La raison principale de l'interdiction de l'intérêt est la stérilité de l'argent, l'infécondité du capital. Principe aristotélicien, l'argent, dit-on, n'a pas la faculté de s'accroître. Il ne fait pas de petits : Nummus nummum non parit.
Les intérêts perçus sur les prêts sont de l'usure car ils reviennent à exploiter quelqu'un qui est dans le besoin... et Dieu a interdit cette pratique.
Du point de vue étymologique, le mot Riba (nom arabe masculin) vient du verbe rabâ & arbâ qui signifie augmenter et faire accroître une chose à partir d'elle-même. Judaïsme, le Christianisme et l'Islam, ont condamné l'usure et le taux d'intérêt.
Selon la plupart des experts en religion musulmane, le crédit est haram et n'est donc pas autorisé. Plus précisément, c'est l'intérêt (riba) qui n'est pas autorisé. Un crédit peut donc être considéré comme tel notamment s'il s'agit d'un prêt immobilier.
Pour cette imam, dire que le Coran interdit l'islam est une « manipulation » : La musique, d'abord, est un art de l'islam. Non seulement elle n'est pas interdite, mais elle est même nécessaire s'agissant du tajwîd, qui est la science de la récitation et de l'incantation des versets coraniques.
Dans le cadre du sunnisme, la majorité des musulmans exclut de cette interdiction certaines musiques religieuses en raison de la place première du texte dans celle-ci. Ainsi, selon l'imam égyptien Mohamed Hassan, « le chant est une parole tant qu'il n'est pas accompagné d'instruments de divertissement et de musique ».
Abī Hind, de la part de ʿIkrima, ce que dit Ibn ʿAbbās, à savoir: 'On a fait descendre le Coran, en une seule fois, la nuit de la Détermination, jusqu'au ciel de ce monde; ensuite, on l'a fait descendre, après cela, durant vingt ans.
La solution la plus utilisée pour acheter sans riba un bien immobilier est le financement en utilisant une Mourabaha. Cette solution de financement est la plus utilisée par les banques Participatives afin de vous offrir la possibilité d'acheter sans riba.
On distingue deux principaux types de riba : le riba dans les échanges (vente/achat): riba al-buyu' et le riba dans les crédits : riba al-qurud. Riba al-buyu' se rapporte à un échange de biens de même nature, mais dans des proportions différentes soit en volume soit en valeur.
Le futur marié se rend avec sa famille chez les parents de la femme pour demander à son tuteur sa main et offrir des cadeaux (fleurs, pâtisseries, parfum, vêtements, bijoux, etc.) à sa future épouse.
Ibn Mandhûr le définit ainsi : « C'est la manière de vider ce qui reste (dans le canal urinaire) de l'urine, de purifier le lieu et le canal afin de les en acquitter tout comme on s'acquitte d'une dette.
Un prêt est considéré comme usuraire lorsque son taux annuel effectif global (TAEG, anciennement TEG) est supérieur au taux de l'usure. Le TAEG est le taux auquel on se réfère pour apprécier si une offre de crédit dépasse le seuil usuraire. Il comprend : le taux d'intérêt de base (ou taux nominatif)
Détérioration progressive par frottement, érosion, utilisation.
La banque islamique revend le bien à son client avec une marge de profit avec paiement immédiat ou échelonné. Toutefois l'actif acheté demeure propriété de la banque jusqu'au règlement du dernier versement. En second lieu, elle peut proposer des instruments à moyen terme comme l'ijara et l'istisna.
En tant que musulman, il nous est permis d'investir dans les actions (actions qui répondent à certaines conditions), l'immobilier (achat sans utilisation de crédit bancaire, SCPI, REIT) et les matières premières.
Il implique dans la vente et les transactions la fiabilité, l'honnêteté, l'absence de tricherie ou de mensonge. Les vendeurs doivent être sincères, honnêtes, tolérants. Ils ne doivent pas mentir ou cacher les défauts des produits/services qu'ils vendent. Le règlement par le consommateur doit être effectif.
Al Baraka, l'un des géants du secteur bancaire mondial, envisage lui aussi de s'installer en France. L'institution pourrait alors devenir l'une des plus grandes banques islamiques du pays. Al Baraka développe ses activités en Asie et en Afrique, ainsi que dans l'ensemble du Moyen-Orient.
Le prêt à intérêt étant interdit en finance islamique, la solution actuelle pour réaliser un crédit immobilier sans intérêt est d'utiliser le contrat Murabaha. En effet, ce contrat de vente est proposé en France par les banques spécialisées dans la finance Islamique.
En effet, une banque islamique se comporte comme une banque classique en collectant les dépôts de ses clients. Elle se sert ensuite de ces mêmes dépôts pour financer l'actif. Ce dernier lui permettra en fin de compte d'avoir des retours sur son investissement. Ainsi, elle pourra se rémunérer avec ses déposants.
Le vendredi étant choisi car jour de marché la veille du Sabbat, aussi connu sous le nom d'«arûba». Le culte, la prière, nécessitait d'interrompre les affaires (le marché) pour la prière. Il n'imposait pas un jour de repos dans un monde où il n'y avait pas une forte activité régulière, notamment chez les bédouins.
Avec un degré de certitude de 95,4%, l'analyse conclut que les deux feuillets manuscrits du livre sacré ont été rédigés entre 568 et 645 de notre ère. Or, dans la tradition islamique, Mahomet a vécu entre 570 et 632.
-La religion musulmane, appelée islam, est née au VIIe siècle, après l'hindouisme, le judaïsme, le bouddhisme et le christianisme. L'islam est apparu dans la péninsule Arabique, territoire qui correspond à peu près à l'Arabie saoudite actuelle.
La musique s'est révélée un moyen d'assurer la continuation esthétique de la civilisation musulmane. Et cette musique se nourrit de la dimension orale du Coran, qui est parole de Dieu transmise oralement.
Dans l'islam, les sahaba (en arabe : صَحابيّ ج صَحابة / ṣaḥābî pl. ṣaḥāba: compagnon) sont les musulmans de la première génération, qui se sont convertis du vivant de Mahomet et qui ont donc vécu avec lui. Ils ont par la suite été tenus pour des autorités en matière de hadith.
Manger, boire, fumer, avoir des relations sexuelles sont interdits aux musulmans pendant la journée au cours du mois du ramadan qui a commencé vendredi 1er avril. Cette période doit être consacrée à la prière.