Moteurs CC sans balais ont 3 fils parce qu'ils ont généralement des enroulements triphasés à l'intérieur du moteur. Ces 3 les phases sont utilisées pour contrôler la rotation du moteur et générer un champ magnétique pour faire tourner le moteur.
En principe sur un brushless il y a trois gros fils et cinq petits fils. En mettant un voltmètre entre deux gros fils et en tournant la roue on devrait voir une tension alternative dont la valeur augmente avec la vitesse et atteint environ 25 volts quand la roue tourne à l'équivalent de 25 km/h (1 volt par km/h).
Parmi les avantages du moteur brushless, on compte notamment une grande efficacité et une meilleure résistance à l'usure. Sans oublier une plus grande précision de contrôle, une meilleure durée de vie et une réponse plus rapide aux commandes. Par ailleurs, ils sont plus faciles à entretenir que les moteurs à balais.
Le moteur brushless fonctionne à partir de trois sources de tensions variables, fournies par un onduleur, et permettant de générer un champ magnétique tournant. Le rotor, généralement équipé d'un aimant permanent, tend à suivre le champ magnétique tournant.
Un moteur électrique peut posséder un nombre différents de pôles. 2 pôles dans le moteur électrique correspondent à un rotor atteignant 3000 Tr/min. 4 pôles sont égaux à 1500 Tr/min, 6 pôles correspondent à 1000 Tr/min et enfin 8 pôles sont égaux à 750 Tr/min.
Si vous ne connaissez pas le nombre de pôles du moteur, vous pouvez toujours le démonter pour voir le nombre d'enroulements présents dans le moteur : un enroulement dispose de 2 pôles. Cette dernière est inscrite sur la plaque signalétique du moteur.
Vitesse théorique et nombre de pôles
Donc, pour 2 Pôles (1 paire), on obtient 3.000/1 = 3.000Trs/mn, ◦ Pour 4 Pôles (2 paires) on aura 3.000/2 = 1500Trs/mn, ◦ Pour 6 Pôles (3 paires) on aura 3.000/3 = 1.000Trs/mn, ◦ Pour 8 Pôles (4 paires) on aura 3.000/4 = 750Trs/mn (pour les vitesses le plus utilisées).
La première différence porte sur l'emplacement des aimants et des bobines : tandis que sur un moteur brushless les bobinages sont assemblés sur le stator et les aimants sur le rotor, c'est précisément l'inverse sur un moteur brushed.
Nous venons de lancer les coupe-légumes avec vitesse variable dotés de la technologie brushless. Littéralement, cette technologie signifie « sans balais » : les machines pourvues d'un moteur brushless possède un moteur sans balais.
Grâce aux progrès de la technologie à semi-conducteurs au début des années 1960, en 1962, TG Wilson et PH Trickey ont inventé le premier moteur à courant continu sans balais (BLDC), qu'ils ont appelé un "moteur à courant continu à commutation à semi-conducteurs".
Dans le Spriva, le moteur brushless est enfilé dans un refroidisseur à ailettes surmonté d'un ventilateur.
Le moteur ECOFIT de technologie EC est un moteur synchrone à commutation électronique. Contrairement au moteur AC asynchrone, le moteur EC ECOFIT est synchrone, ce qui évite les pertes de rendement dues au glissement, et confère au moteur une meilleure efficacité sur une plage de vitesse plus étendue.
Pour de l'1/10 piste le moteur standard est le 3650. Des 3660 et + se montent sans soucis vu que le moteur est en position transversale. En TT 1/10 c'est le 3660. En piste 1/8 les moteurs de 4065 à 4074 se montent avec la boite de vitesse, les 4082 et 4092 - trop longs - se montent uniquement en mono-rapport.
Mettre l'émetteur sous tension, amener le manche des gaz en position haute, connecter le pack au contrôleur, attendre 2 secondes, 2 bips “bip-bip” doivent être émis. Puis attendre 5 autres secondes, une tonalité spéciale “ ” doit être émise, ce qui signifie que vous venez d'entrer dans le mode programmation.
Fonctionnement d'un moteur Brushless
Sur ce type de moteur, les bobines sont alimentées de façon séquentielle. Ce mode de fonctionnement crée un champ magnétique tournant à la même fréquence que les tensions d'alimentation. Ainsi, l'aimant permanent du rotor cherche à s'orienter dans le sens du champ à tout moment.
Pour un bateau amorceur, il faut privilégier les moteurs brushless outrunner de grand diamètre, au moins 35 millimètres, bien plus adaptés de part leur couple plus élevé et leur vitesse de rotation plus faible.
Il faut toujours choisir un variateur avec un ampérage supérieur à la valeur obtenue avec le calcul, dans l'exemple précédent on peut prendre un contrôleur de 80A. En effet, un ampérage trop faible risque de faire trop chauffer le variateur.
Cet outil est conçu pour le perçage du bois et du métal, les opérations de percussion principalement dans la maçonnerie, le béton, la pierre et la brique rouge, ainsi que pour le serrage/desserrage des vis et écrous.
La motorisation se situe au niveau de la rubrique D. 2 de la carte grise. Il fait alors partie d'un long code comprenant le type, la variante ou la version du véhicule. Le code motorisation comprend le plus souvent 3 à 4 lettres, comme CDZ ou CAEB.
Chaque moteur dispose de son propre code, que vous pouvez facilement trouver sur la carte grise comme sur le bloc moteur en lui-même. Selon le constructeur, le code moteur peut également se trouver ailleurs sur le véhicule. Il permet de connaître les informations relatives au moteur et aux pièces qui l'accompagnent.
Pour trouver le type de moteur sur la carte grise, il faut se référer à la zone D. 2. Celle-ci contient un long code dont le code moteur du véhicule. C'est une succession de lettres ou de chiffres qui représente toutes les informations nécessaires sur le moteur ainsi que le véhicule.
Une différence liée au rotor
La différence entre moteurs synchrones et asynchrones vient du rotor : le rotor des moteurs synchrones se compose d'un aimant ou électroaimant alors que celui des moteurs asynchrones est constitué d'anneaux (qui forment ce que l'on appelle la cage à écureuil).
Contrairement au rotor du moteur synchrone, celui du moteur asynchrone tourne moins vite. De cette façon, il n'atteint jamais la vitesse de synchronisme : il subsiste toujours un décalage entre le champ magnétique et la vitesse de rotation de l'arbre.
Aujourd'hui, il suffit de se rendre chez un distributeur de variateurs de vitesse et de choisir le type de variateur de fréquence qui convient, en fonction du dispositif concerné et des objectifs de la variation que l'on souhaite atteindre. Cette méthode est la plus simple et, selon le cas, la moins coûteuse.