Selon Rodolphe Oppenheimer, psychanalyste et psychothérapeute dans les Hauts-de-Seine, le syndrome de Stendhal est en effet caractérisé lorsque “le sujet développe alors une admiration sans borne pour l'œuvre d'art, et qu'une impression de 'sublime' finit par le déborder émotionnellement”.
Le syndrome de Stendhal désigne un trouble à la fois physique et psychologique, provoqué par l'admiration d'un grand nombre d'œuvres d'art dans une période de temps limitée, par exemple au cours de la visite d'un grand musée.
En fait, le « syndrome de Jérusalem », ça consiste tout bêtement à péter un câble en arrivant dans la Ville Sainte en étant submergé par l'ambiance religieuse qui imprègne toute la ville et en perdant tout contact avec la réalité.
Il existe donc diverses interprétations. La plus courante est que le rouge symbolise l'armée et le noir le clergé. Ainsi durant tout le roman, le protagoniste hésite entre l'armée et sa passion pour Napoléon, et le clergé, qui lui a permis d'effectuer ses études et a donc favorisé son ascension sociale.
Stendhal est un pseudonyme, inspiré par le nom de la ville allemande de Stendhal, à l'ouest de Berlin et proche de Brunswick où le futur romancier occupa un poste important dans l'administration napoléonienne d'occupation.
Le syndrome de Lima est l'inverse du syndrome de Stockholm. Dans ce cas, les preneurs d'otages ou les agresseurs font preuve d'empathie envers leurs victimes et deviennent réceptifs à leurs revendications et à leurs besoins.
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
On appelle «syndrome du voyageur» un trouble psychique, parfois psychosomatique, et éventuellement franchement psychiatrique, dont souffrent certaines personnes «normales» au départ confrontées à certaines réalités du pays visité.
L'hypertrichose est une maladie rare qui provoque un développement exessif de la pilosité, notamment sur le visage. L'hypertrichose est une pathologie dans laquelle on observe un développement excessif de la pilosité sur le visage, l'abdomen, la poitrine… D'où son autre appellation : syndrome du loup-garou.
Décrit pour la première fois en 1952, le syndrome d'Alice aux pays des merveilles est caractérisé par une combinaison d'hallucinations visuelles, d'anomalies de l'image du corps et une distorsion de l'espace et du temps, souvent associée à des céphalées.
Très répandu, le syndrome de l'imposteur donne à celui qui le vit le sentiment de ne pas mériter la place qu'il occupe. Il puise ses origines dans des ego malmenés et dans la nécessité que nous éprouvons de nous comparer aux autres.
Syndrome de Paris : quand certains touristes sont désillusionnés par la capitale. Dans les années 1980, le psychiatre japonais vivant à Paris Hiroaki Ōta décrit un phénomène qu'il constate chez des touristes japonais en visite dans la capitale française comme le “syndrome de Paris”.
La déréalisation est une pathologie dissociative qui rend tout autour de soi comme irréel. hypothèse. stress prolongé ou intense, le cerveau va chercher à se protéger de ce stress en s'anesthésiant. C'est ce qui provoque la déréalisation.
Le syndrome de Diogène a été décrit en 1975 par Clark pour caractériser, chez la personne âgée, un trouble du comportement associant une négligence extrême de l'hygiène corporelle et domestique ainsi qu'une syllogomanie (accumulation d'objets hétéroclites) qui conduisent à des conditions de vie insalubres.
Non, Denver l'évoque lui-même dans la série : elle “souffre” du syndrome de Stockholm, un phénomène psychologique qui voit un otage développer de l'affection pour son ravisseur. Et le nom vient d'un braquage dans une banque, comme dans La Casa de Papel, qui s'est déroulé en 1973 dans la ville de… Copenhague.
Cinq ans après ce fait divers, le psychiatre américain Franck Ochberg nommera donc « syndrome de Stockholm » ce comportement paradoxal qui amène des victimes ou des otages à développer des affects de sympathie, d'empathie, d'estime ou d'amour vis-à-vis de leurs ravisseurs, souvent au point d'adhérer à leur cause.
le Rouge et le Noir est un roman d'initiation, où le héros, le jeune Julien Sorel, fils de charpentier, qui tente de s'élever dans la société, devra franchir de nombreux obstacles. Passionné par Napoléon, il rêve d'une grande destinée en revêtant l'habit de soldat (rouge).
Stendhal aime Napoléon, Stendhal vénère Napoléon. Dès sa chute, voyant celui qu'il a servi attaqué dans le contexte de Restauration, il commence à rédiger une biographie de l'Empereur, dès 1816. Il écrit d'ailleurs en réponse à Mme de Staël qui détestait l'Empereur.
Reste la question du mouvement littéraire. Le roman Le Rouge et le Noir, et plus généralement toute l'œuvre de Stendhal, se situe à une période littéraire dominée par le règne du Romantisme. Le Réalisme n'apparaît qu'un peu plus tard, dans la deuxième moitié du XIXème siècle.
Le syndrome de la queue de cheval se caractérise par une compression des racines des nerfs situés dans le bas du dos pouvant entraîner une perte de sensibilité des membres inférieurs. La maladie doit être traitée en urgence par une intervention neurochirurgicale.
Ce syndrome est provoqué lorsqu'un voyageur est déçu de la réalité de Paris, loin des images d'Epinal véhiculées par des films ou des documentaires sur la capitale. « Cela se traduit par des attaques de panique, des angoisses très fortes. Les personnes ont parfois l'impression de mourir.
Nom propre. (Géographie) Paris (ville de France).