Du fait de la rotation de la terre, ce courant circule de l'ouest vers l'est. Il contient des vents puissants qui peuvent atteindre 200 km/h. Donc, quand un avion vole vers l'ouest, il va contre ce courant, ce qui a pour effet de diminuer sa vitesse par rapport au sol, et le temps de vol est donc plus long.
C'est à la configuration de l'atmosphère que l'on doit ce décalage temporel. Il existe en haute atmosphère des vents d'ouest permanents qui accélèrent l'avion lorsqu'il va d'ouest en est, mais le ralentissent lorsqu'il vole à contre-courant.
Saviez-vous qu'une énergie naturelle propulse les avions dans les airs et accroît leur vitesse? En effet, les compagnies aériennes tiennent compte du courant-jet – un courant d'air en haute altitude – pour planifier leurs trajectoires de vol.
L'impact des vents dominants sur le temps de vol et de retour d'un avion. Tout avion rencontre une résistance au contact de l'air. C'est d'ailleurs cette résistance qui lui permet de voler. Or ces masses d'air sont toujours en mouvement.
Le vent, au sol et en altitude
Le choix du sens de piste est essentiellement dicté par les vents. Les avions décollent et atterrissent face au vent. L'appareil profite ainsi de la masse d'air opposée, ce qui permet une meilleure portance et de raccourcir la distance nécessaire au décollage et à l'atterrissage.
À l'inverse, lorsqu'un avion vole vers l'ouest (d'est en ouest), il doit faire face à des vents contraires provoqués par le déplacement des avions vers l'est. Cela s'oppose au mouvement vers l'avant de l'avion, le rendant plus lent et entraînant un temps de vol plus long.
Comment les pilotes préparent-ils un vol transatlantique ? Pour traverser l'océan, les avions empruntent les routes Atlantique Nord, des voies aériennes dont le tracé varie en fonction des conditions météorologiques.
Parce que le Pacifique est très large, et les États-Unis aussi. La distance entre New York et Hong Kong est de 12970km en passant par l'Ouest, et 13200km en passant par l'Est. C'est quasiment la même chose.
Dans l'hémisphère nord, les vents d'ouest en est sont très importants. Au retour des États-Unis, les avions empruntent un couloir aérien qui leur permet d'être « poussés » par ces vents. Propulsés par le jet-stream, les avions se déplacent plus vite, ce qui réduit les heures de vol entre New York et Paris.
Les avions de chasse optent pour le vol à basse altitude pour éviter de se faire détecter ou de se faire prendre pour cible par l'ennemi. Par mauvais temps, il est aussi préférable, voir important, de rester en vue du sol ou de l'eau.
L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 65 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
Ce qui apparaît sur une carte ou une surface plane comme une ligne droite n'est pas la distance la plus courte entre deux points.. C'est parce que la terre n'est pas plate., mais c'est une sphère. Donc, la distance la plus courte entre deux points sur une sphère est un arc plutôt qu'une trajectoire droite et constante.
Vitesse Maximale : La vitesse maximale d'un avion dépend du type d'avion. Les avions commerciaux de ligne ont généralement des vitesses maximales autour de Mach 0,85 à Mach 0,89, soit environ 1 040 à 1 125 kilomètres par heure (650 à 700 miles par heure).
Les avions de ligne volent en croisière entre 7.000 et 12.000 mètres d'altitude, car à cette hauteur, l'air est beaucoup moins dense et oppose moins de résistance à l'avion. De plus, l'air étant plus rare là-haut, les moteurs avalent moins d'air.
Lors d'un trajet en avion, les variations de pression peuvent provoquer des douleurs dans les sinus et les oreilles. Lors de l'ascension de l'appareil, la pression diminue dans la cabine ; l'air contenu dans les sinus et dans l'oreille moyenne (située derrière le tympan) se dilate.
Avant de pouvoir atterrir, les avions tournent au-dessus du terrain pour attendre leur tour, pour perdre de la hauteur, pour aborder la piste dans la direction d'où vient le vent, ou pour recevoir les ordres que leur donne la tour de contrôle.
La durée totale du vol entre Paris et New York est d'environ 08:42 heures, en considérant une distance moyenne de 6 038 km, tant pour les vols directs que pour les vols indirects de l'itinéraire (qui peuvent avoir un ou plusieurs arrêts dans d'autres villes entre les deux).
La raison est à chercher du côté des vents en altitude. Les avions ne sont pas comme les trains. Un trajet en TGV aura la même durée à l'aller et au retour (si vous prenez exactement le même chemin).
Normalement, les avions commerciaux volent à une altitude qui oscille entre 17.000 et 40.000 pieds, ce qui correspond à 5.100 et 12.200 mètres au-dessus du niveau de la mer. Les jets privés peuvent, eux, aller encore plus haut, sans toutefois dépasser le plafond symbolique des 51.000 pieds, soit 15.500 mètres.
Les avions ne semblent pas voler en ligne droite parce que la terre est ronde, pas plate. Ainsi, la trajectoire de vol la plus courte entre deux endroits ressemblera à une ligne courbe sur une carte plate.
La Mecque est proche de Jeddah
La première et simple raison est que la Mecque est à une distance d'environ 90 km de Djeddah. Ce ne serait pas une bonne idée de construire un nouvel aéroport à La Mecque et de le surpeupler avec l'équipage des vols, les passagers en transit et d'autres personnels de soutien.
Sans oublier Sao-Tomé-et-Principe, la Sierra Leone et le Soudan. D'autres pays sont classés dans une autre catégorie, c'est-à-dire que les pays sont autorisés au sein de l'UE, mais leurs avions ne le sont pas. Il s'agit de l'Iran (Iran Air, Iran Aseman Airlines), de la Corée du Nord (Air Koryo, etc.).
En cas de turbulences, on choisit les ailes
"Pour la simple et bonne raison que c'est le centre de gravité de l'avion et donc la partie la plus stable", avance Joachim Coursimault. En revanche, évitez l'arrière de l'appareil qui risque de rapidement bouger en cas de trous d'air, surtout si vous avez le mal de l'air.
Le bruit aérodynamique est dû aux turbulences aérodynamiques créées autour de l'avion.
Selon lui, les places à l'arrière ont prouvé être plus sûres ainsi que celles près de l'aile de l'avion. “Les solides composants structurels des ailes font que cette partie de l'avion est plus à même à résister à un crash”, explique-t-il.