Toilettes sales, manque d'intimité, harcèlement, absence de papier toilette, interdiction de sortie pendant les cours, bien des raisons expliquent pourquoi les enfants se retiennent d'aller aux toilettes lorsqu'ils sont à l'école.
Il suffit de laisser votre enfant en petite culotte et de lui remettre une couche pendant environ 10 minutes, toutes les une heure et demi ou deux heures. Généralement, il profite de ce moment pour se soulager. Le reste du temps, posez une couche propre sur une chaise.
Il faut noter que bien souvent l'encoprésie est un mode de communication de l'enfant avec son entourage. Dans certains cas, il n'existe aucune cause psychologique : l'encoprésie peut être passagère chez un enfant constipé qui a une fissure anale due au passage d'une selle un peu plus difficile que d'habitude.
Uriner est un processus de nettoyage naturel du corps. Nombreux sont ceux qui en négligent les bienfaits et qui parfois, se retiennent jusqu'à ne plus tenir. Soit parce que le moment n'est pas opportun, soit parce que les toilettes ne sont pas à proximité.
Se retenir fréquemment d'uriner accentue aussi le risque de calculs rénaux (lithiase urinaire), au niveau des reins, de la vessie ou de l'urètre. Ces derniers peuvent obstruer les canaux urinaires et provoquer de vives douleurs.
Fréquente mais méconnue, la parurésie – également appelée "syndrome de la vessie timide"– se manifeste par la difficulté ou l'incapacité totale d'uriner dans des toilettes publiques, ou quand d'autres personnes se situent à proximité.
Le stress et l'anxiété en cause
Chez les personnes particulièrement stressées ou angoissées, cet état permanent peut conduire à une incontinence, ou la renforcer. Elles présentent en premier lieu un besoin trop fréquent d'uriner.
La cause principale d'une anurie est relative à une déficience au niveau du système rénal. L'insuffisance rénale aiguë, soit la diminution de la capacité de filtration glomérulaire des reins, en est une source courante.
Les selles dures piégées dans le rectum vont comprimer les voies urinaires et rendre la miction impossible. Dans tous les cas, le premier traitement est le soulagement immédiat de la vessie grâce à la pose d'une sonde pour évacuer le trop plein d'urine.
La vraie peur d'aller aux toilettes existe. La peur de déféquer est très concernante, et elle porte même un nom : l'apopatophobie.
La vessie neurogène est un dysfonctionnement (vésical atone ou spastique) provoqué par des lésions neurologiques. Les symptômes peuvent comprendre une incontinence par regorgement, une pollakiurie, des mictions impérieuses, une incontinence par impériosité et une rétention.
Diminution du volume des urines (moins de 500 millilitres par 24 heures). Une oligurie peut être due à une réduction extrême des apports en liquides, à une déshydratation ou à une insuffisance rénale.
Elle peut être due à une forte constipation : un fécalome (amas de selles dures piégées dans le rectum) qui va comprimer les voies urinaires et rendre la miction impossible. Sont aussi en cause une forte alcoolisation ou encore la prise de certains médicaments (voir encadré).
Les principaux symptômes sont une sensation de pesanteur ou de gêne pelvienne, associée à des problèmes urinaires : incontinence, envie pressantes, difficulté à uriner, infections récidivantes. Une cystocèle peut engendrer une douleur lors des rapports sexuels.
Selon le site WebMD, on considère qu'il est normal d'aller vider sa vessie entre quatre et huit fois par période de 24 heures. Certains facteurs peuvent toutefois influer sur ces chiffres: une trop grande absorption de liquide, par exemple, va de toute évidence vous pousser à aller plus fréquemment aux toilettes.
Même phénomène avec certains fruits comme les agrumes et les tomates : en irritant votre vessie, ils vous font multiplier les allers-retours aux toilettes. Exit également l'alcool, le thé, le café, les tisanes, les sodas et la nourriture contenant de l'aspartame… Ils sont eux aussi diurétiques.
S'il existe une obstruction (par exemple des calculs rénaux), l'urine ne peut pas s'écouler librement par la voie urinaire. Les causes non obstructives comprennent un affaiblissement du muscle de la vessie et des problèmes nerveux qui nuisent aux signaux entre le cerveau et la vessie.
La thérapie cognitive et comportementale (TCC) est particulièrement indiquée dans le traitement psychologique de la laxophobie. Son but est de modifier les comportements et les cognitions (pensées) des patients aux prises avec ce genre de troubles.
Y a t'il des astuces qui peuvent l'aider à faire pipi debout ? Les accessoires tels qu'un petit urinoir pour enfant ou autre gadget ne sont pas d'une grande utilité. Le seul accessoire utile est bel et bien le marchepied si l'enfant n'est pas assez grand pour atteindre le bord des toilettes.
L'inflammation de la vessie est due le plus souvent à des bactéries qui pénètrent dans l'urètre et parviennent jusque dans la vessie. Les agents pathogènes de l'infection sont la plupart du temps des bactéries Escherichia coli (E. coli).
(Cystite) On appelle cystite l'infection de la vessie. Les agents responsables de la cystite sont généralement des bactéries. Les symptômes les plus courants sont un besoin fréquent d'uriner et une douleur ou une sensation de brûlure à la miction.