Tabarnak : C'est un juron québécois, en référence au tabernacle d'église. Dans l'église catholique, le tabernacle est le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties. Ce mot à été déformé en français canadiens, pour devenir un sacre ( un juron ) familier : tabarnak.
On le divise souvent en 3 syllabes pour ajouter un ton dramatique… Origine : Provient du tabernacle, le meuble où sont rangées les hosties dans une église. Exemple : « TA-BAR-NAK, j'en reviens pas ! », « le parc Forillon, c'est beau tabarnak », « il pleut en tabarnak », « le vieux tabarnak » « ayoye tabarnak ! »
Tabernacle. Selon le dictionnaire du Larousse, un tabernacle est un sanctuaire itinérant. Pourtant, au Québec, le mot tabernacle (prononcez “tabarnak”) est un juron très populaire qui permet d'exprimer la colère, l'énervement ou la surprise.
Au Québec, un char désigne tout simplement une automobile. Il s'agit du nom le plus commun et le plus utilisé pour parler d'une voiture. On dit aussi "chauffer un char" : dans le sens de conduire une voiture.
Définition "tabarnak"
Exclamation d'étonnement, de surprise ou aussi de mécontentement.
Utilisé seul dans une exclamation, ou placé en début de phrase, il fonctionne comme une interjection et exprime la colère, l'indignation ou la surprise. À l'intérieur de la phrase, il est utilisé comme adverbe pour renforcer le propos, par exemple dans la phrase C'est beau en tabarnak !
Français canadien : je t'adore (pour dire je t'aime). Français canadien : je t'aime (pour dire je t'aime bien).
La langue possède nombre de mots coquets pour décrire ce petit coup de bec qu'est donc le «bisou». «Bécots», «papouilles», «poutous»... À chacun sa façon d'embrasser.
Cette expression québécoise pourrait porter à confusion : «Avoir son voyage» semble être quelque chose d'agréable, synonyme de vacances et de plaisir. Pourtant «J'ai mon voyage» n'est pas quelque chose d'agréable puisqu'on l'utilise lorsqu'on en a assez de quelque chose, qu'on est agacé ou dégoûté.
« Un crisse de gros rat » est plus gros qu'« un gros rat ». « Un ostie de cave » est plus idiot qu'« un cave ».
Cibole : C'est un sacre, un juron québécois. Cibole est une atténuation du sacre québécois Ciboire, lui même étant un sacre blasphématoire en référence au vase sacré chrétien.
Nom commun. (Québec) (Argot) Sexe des femmes, vulve. → voir chatte et con, etc. J'y ai mangé a plotte, c'tait tout un lunch !
Bisoune : Désigne un sexe masculin, un pénis. Généralement, c'est une expression un peu infantile.
chum n. Au Canada, ami, copain, copine. chum n.m. Au Canada, petit ami, amoureux ou conjoint.
Cellulaire : Au Québec, on ne parle pas de téléphone portable, on utilise le mot cellulaire.
Roffe : Terme québécois synonyme de "dur", "difficile" ou "compliqué". Ex : Je suis fatigué, c'est roffe aujourd'hui.
Comme ailleurs dans la francophonie, les Québécois utilisent le mot minou pour parler des chats de façon affectueuse ou comme appellatif amoureux. Toutefois, le minou québécois se distingue de son cousin français lorsqu'il désigne une petite pelote de mousse, de peluche. — Mon maillot est couvert de minous.
1. Sanctuaire itinérant, centre du culte des Hébreux avant la construction du Temple de Salomon, demeure de l'arche d'alliance où étaient déposées les Tables de la loi. 2. Petite armoire, fixée au milieu de l'autel ou dans un autre endroit d'une église, destinée à recevoir le ciboire contenant la réserve eucharistique.
hostie. 1. Pain eucharistique après la consécration. (Le mot latin [hostia] désigne la victime sacrifiée, en particulier le Christ dans le sacrifice eucharistique.)
Dans l'église catholique, le tabernacle est le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties, mais ça tout le monde s'en crisse! Ça s'écrit tabernacle mais ça se prononce tabarnak.