Pleurer, qu'est-ce que cela veut dire ? C'est l'expression de la perte, le sens d'un amour, la pluie qui s'abat sur le cœur meurtri. Cette part de sensibilité est certes le signe d'une faiblesse, d'une faiblesse qui submerge, mais d'une faiblesse qui assume la valeur du défunt.
Avant de débuter sachez toutefois qu'il n'est ni rare ni grave de pleurer lors d'un tel évènement et qu'il peut être difficile de contrôler ses émotions les plus sincères. C'est pourquoi, ne soyez pas trop dur avec vous-même.
Concentrez-vous sur les choses positives
Un enterrement est toujours douloureux. Les souvenirs remontent à la surface au moment de dire adieu au proche disparu. Pour éviter de pleurer, pensez uniquement aux souvenirs joyeux que vous avez eus avec lui. Remémorez-vous les bons moments que vous avez passés ensemble.
C'est à dire qu'on pleure le souvenir de tout ce que l'on a aimé de la personne, tout le bon qu'on a vécu avec elle ou qu'elle a pu inspirer en nous. Ce sont tous les bons souvenirs qui nous font pleurer. Et donc au plus on pleure au plus on a vécu des instants d'amour forts, signe de la richesse de notre vie.
Exprimer les émotions, ne pas chercher à les contenir à l'intérieur de soi. Laisser du temps pour faire son travail de deuil et intégrer les changements induits par la disparition de la personne décédée. Prendre soin de notre santé physique.
Certains endeuillés font un peu de dépression ou d'anxiété, mais cela ne dure pas longtemps. En période de deuil, vous risquez de revivre les souvenirs d'un traumatisme ou de mauvais traitements. Les émotions que causent ces expériences sont souvent intenses ou déroutantes.
On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer. Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
Cette phase consiste à refuser, de façon consciente ou inconsciente, d'admettre la réalité qui vient d'être annoncée. La personne peut sembler absente ou perdue dans ses pensées, déconnectée de la réalité présente. Cette phase est généralement courte mais intense.
Sentiments de soulagement
Parfois, pendant le deuil, surtout si une longue maladie a précédé le décès, un sentiment inattendu de soulagement peut émerger. Il semble déplacé, hors de l'étape en cours et il est souvent considéré comme mauvais.
Lourdeur du corps, douleurs articulaires et musculaires. Sentiment d'oppression au niveau de la poitrine et des voies respiratoires. Palpitations et hypertension artérielle, vertiges. Perte d'appétit, perturbations du cycle digestif, nausées, diarrhées.
physique : une lumière ou un appareil électrique qui s'allume ou s'éteint, une montre qui s'arrête définitivement à l'heure du décès. visuel : vision partielle ou complète du défunt ou apparition symbolique comme les papillons, les oiseaux ou les arcs-en-ciel. olfactif : une odeur évoquant le défunt.
Les êtres chers décédés nous entendent-ils ou nous voient-ils ? Non. Quand on est mort, on entend et on ne voit rien.
Les chambres mortuaires se trouvent dans des établissements de soins (Hôpitaux, cliniques, EHPAD, etc…). Elles sont exclusivement réservées aux personnes décédées sur place. Le séjour en chambre mortuaire est le plus souvent gratuit. Le corps peut donc rester sur place jusqu'au moment de la mise en bière.
Il y a bien des deuils plus « difficiles » à vivre que d'autres. La perte d'un enfant reste la souffrance et la perte la plus terrible qu'on rencontre dans notre existence car elle va à l'encontre du sens même de la vie. Cette épreuve est le deuil à vivre le plus difficile où il faut redoubler de vigilance.
Les cinq étapes - déni, colère, marchandage, dépression, acceptation - correspondent, selon elle, aux émotions successivement ressenties par des malades en phase terminale, avant leur décès.
Nous pouvons dire de façon générale, qu'il faut entre 1 et 5 ans pour retrouver une vie moins douloureuse après la mort d'un proche : deux à deux ans et demi si l'on a perdu son conjoint, quatre à cinq ans si l'on a perdu son enfant, un an à un an et demi si l'on a perdu son parent.
Accueillez, écoutez, si possible avec le sourire. Laissez passer un peu de temps et si l'émotion est toujours présente, demandez à l'autre ce dont il a besoin pour avancer. "Le plus souvent, la personne a juste besoin de vider son sac et d'être comprise.
Il est donc bien de prendre la personne dans les bras ou lui prendre les mains. Souvent les mots ne sont pas la priorité, il faut laisser la personne pleurer, la laisser aller, évacuer son plein d'émotions. L'on peut dire quelques paroles empathiques et agréables, ou des encouragements.
Les larmes réflexes surviennent en réaction à une irritation. Lorsqu'on a quelque chose dans l'œil, ce dernier produit des larmes réflexes pour éliminer la saleté. Les larmes émotionnelles surviennent lorsque nous ressentons des émotions fortes, comme de la tristesse liée au deuil ou à la douleur, ou de la joie.
Des médicaments antidépresseurs ou anxiolytiques
Ces médicaments peuvent aider à réguler les niveaux de neurotransmetteurs dans le cerveau et à soulager les symptômes dépressifs. Les anxiolytiques, tels que les benzodiazépines, peuvent aussi être utilisés pour réduire l'anxiété sévère associée au deuil pathologique.
Parler de ses angoisses, de sa tristesse, de ses craintes et de ses regrets à une personne proche permet de mettre des mots sur la future absence et aide grandement à faire son deuil. Il est donc important de ne pas rester seul et de partager sa souffrance. Les proches (famille et amis) sont des soutiens précieux.
Mais qu'est-ce au juste qu'un passeur d'âmes? C'est un être doté d'une incroyable capacité à aimer et à pardonner sans juger. Son rôle est d'accompagner d'autres âmes lors des transitions au cours de la vie incarnée. Certes, son aide est très souvent requise lors de la transition de la vie à la mort.