L'Ancien Testament a été écrit presque entièrement en hébreu, mais aussi en araméen et en grec, sans doute entre le 7e et le 2e siècle avant J. -C. La Bible juive est composée de trois textes : la Torah, qui signifie la Loi,
Il les reconnaît comme faisant intégralement partie des Écritures canoniques (« Ancien Testament »), bien qu'il en ait partiellement abandonné les préceptes rituels et qu'il ne reconnaisse pas d'autorité aux enseignements rabbiniques.
La Bible hébraïque : « Le mot Torah est formé à partir d'une racine hébraïque yarah qui signifie "enseigner". Torah désigne d'abord les cinq premiers livres de la Bible ou Pentateuque, mais aussi le rouleau de parchemin sur lequel est copié le texte de la Torah, et par extension, tous les écrits sacrés du judaïsme.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
La Bible est un terme générique désignant les ensembles de textes sacrés des chrétiens et, par extension, ceux des juifs qui préfèrent le plus souvent le terme d'Écrits ou de Tanakh à ceux de Bible juive ou Bible hébraïque.
Dans le judaïsme, nom hébreu (de yaroh, « guider », « enseigner ») donné par la tradition juive à la Loi mosaïque. En son sens premier, la Torah désigne les cinq premiers livres de la Bible hébraïque : la Genèse, l'Exode, le Lévitique, les Nombres et le Deutéronome.
La plupart des chrétiens reconnaissent Jésus-Christ comme le Fils unique de Dieu et comme l'une des trois personnes du Dieu trinitaire. Sa mère est Marie de Nazareth.
Elohim (Hébreu : אֱלֹהִים) est le nom le plus couramment utilisé de Dieu dans la Bible hébraïque, et le premier à y apparaître (Gn 1,1). Contrairement aux autres noms mentionnés dans cet article, il est aussi utilisé pour désigner les divinités des autres religions (ex : Ex 9,1, Ex 12,12, Ex 20,3).
Le nom de Dieu le plus fréquent dans la Bible juive est Yahvé (qui signifie « il est » en hébreu). Il s'écrit encore YHWH, forme consonantique imprononçable, car les Hébreux croyaient à l'interdiction de prononcer le nom sacré de Dieu. Ils évitaient aussi ce sacrilège en l'appelant Seigneur (Adonaï).
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
1Le Coran contient, on le sait, de nombreux passages où il est question de figures de l'Ancien et du Nouveau Testament.
L'Ancien Testament, aussi appelé Premier Testament, est, dans le christianisme, la partie de leur Bible relative à l'avant Jésus-Christ. Elle est formée de livres de la Bible hébraïque (Tanakh). Pour les chrétiens, il forme la première partie de la Bible, la seconde partie étant le Nouveau Testament.
Alors que dans le Nouveau Testament, le nom des auteurs est assez clair, l'Ancien Testament est un peu plus mystérieux quant à ses auteurs. Il est l'héritage du peuple juif. Or, les traditions israélites au sujet de la paternité d'une œuvre ne sont pas souvent évoquées dans les cercles chrétiens.
L'expression « Ancien Testament » a été appliquée par les chrétiens à partir du milieu du IIe siècle après JC aux livres qu'ils partageaient avec le judaïsme, lorsqu'eux-mêmes constituèrent leurs propres écrits (Nouveau Testament).
La lecture se fait en présence d'un minyan, un quorum de dix personnes. Chez les Juifs orthodoxes, il s'agit de dix hommes ; dans le Judaïsme réformé, ce minyan peut être mixte.
Dans la Bible hébraïque, le tétragramme YHWH est le seul de tous les noms attribués au dieu d'Israël qui soit présenté comme son nom propre.
Nom : Moïse ben Amram, de la tribu de Lévi. Né : vers 1280 av. J. -C., en Egypte.
Le Dieu suprême est « pensée pure », c'est-à-dire pensée de soi, qui n'est déterminée par aucun objet quel qu'il soit (en Dieu, cependant, cette pensée de soi contient le tout) ; elle est la fin ultime de la méditation et de la prière du mystique.
À cette époque, les gens croient en plusieurs dieux. Or, Abraham reçoit d'un dieu unique la promesse d'être guidé vers une terre, en échange de sa foi. C'est la naissance du judaïsme, première religion monothéiste. Abraham suit l'ordre de Dieu et part avec les siens.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.
La Tradition attribue les cinq premiers livres à Moïse, le livre des Psaumes à David ou tel autre encore au prophète Isaïe ou à Jérémie. On sait aujourd'hui que la composition de la Bible a été longue et complexe, faite d'emprunts à des traditions orales, à des chroniques royales ou encore à des écoles de pensée.
La foi chrétienne proclame que Jésus est le Fils de Dieu. Mais l'histoire montre, apparemment, que Jésus n'a pas eu la préoccupation de s'affirmer tel. Bien plus, à ses origines, la prédication chrétienne paraît négliger, au profit d'autres insistances, cette affirmation de foi à nos yeux si centrale.
Pierre avait sans doute entrevu quelque chose quand, à la question de Jésus sur ce qu'on disait de Lui, il a répondu : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ! » (Matthieu 16/16). Et le moment où, sur la montagne, il a été transfiguré devant eux les a laissés perplexes (Matthieu 17/1-9).
Pour les chrétiens, c'est un mystère : le mystère de la Trinité. Dieu est unique et, pourtant, il est trois personnes : le Père, le Fils (Jésus) et le Saint-Esprit. Quand Jésus prie Dieu, il ne se parle pas à lui-même ! La prière de Jésus nous apprend à parler à Dieu comme à notre Père.