Ainsi le nom wagon s'est d'abord prononcé avec un <w> conforme à la prononciation anglaise d'origine, auquel un <v> s'est substitué dans la seconde moitié du 19e siècle, sans doute sous l'influence de l'allemand Wagen – ce qui explique la variante graphique vagon que l'on trouve tant chez Littré que chez Larousse.
Lorsqu'il se dit comme un [v] («wisigoth», «wagnérien»), c'est, la plupart du temps, parce que le mot vient de l'allemand, et quand il sonne plutôt comme un [ou] («week-end», «western», «whisky»), c'est que l'origine est anglaise.
Vagon est l'ancienne orthographe de "Wagon" ; le terme désigne donc un véhicule ferroviaire tracté, servant au transport de différentes marchandises ou au transport d'animaux. Exemple : Le vagon vide filait sur les rails à toute vitesse.
La prononciation est normalement \v\ dans les mots venant de l'allemand ou de l'alsacien (ou quand la prononciation a été influencée par l'allemand) : walkyrie, Wagner, wagnérien, Lech Walesa, warrant, weltanschauung, wergeld, winstub, woïwodie, wisigoth, wolfram, wormien, würmien, wyandotte…
(1698) De l'anglais wagon , du néerlandais wagen (« voiture, wagon »), du proto-germanique * wagna, du radical indo-européen * wegʰ-. Le mot a d'abord en français le sens de « chariot », dans des emplois isolés ; le sens ferroviaire est attesté depuis 1826.
Ainsi, aujourd'hui, l'usage du mot wagon est réservé au transport de marchandises et d'animaux. L'usage du mot voiture désigne l'habitacle pour le transport de voyageurs.
wagner de queue ou fourgon-frein, dernier wagon du train, appelé « cambuse » en Amérique du Nord (« caboose » en anglais) ; il était autrefois équipé d'un serre-frein manuel gardé par un agent.
Le mot wagon a été emprunté à l'anglais au début du XIXe siècle. Au départ, les deux variantes ont coexisté. D'ailleurs, la prononciation en [ v ] a entraîné la création de la variante graphique vagon , qui n'est plus utilisée aujourd'hui.
Lorsqu'il se dit comme un [v] («wisigoth», «wagnérien»), c'est, la plupart du temps, parce que le mot vient de l'allemand, et quand il sonne plutôt comme un [ou] («week-end», «western», «whisky»), c'est que l'origine est anglaise.
« w » se prononce [w] comme dans « watt ». Le néerlandais comporte aussi des suites de consonnes: « ch », « sch » et « ng ».
wagon n (pluriel: wagons)
Les trains ont des tampons entre les wagons pour absorber les chocs. Trains have buffers between wagons to absorb shocks.
En 1859, l'industriel français Louis-Xavier Gargan invente le « wagon-citerne », il dépose le brevet d'invention le 23 juillet 1859. L'emploi du bois pour le transport du vin se généralise dès 1880 : on parle de wagon-foudre.
Outre-Atlantique, la non-prononciation du -l final dans les mots comme persil, sourcil, nombril ou baril est la règle !
En fait, il s'agit d'un cas de variation régionale : le même mot n'a pas la même prononciation d'un endroit à l'autre. Prononcer moins en faisant entendre le s final n'est pas une erreur, juste une prononciation régionale.
Dans le sud et l'ouest de la France ainsi qu'en Normandie, poulet se prononce usuellement avec la voyelle finale [ e ] (« é »). A l'inverse, dans le nord et l'est de la France ainsi qu'en Bretagne, la prononciation courante est [ pulɛ ] (« pou-lè »).
Ces mots contiennent tous le même son : c'est le son [ w ]. Le son [ w ] peut s'écrire de différentes façons. Dans le mot wagon, la lettre W se prononce [ v ].
C'est une ancienne ligature datant du Moyen Âge, réunion de deux V (d'où le nom en français, double v) ou de deux U (en anglais : double u). Chilpéric ajouta à l'alphabet quatre caractères de son invention, parmi lesquels un affecté à la prononciation qu'on a depuis rendue par le double v.
Dans l'écriture cursive de la lettre w, on voit au moins une fois la lettre v. Même si en écriture script il est clair que w est formé par deux v, en cursive, cela saute aux yeux que c'est plutôt un u accolé à un v.
Véhicule ferroviaire remorqué, destiné au transport des marchandises ou des animaux, par opposition à voiture ; son contenu.
Wagonnier, subst. masc.,technol. Ouvrier qui manœuvre les wagonnets.
Le train peut transporter jusqu'à 155 tonnes par wagon. La charge maximum par essieu de chaque wagon est de 44 tonnes. La charge totale du train est d'environ 30 000 à 50 000 tonnes.