Le but de la toilette mortuaire est de préserver la dignité du défunt mais aussi de lui donner une apparence naturelle afin d'aider les proches à appréhender le deuil de la façon la plus sereine possible.
Dans la religion juive, le corps du défunt reste intact par respect pour la sainteté de l'âme qui y a été reçue. Il faut donc éviter de le toucher. C'est pourquoi, à l'exception des rapatriements en Israël (obligation sanitaire), aucun soin de conservation n'est autorisé.
En quittant le cimetière, il est de coutume de se laver les mains sans les essuyer, le défunt reste ainsi avec ses proches par la pensée. Mettre un corps en terre est un acte sacré rendu obligatoire par la Tora. Ne pas inhumer un corps revient donc à priver son âme du repos et d'un bonheur éternel.
Lors du décès d'un proche, l'entreprise de Pompes Funèbres va demander à sa famille de lui fournir des vêtements afin de pouvoir habiller le défunt pour anticiper la présentation du corps, la mise en bière ou encore d'une éventuelle exposition du défunt en chapelle ou à cercueil ouvert.
La toilette mortuaire consiste à laver le corps, maintenir la bouche et les yeux fermés, coiffer et habiller le défunt avec les vêtements choisi par ses proches. Elle est effectuée par le personnel de la chambre mortuaire si le corps séjourne à l'hôpital, ou par le personnel des pompes funèbres.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
Les tissus sont entièrement brûlés, ce sont donc les os qui vont être réduits en cendres. Un pulvérisateur est utilisé pour réduire en cendres les parties calcaires des os qui ne brûlent pas.
Un business lucratif et opaque. Après la crémation des défunts, les restes sont pulvérisés, pour ne remettre que des cendres aux familles. Mais tout ne brûle pas. Prothèses en titane, dents en or, stérilets en cuivre… Autant de métaux qui ne peuvent être jetés.
En effet, en vertu de l'article 225-17 du code pénal, toute ouverture de cercueil sans autorisation est en principe constitutive d'une violation de sépulture et punie. L'ouverture d'un cercueil exige donc au préalable une autorisation judiciaire ou suppose une exhumation faite plus de cinq ans après le décès.
Les proches et la famille du défunt peuvent tout à fait assister à la mise en bière, à condition d'avoir prévenu l'entreprise de pompes funèbres. Toutefois, pour des raisons psychologiques, il est préférable de s'abstenir et de faire les derniers adieux avant la fermeture du cercueil.
Il est de coutume de couvrir les miroirs dans la maison de deuil pendant la période de Shiv'ah car la personne affligée ignore « son apparence physique et toutes les futilités afin de se concentrer sur l'essentiel qui est son âme... En voilant les miroirs, on symbolise son éloignement des regards de la société ».
Des hommes ont été enterré debout en revanche au Canada, en Argentine et en Israël.
Les conséquences de la mauvaise hygiène des mains sont nombreuses. Nous citons entre autres la fièvre typhoïde, le choléra, la poliomyélite, le rhume, les infections respiratoires aigües ou les pneumonies, etc.
L'histoire, d'abord racontée par la chaîne Tamil News, a depuis fait le buzz en Inde. Ce n'est pas la première fois qu'une personne est déclarée morte avant de se réveiller dans des conditions étonnantes. En août, une Américaine s'était réveillée dans un funérarium après avoir été déclarée décédée par un médecin.
Drôle de surprise lors d'un enterrement au Pérou. Rosa Isabel Cespede Callaca, une Péruvienne de 36 ans, s'est réveillée et a donné des coups sur la paroi de son cercueil au milieu de la cérémonie d'enterrement. Son cercueil a alors été ouvert. "Elle a ouvert les yeux et elle transpirait.
Elle peut aussi voir des choses que les autres ne voient pas ou bien leur parler (hallucinations). Elle peut essayer de sortir de son lit ou bouger davantage quand elle est couchée. Elle peut modifier complètement son cycle de sommeil et ainsi dormir le jour et rester éveillée la nuit.
Le sang peut alors rester dans les veines et les capillaires, mais, avec la décomposition, ceux-ci peuvent aussi rompre et le sang se disperse alors dans les tissus. Le sang va ensuite aussi se décomposer, les globules rouges éclatent généralement (ce qu'on appelle l'hémolyse) et sont dégradés.
Il était d'usage autrefois de choisir, dans la garde-robe du défunt, des vêtements élégants. Aujourd'hui, les mœurs évoluent. Autrement dit, si la tenue que votre proche affectionnait le plus est son jeans t-shirt, un jogging ou une robe en strass : nulle loi ne s'y oppose !
On pense parfois bien faire en leur cachant le décès d'un proche, mais ils ne manqueront pas de le sentir, à notre contact. Il est donc essentiel de leur dire la vérité. Tous les spécialistes de l'enfance s'accordent sur la question. Il n'y a pas d'âge minimum pour annoncer à un enfant la mort d'un proche.
Les cendres d'un corps adulte moyen pèseront environ 7-8 livres. La crémation n'est pas une alternative à un enterrement, mais plutôt un autre mode de disposition. Les cendres peuvent être dispersées ou enterrées, ou elles peuvent être conservées avec la famille dans une urne décorative.
(Les cendres sont constituées de sels de potassium, de calcium et de magnésium ainsi que d'oxydes de fer et de manganèse, qui leur donnent leur coloration.). » Comme vous pouvez le lire, la cendre est composée de sels et de minéraux qui donnent à cette poussière une couleur blanche ou grise.
Qu'est-ce que la crémation ? La crémation, parfois appelée incinération, consiste à incinérer le corps du défunt dans un crématorium. Les cendres sont ensuite recueillies dans une urne choisie au préalable par la famille et les proches avec le conseiller funéraire PFG.
En effet, les cendres du défunt sont assimilées à un corps, par conséquent, de la même manière que pour les inhumations sur des propriétés privées, il convient d'obtenir au préalable l'autorisation préfectorale évoquée précédemment. Il sera également nécessaire d'obtenir l'accord du propriétaire.
Pour organiser une crémation, il faut compter entre 1500 et 7000 euros. Ce tarif peut se varier selon les prestations choisies par les familles : cérémonies, chambre funéraire, salle de convivialité, fleurs, maître de cérémonie… Mais aussi le modèle d'urne.