utilisation de certains médicaments, myélopathie due à une spondylose cervicale, ou atrophie musculaire) Hydrocéphalie. Syndrome parkinsonien.
Elles peuvent être infectieuses, endocriniennes, neurologiques, inflammatoires, génétiques, rhumatologiques, liées à un médicament, etc. La faiblesse peut débuter dans l'enfance (myopathie génétique, par exemple) ou beaucoup plus tard dans la vie.
Un déséquilibre de l'oreille interne peut se manifester de différentes manières : des sensations de rotations du corps, des vertiges, mais aussi des tangages comme un bateau en mer, des instabilités comme après un premier verre d'alcool à jeun ou plus insidieusement une tête lourde ou des nausées permanentes.
Asseyez-vous ou allongez-vous et restez au calme le temps que l'étourdissement disparaisse, le risque étant de se blesser en tombant.
Les troubles de l'équilibre se font surtout sentir lors de la marche ou lorsque la personne se met debout. Ils peuvent être plus ou moins sévères (entraîner des chutes ou non), interférer avec les tâches quotidiennes, être associés à d'autres symptômes comme des douleurs, une faiblesse musculaire, des vertiges, etc.
de sources traumatiques (fractures, plaies, contusions, hématomes...) de sources psychologiques (peur de rechuter, désadaptation posturales, chute personnes âgée psychologie...) de manque de lien social (réduction des activités, repli sur soi...).
L'installation d'un éclairage suffisant, de barres d'appui, de sanitaires ergonomiques, de dispositifs antidérapants, etc. La mise en place de la téléassistance avec détecteur de chute, qui permet d'alerter les secours même si la personne est inconsciente ou seule chez elle.
Pour réduire les risques de glissades dans les escaliers, il importe que la surface des marches, ou du moins le nez de celles-ci, soit antidérapante. Du caoutchouc, du métal ou une peinture antidérapante peuvent être utilisés comme revêtements à cette fin.
Un environnement inadéquat à domicile
Un manque d'éclairage, des tapis non fixés, des fils électriques mal placés ou un plancher encombré sont tous des facteurs qui augmentent le risque de chuter.
Plus généralement, on entend par syndrome post-chute un ensemble de troubles psychologiques de l'équilibre et de la marche observés après une chute. Ce syndrome apparaît chez environ 15-20% des patients victimes d'une chute.
Restez calme et respirez profondément afin de vous détendre. Cela vous évitera d'agir dans la précipitation. Ensuite, bougez vos bras et vos jambes, pour vérifier que vous n'êtes pas blessé(e). Si vous ressentez une impression de malaise, attendez que cela passe avant d'essayer de vous redresser.