Ce comportement peut se traduire par : Une mauvaise expérience à l'attache. Un cheval stressé La peur de se sentir «bloquer »
Tirer au renard est une expression qui s'utilise lorsqu'un cheval se jette brutalement en arrière au risque de se blesser alors qu'il est attaché.
Thomas Guimbellot: Dans la plupart des cas, le cheval qui tire la langue cherche à se soustraire à une douleur. On rencontre essentiellement deux types de situation. Tout d'abord, le cheval peut se sentir gêné par des surdents sur les dents inférieures.
Tout au long de l'éducation ou la rééducation du cheval il en ressort qu'un cheval qui mâche son mors c'est un cheval qui est disponible mentalement pour son cavalier.
Si un cheval ouvre fréquemment la bouche, montre sa langue, ses dents, mastique nerveusement son mors la bouche ouverte ou grince des dents, cela constitue un signe évident d'inconfort.
Deuxièmement, sur un cheval qui tire très régulièrement au renard, il faut procéder en 2 temps : l'éduquer à répondre positivement à la pression du licol et aussi lui apprendre à ne plus tirer à l'attache.
Le cheval qui lâche le contact
Pour les chevaux difficile à contrôler : l'utilisation d'un mors pelham redonne du contrôle, par l'effet de la gourmette. On préfèrera celui avec les canons enrobés de caoutchouc.
La muserolle croisée empêche le cheval d'ouvrir la bouche et bloque toute mobilité de la mâchoire. Il ne pourra en outre plus passer sa langue par-dessus son mors. Trop serrée, elle peut en outre gêner la respiration du cheval ou lui procurer des blessures au niveau de l'apophyse zygomatique.
La salivation augmente donc naturellement lorsque le cheval mange. Cela lui permet d'imprégner sa nourriture, et ainsi de la préparer à la digestion. La salivation peut également être stimulée par des odeurs, des goûts, des visuels, ou même des stimulus neuropsychologiques (stress, douleur, sensation agréable…).
Le headshaking est une pathologie du cheval dont la cause exacte est encore inconnue, même si on a démontré l'implication d'une hypersensibilité du nerf trijumeau. Cette affection se caractérise par des mouvements de tête intempestifs ainsi que d'autres signes tels que les frottements de nez et les éternuements.
Un cheval étreint une femme enceinte, quand le médecin voit l'échographie, il appelle la police. Un cheval a senti que la grossesse ne se passait pas comme prévu. C'est grâce à cet animal que la maman a été vérifiée la santé de son bébé. La plupart des animaux ont un sixième sens.
Mettez votre cheval en avant, avec des hanches plus actives, bien dans le canal des aides. Gardez vos mains légèrement plus hautes et incitez le cheval à garder sa nuque plus haute par de petites vibrations spasmodiques des doigts vers le haut à chaque fois qu'il cherche à s'encapuchonner.
Le mors Baucher est aussi recommandé pour les chevaux qui ont tendance à s'appuyer sur le mors. Il s'agit d'un mors avec un léger effet de levier qui va faciliter la cession de la nuque de votre cheval. Son effet releveur permettra de rééquilibrer et de redresser votre monture. Ce mors est un mors plutôt dur.
Pour un cheval sensible et dans le sang, un mors Pessoa bien utilisé sera sûrement plus efficace qu'un mors Pelham. A l'inverse, le mors Pelham est souvent utilisé pour des chevaux forts et dans le sang. Le Goyo-Aga lui, sera plutôt préconisé pour des chevaux allants et difficile à canaliser.
Ce mors est souvent utilisé dans l'objectif de redresser des chevaux un peu trop sur les épaules, ou encore de rendre plus légers des chevaux qui collent à la main ou qui peuvent tirer. Certains chevaux peuvent réagir en lâchant la main avec ce type de mors.
Les mors simples
Les embouchures simples sont celles qui sont les plus répandues et les plus douces pour la bouche du cheval. Leur effet sur la bouche varie selon la qualité de la main du cavalier ce qui rend cette embouchure modulable à souhait.