Les gouttelettes sont notamment maintenues en suspension dans l'air en raison des mêmes courants ascendants qui ont conduit à leur formation. C'est ce qui explique en partie pourquoi le nuage ne tombe pas, compte tenu du fait que les mouvements ascendants portent ces constituants comme les gouttelettes.
Le nom des nuages
4 sortes dérivés des Cumulus et Stratus : Altocumulus et Altostratus pour les nuages dont la base est à plus de 2 km d'altitude, et de Cumulonimbus et Nimbostratus pour les nuages capables de donner de fortes précipitations.
Lorsqu'une masse d'air chaud saturée en vapeur d'eau se refroidit, une partie de l'eau qu'elle contient sous forme gazeuse va se condenser et former des gouttelettes. Dans l'atmosphère, les nuages se forment donc par refroidissement d'une masse d'air humide.
Le nuage, en apparence statique, a en réalité une dynamique importante. Les courants ascendants à l'intérieur agitent les gouttes d'eau, leur permettant de rester en suspension. Fort de tous ces mouvements, les gouttelettes, et donc le nuage, ne tombent pas.
Si les nuages ne tombent pas, ce n'est pas parce qu'ils sont plus légers que l'air mais qu'ils sont pris dans un système atmosphérique dynamique qui les maintient en altitude.
La nuit, en absence de soleil, la terre se refroidit par rayonnement. Cette perte d'energie est associée à un refroidissement et donc une baisse des températures. Par ciel clair, il n'y a pas réémission du rayonnement énérgétique des nuages vers la terre.
Le mouvement des nuages est dû principalement à l'état des masses d'air et ces masses d'air évoluent selon des règles régies en grande partie par la mécanique des fluides. Cette force dévie légèrement les mouvements des masses d'air ce qui donne le sens de rotation ce celles-ci.
La Fédération aéronautique internationale (FAI), qui catalogue les standards et les données en matière d'astronautique et d'aéronautique, considère également que l'espace débute à 100 km au-dessus du niveau de la mer. Après tout, il s'agit d'un chiffre rond.
Dans la journée, l'atmosphère diffuse la couleur bleue de cette lumière. Le soir, la lumière du Soleil rase la Terre à l'horizon : elle traverse alors une couche d'air plus épaisse. Cet air agit comme un filtre, plus il est épais, plus il arrête les couleurs. Mais le rouge passe, car il est moins filtré !
Les nuages sont constitués de minuscules gouttelettes d'eau qui, selon les lois de la gravité, devraient tomber au sol. Au lieu de cela, elles restent en l'air. La taille des gouttelettes d'eau qui composent un nuage est la clé de sa flottabilité.
La pluie provient de l'évaporation de l'eau qui existe dans la nature (lacs, océans, fleuves…). Cette vapeur d'eau se mélange à l'air, puis s'élève dans l'atmosphère et se refroidit par détente.
Lorsque les précipitations liquides ou solides sont déversées sur les continents, environ 60 % de ces précipitations s'évaporent à nouveau. Le reste ruisselle vers les cours d'eau ou s'infiltre dans le sol pour alimenter les nappes souterraines (nappes phréatiques).
Le cumulus :
Ce sont ceux qu'on appelle "nuages de beau temps" et que l'on voit très fréquemment en été. Ils ont un aspect moutonneux et ont une durée de vie de 5 à 40 minutes.
Observer la virga pour savoir s'il va pleuvoir
Ce qu'il faut observer, conseille Guillaume Séchet, météorologiste et créateur du site Meteovilles.com, c'est le rideau gris appelé « virga » que l'on aperçoit sous les nuages. La virga est composée de gouttelettes de pluie ou de minuscules cristaux de glace.
L'albatros est peut-être le prince des nuées, mais le roi, c'est lui – le cumulonimbus. Car il est le plus haut, le plus puissant, le plus dangereux des nuages, lui qui génère les orages - éclairs, tonnerre, pluies diluviennes et vents violents.
Cumulonimbus (Cb) | Altitude : 300 à 17 000 m
C'est le nuage d'orage. Sa base aux alentours de 300 à 1 000 mètres peut s'étendre verticalement au-delà de 10 000 mètres (jusqu'à la stratosphère où son sommet s'étend, formant une enclume).
En effet, lorsqu'une lumière blanche, autrement dit le rayonnement solaire, percute la surface de l'eau, une partie est réfléchie (première raison de la couleur bleue de la surface des eaux) et l'autre est réfractée et pénètre dans l'eau.
Lorsque nous observons un ciel bleu, ce que nous voyons en réalité, ce sont les ondes bleues qui sont dispersées dans notre atmosphère. La nuit, puisque la lumière blanche du Soleil n'est plus présente, le ciel n'a aucune couleur et apparaît noir.
En effet, plus on grimpe en altitude, plus la couche de l'atmosphère se réduit et moins la lumière est diffusée. » Le bleu du ciel apparaît donc plus foncé. C'est le cas par exemple en montagne.
Dans l'espace, il n'y a rien du tout, ni atmosphère ni oxygène. Personne ne peut donc y respirer. C'est pourquoi les astronautes qui travaillent à l'extérieur de la Station Spatiale Internationale doivent revêtir un scaphandre dans lequel ils reçoivent de l'air. Sur la Lune, il n'y a pas d'atmosphère.
L'exosphère s'étend jusqu'à 10 000 km d'altitude, là où s'arrête l'atmosphère et où commence l'espace. C'est dans cette zone que gravitent les satellites artificiels.
En fait il peut se déplacer à plus de 200 Km/h et paraitre immobile, car il se "crée" à l'approche immédiate du sommet, se détruit aussitôt passé le sommet, et le début du nuage passe en quelques secondes le sommet avant de disparaitre.
Il s'agit d'une variation assez brusque de l'intensité et de la direction du vent. Les turbulences générées directement par l'avion sont un autre type d'incident qui peut survenir en vol. Cela se produit lorsque de grandes masses d'air entrent en collision avec les extrémités des ailes de l'avion.
Contrairement aux apparences, le vent ne pousse pas les nuages.