D'après certains chercheurs, le temps froid et sec serait d'ailleurs en lui-même un facteur favorisant le virus de la grippe. Pour autant, le froid ne rend pas malade à proprement parler, ce sont ses conséquences qui favorisent la transmission des infections saisonnières.
Les virus du rhume se transmettent au moyen des mucosités et de la salive que les éternuements et la toux projettent hors du corps. Donc, si vous voulez vraiment attraper un rhume, essayez de vous tenir près de quelqu'un qui en a déjà un; touchez à tout sans jamais vous laver les mains.
A priori, pas vraiment - le rhume est une maladie entraînée par un virus. Nous l'attraperons si nous entrons en contact avec ce virus, et une température qui descend n'est pas suffisante pour nous faire tomber malade. Cependant, le froid est tout de même un facteur de risque.
«L'un des principes de la climatisation est de refroidir l'air et de l'assécher, explique le Dr Calafiore. Cela assèche les muqueuses nasales qui vont être fragilisées et, en réaction, vont s'humidifier un peu plus, ce qui peut aboutir à une rhinite (écoulement nasal).
Un courant d'air ne peut pas provoquer de maladie infectieuse. Ce sont les bactéries et les virus qui sont responsables, ce ne sont pas les différences de température. Le courant d'air est bénéfique, il permet le brassage et le renouvellement de l'atmosphère. C'est très sain.
Les premiers symptômes ne tardent pas à se manifester : mal de gorge, enrouement, toux et écoulement nasal. Au cours de la maladie, de la fièvre, des maux de tête et des douleurs articulaires peuvent également apparaître.
Symptômes. Un simple coup de froid bénin entraîne la plupart du temps (dans près de 50 % des cas) des maux de gorge, mais également le nez qui coule, une toux voire une légère hyperthermie (fièvre).
Plus précisément, le froid peut changer la membrane extérieure du virus de la grippe. Il rend la membrane plus solide et plus caoutchouteuse. Les scientifiques pensent que le revêtement caoutchouteux facilite la transmission du virus d'une personne à l'autre.
La saison hivernale et le froid qui l'accompagne changent notre façon de vivre et notre immunité, de sorte que nous avons plus de risques de développer une maladie infectieuse des voies respiratoires, du simple rhume jusqu'aux infections graves des poumons, ou pneumonie.
En hiver, de nombreux virus sont présents. Les virus respiratoires sont responsables des rhumes, des rhinopharyngites, des grippes saisonnières, des bronchites et des bronchiolites chez l'enfant. De leur côté, les virus responsables de gastro-entérites, le plus souvent appelés « rotavirus » et « norovirus ».
Puisque le système immunitaire passe à la vitesse supérieure pendant le sommeil, les symptômes deviennent plus graves. Cette activité accrue du système immunitaire peut durer toute la nuit.
Outre le fait de se laver les mains à la solution hydroalcoolique entre chaque patient, et d'éviter les contacts physiques avec les malades, il mise surtout sur le sommeil.
Des études scientifiques démontrent qu'un froid humide assure une augmentation de la survie de 36 % du virus de la grippe et de 12 % de la transmission. Si l'air est sec, la survie du virus et de sa transmission augmentent de beaucoup : la survie peut aller jusqu'à 90 % de plus.
Pour diminuer l'inconfort du rhume, un seul médicament est préconisé, le paracétamol que l'on appelle également acétaminophène (Doliprane®, Tylenol®, Efferalgan®, Dafalgan®, Panadol®, Dolko®, Geluprane®) Ce médicament diminue les maux de tête, le mal de gorge éventuel et fait baisser la fièvre.
En agissant sur la circulation, le froid rend le corps plus réactif. Il est efficace contre la cellulite, la formation de varices, la sensation de jambes lourdes, et même la chute de cheveux. L'effet du froid sur le corps libère aussi des endorphines qui réduisent le stress, et donnent un sentiment de bien-être.
"Non, le 'coup de froid' n'existe pas. D'ailleurs, le froid n'a jamais frappé et ne donne pas de coup non plus, même s'il est vrai qu'on tombe un peu plus souvent malade en hiver qu'en été. Le froid va en effet permettre aux virus d'être un peu plus résistants, avec un taux d'humidité plus favorable.
L'air froid assèche le mucus de notre gorge, cette couche humide qui protège notre muqueuse des agressions, et notre cœur doit alimenter nos extrémités en sang chaud, nous fatiguant davantage et diminuant l'efficacité de notre immunité.
Lorsque la température corporelle d'une personne augmente, elle peut avoir froid jusqu'à ce qu'elle se stabilise et cesse d'augmenter. Les gens décrivent cela comme des "frissons". L'alimentation, l'exercice, le sommeil, le moment de la journée et des facteurs individuels peuvent également influer sur la température.
– Du sel de Nigari (chlorure de magnésium) : diluez 1 cuillérée à soupe pour une litre d'eau et boire un verre, 1 ou 2 fois par jour jusqu'à disparition des symptômes. – De l'extrait liquide de propolis : de 3 à 10 gouttes dans de l'eau ou dans une boisson tiède (tisane de thym par exemple), 2 ou 4 fois par jour.
En MTC, on considère que le Vent-Froid a brisé la protection naturelle du corps (l'Énergie défensive), et qu'il s'est infiltré en nous par le biais du Méridien du Poumon provoquant des éternuements, de la toux, des sécrétions nasales, etc.
Sortir, aller boire un verre, se balader en forêt sont tout autant d'activités qui permettent à certains individus d'être plus forts face aux petites maladies. Prendre l'air peut évacuer une bonne partie de votre stress, de votre anxiété, renforcer votre système immunitaire et vous donner une bonne énergie.
Le rat-taupe secréterait naturellement ces molécules hyper-protectrices qui permettrait à ses cellules de se regénérer ! Cela ferait du rat-taupe un être virtuellement immortel, qui ne meurt que par épuisement des cellules-souches de sa moelle osseuse.