L'adjectif tranquille se prononce [ tʁɑ̃kil ] (« tran-kil »), comme s'il s'écrivait avec un seul l . Il ne faut pas se laisser tromper par son double l , qui vient du latin.
Pour ne plus se tromper et savoir s'il faut doubler la consonne, s'il faut un ou deux « l », un ou deux « t », il faut prononcer le mot. Par exemple j'appelle prend deux « L » car lorsqu'on le prononce, le dernier « e » est muet.
Donc voici un article pour vous aider à bien prononcer les mots en français quand vous voyez « LL » ! Pour la majorité des mots, la prononciation des deux L est la même que la prononciation d'un L.
"En français, presque tous les mots qui se terminent par le groupe de lettres ILLE se prononcent comme fille et famille", explique la très savante Banque de dépannage linguistique. Il n'y a que trois mots qui fassent exception à la règle : "ville, tranquille, mille [le nombre, dix fois cent], et leurs dérivés".>
La faute à la ligature
Dès le XVIe siècle, les imprimeurs français évoquent le « S » sonore de la cité mosellane par un « TZ », qui ressemble vaguement au ß. La ville se prononce donc bien « Mess », et ses habitants sont des MeSSins.
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
Contraire : agité, aventureux, brutal, bruyant, dangereux, déchaîné, endiablé, fatigant, hasardeux, houleux, mouvementé, orageux, périlleux, trépidant. – Littéraire : impétueux, tempétueux, tumultueux.
tranquille est un adjectif qui s'accorde avec le nom commun, le pronom ou le nom propre auquel il se rapporte. Ici, il se rapporte à « nous ». Nous dînerons, tranquilles, chez moi.
Qui a un comportement paisible, qui ne trouble pas le repos des autres : Nous avons des voisins tranquilles. 6. Qui est exempt d'inquiétude, qui se sent en sécurité : Vous pouvez être tranquille, les précautions ont été prises.
Décomposer "i'll" en sons: [EYEL] - dites-le à voix haute et exagérez les sons jusqu'à ce que vous puissiez les produire de manière cohérente.
La prononciation d'origine
Dans le dictionnaire des frères Bescherelle (milieu XIXe siècle), on trouve la prononciation « chan-ti-i », pour le nom de la ville. Au XXe siècle, les dictionnaires ne donnent plus que la prononciation « chan-ti-yi », quel que soit le sens de chantilly .
Si votre verbe «appeler» entraîne, à l'oral, un son «è», alors il devra toujours s'écrire avec deux «l». Exemple: «Il appelle» (prononcé «appèlle»), «je rappellerai» (prononcé appèllerai)...
En général, quand une voyelle commence un mot composé, on double la consonne qui suit lorsqu'après cette consonne il y a une voyelle. Enfin, on doit doubler la consonne dans la formation des temps des verbes, quand ce doublement a lieu à leur racine, qui est l'infinitif.
Sauf les noms : le bal - le carnaval - le festival - le chacal - le régal - le cal - le serval - l'étal qui font leur pluriel en "-als". Sauf les noms : (bail - corail - émail - soupirail - travail - ventail - vitrail) qui font leur pluriel en "-aux".
Calme, paisible, qui n'est point agité.
Étymologie de « tranquillement »
Tranquille, et le suffixe ment. (Date à préciser) De tranquille avec le suffixe -ment.
Si on considère que le contraire de l'amour est la haine, aimer a pour contraires détester et haïr . Avec une intensité plus grande, on peut dire exécrer , abominer ou, moins courant, abhorrer .
Attention aussi à l'orthographe de l'adjectif tranquille . Il s'écrit toujours avec deux l et il a la même forme au masculin et au féminin. On n'écrit pas tranquil , ni tranquile .
Etre une force tranquille implique un changement de vision de sa personnalité Parce qu'il reste TOUJOURS une sorte d'admiration, une sorte d'envie d'être nous aussi très à l'aise à l'oral. Une sorte d'envie d'être capable d'avoir toujours le petit mot juste au bon moment.
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Femme vient du latin femina, qui progressivement s'est prononcé "fème", puis "fame", mais là encore les lexicographes ont tenu à maintenir le lien avec l'origine latine, donc le premier "e"… même s'il se prononce A. C'est toute la différence entre la graphie du français et celle de l'espagnol, par exemple.
Il s'agit de la contraction de l'adjectif possessif mon et du nom commun sieur, qui est lui-même une contraction de seigneur. Il est donc une forme simplifiée de monseigneur. Par l'usage, il ne se prononce plus comme il s'écrit. La prononciation moderne est /mǝ.