Certains spots fonctionnent mieux à marée haute, d'autres à marée basse ; on peut quand même dire que sur les vagues de sable, il est plus facile d'apprendre à surfer à marée basse, car on a pied plus loin et les vagues sont plus longues.
On peut surfer quand le vent est très faible. La marée correspond au déplacement des masses d'eau lié à l'attraction de la lune et du soleil. Marée montante : Les conditions sont meilleures 2h à 4h après le début de la marée montante, mais dépendent toujours de la houle.
Plus le coefficient est élevé plus les vagues seront consistantes et rapides et meilleur sera le surf. Un coeff idéale est entre 50 et 70. A savoir qu'il vaut mieux surfer à marée basse quand les vagues sont petites (50cm), il y aura moins d'eau et les vagues se formeront plus facilement.
L'affluence et le bien-être d'aller surfer le matin
La raison la plus évidente est l'affluence sur les spots de surfs. En effet, le matin tôt il y a moins de monde à l'eau qu'a un autre moment de la journée. C'est pourquoi les surfeurs les plus motivés vont choisir d'aller surfer tôt le matin.
Prochaine marée haute à Anse de Lesconil est à 1:55 PM, qui est dans 6 hr 30 min 09 s. Prochaine marée basse à Anse de Lesconil est à 7:34 AM, qui est dans 9 min 09 s. L'heure locale à Anse de Lesconil est 7:24:51 AM.
La plage de la Torche de Plomeur est le plus connu des spots de surf bretons ! La Torche est une magnifique et immense plage de sable blanc, qui accueille de grandes compétitions sportives nationales et internationales.
C'est un spot très régulier qui marche toute l'année et accueille régulièrement des compétitions internationales de surf. Les meilleures conditions sont un vent d'Est et une houle d'Ouest, Sud-Ouest. C'est également un spot de wind et kite très réputé.
Pourquoi les surfeurs sont souvent très musclés ? Le surfeur passe en moyenne 85% de sa session à ramer pour passer la barre et remonter au line up. La rame permet de muscler les bras, le haut du corps et le buste ainsi que le mouvement de pompe qui permet de se relever sur sa planche.
Quelle est donc la période idéale ? Disons qu'il n'y a pas de période idéale. Une bonne période se situe aux alentours de 11/12 secondes de période. Pour espérer des vagues à peu près correctes, sur la plupart des spots, comptez une fourchette entre 8 secondes de période jusqu'à 15 secondes.
Pour faire court, un surfeur ou une surfeuse préfèrera généralement, une vague de 50 cm rapide et creuse plutôt qu'une vague de 1 m 50 molle et détériorée par le vent. Mais bon, les goûts et les couleurs… Si vous débutez, évitez les vagues de plus d'un mètre.
Webcam HD est le site de référence pour observer les vagues en temps réel de votre ordinateur. Coefficient de marée, taille de houle, période, direction du vent, maintenant que les prévisions météos n'ont plus de secret pour vous, vous allez pouvoir surfer sur le bon spot au bon moment !
L'eau, elle, n'accompagne que le mouvement vertical de l'onde. Mais pour que cette houle et ses vagues atteignent les côtes, il faut prendre en compte plusieurs paramètres : la force du vent, la durée du vent et la distance en mer sur laquelle souffle ce vent.
Plus l'angle d'une épaule est « raide », c'est-à-dire qu'elle descend vers le bas drastiquement, plus la vague va dérouler lentement. Plus l'épaule est « droite », plus la vague se rapproche du « close-out », elle déroulera donc rapidement.
PERIODE : c'est l'intervalle de temps en secondes entre deux crêtes de houle non déferlées sur une série. Dans l'Atlantique de 10 à 16-17 secondes. Dans le Pacifique, elle peut atteindre plus de 20 secondes. LONGUEUR : distance en mètres sur laquelle une ligne de houle non déferlée se dresse.
Cet effet est amplifié si la tempête est située plus loin ; autrement dit, le comportement régulier des vagues (leur regroupement en séries) qui caractérise la houle s'accentue avec l'éloignement de la tempête. Plus la tempête est éloignée de nos côtes, plus les groupes de vagues sont réguliers !
On peut remarquer que si le coefficient est élevé, les vagues seront rapides et idéale pour le surf. On définit un coefficient idéal entre 50 et 70. Il faut sans doute rappeler que cela dépend énormément du spot, par exemple une grande marée haute peut amplifier les vagues, mais ce sont le plus souvent dues aux vents.
La vague, pour sa part, est le déferlement de la houle quand celle-ci rencontre un obstacle (fond, rocher…). Ce déferlement sera d'autant plus violent que la remontée des fonds est brutale, d'où le fait que les plus grosses vagues se produisent généralement sur des rochers plutôt que sur des plages.
La longueur d'onde correspond à la distance entre deux vagues (crêtes) successives. L'amplitude se calcule en divisant la hauteur de la vague (mesurée entre la crête et le creux) par deux. La période représente l'intervalle de temps en secondes s'écoulant entre le passage de deux crêtes de vagues.
Le surf permet de se muscler
Ce travail physique sollicite les bras, les épaules, mais aussi le dos. Cela permet de développer les pectoraux et la sangle abdominale. En étant debout sur la planche, à la recherche du bon équilibre, le surfeur travaille sa posture et son gainage.
Apprendre le surf est possible à tout moment de la vie, l'essentiel étant d'avoir la condition physique nécessaire. Néanmoins, pour un enfant, il est conseillé d'attendre au moins l'âge de 6 ans.
Grâce à des exercices spécifiques, basés sur la recherche d'équilibre et de stabilité (allongée sur la planche ou debout), on peut s'entraîner toute l'année en ville, s'initier à la pratique ou simplement remodeler son corps en s'amusant.
Jacinthes : floraison dès la mi-mars jusqu'à la fin du mois. Tulipes : floraison la première quinzaine d'avril.