Pourquoi je parle doucement ? - Quora. Cela peut provenir d'un problème de santé ou d'une certaine timidité.
Parler doucement peut être perçu comme un manque de confiance en soi, être introverti ou simplement nerveux. Parler posément et d'une voix forte constitue une base solide pour la façon dont vos auditeurs vont vous percevoir en tant que personne.
Les personnes qui ne parlent pas beaucoup sont principalement appelées des introverties ou des timides. On croit souvent qu'elles sont impolies ou distantes, alors qu'il s'agit simplement d'un trait de personnalité.
Les causes. Être taciturne vient généralement de l'humeur et du caractère de la personne. En effet, certains événements plus ou moins traumatisants ont pu affecter son caractère et sa perception de la vie. Il s'est renfermé sur lui-même et n'arrive plus à exprimer ce qu'il ressent.
Présenter très clairement votre projet, vos idées et votre point de vue. Donner un impact à vos présentations orales. Attirer l'attention de votre auditoire, et ce, quelle que soit sa taille. Mieux comprendre l'importance de la communication non-verbale pour développer votre impact personnel.
Il y a parfois des raisons de parler vite volontairement et ainsi d'impressionner son auditoire. Cela peut se justifier à l'occasion d'une présentation commerciale où le communicant recherche l'effet de surprise plus que la raison. Où l'élan et l'enthousiasme cherchent à compenser la pauvreté ou la maigreur du propos.
L'égocentrique monopolise toujours la conversation et n'écoute pas ce que les autres ont à dire car trop centré sur sa personne. L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc. L'égocentrique ne s'intéresse pas aux autres sauf pour savoir ce qu'ils pensent de lui.
Les personnes égocentriques sont difficiles à supporter, car elles sont obsédées par elles-mêmes et ont besoin de se sentir admirées par autrui, mais en retour elles ne s'intéressent pas aux autres. Cela peut donc s'avérer incompatible avec les relations d'amour et d'amitié.
Le terme égocentrisme, issu du latin ego (qui signifie moi) et de centrum (qui signifie centre) signifie littéralement "centré sur soi". Ce trait de personnalité se caractérise par une tendance à ne penser qu'à soi, à se focaliser sur ses intérêts et à considérer son opinion comme la plus importante.
"La vitesse de la parole est le seul facteur qui apparait lié à l'intelligence, confirme Sébastien Bohler. Un débit important indique une personnalité qui n'hésite pas, compétente et dotée d'un cerveau qui va vite."
Les Laconiens avaient en effet la réputation d'être des gens concis ! – du latin taciturnus, « silencieux », taciturne désigne quelqu'un qui parle peu par humeur ou par tempérament. Synonyme : taiseux.
N'attendez pas qu'on vous cède la parole
Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut. Et enchaînez tout de suite en lui disant : « Écoute, Paul, tu me parles de…, mais moi, ce dont je veux te parler, c'est… »
Parlez à haute voix, lisez des textes en articulant, apprenez de nouveaux mots dans le dictionnaire… Puis répétez, chaque jour, des phrases et expressions qui permettent de développer votre éloquence. Attention, parler à voix haute ne veut pas dire crier. Vous devez rester naturel !
Apprenez à vous tenir bien droit. Évitez de croiser les bras ou de bouger dans tous les sens. En revanche, vous pouvez faire des gestes avec les mains pour apporter plus de précision et de force à vos propos. Pensez également à bien regarder vos interlocuteurs dans les yeux sans pour autant les fixer.
Le professeur de sociologie américain Charles Derber a donné un nom à cette légère tendance égocentrique à attirer les conversations à soi : le narcissisme conversationnel. Dans ses travaux, il décortique sans ménagement notre société de plus en plus individualiste.
– loquace :une personne loquace (même origine que "éloquent") parle volontiers et abondamment mais ses propos sont souvent de peu d'importance ; – prolixe : un discours prolixe est trop long, chargé de détails inutiles.
Inspirez rapidement et sans bruit, puis expirez lentement juste avant de commencer à parler. Essayez de détendre votre région abdominale quand vous inspirez. Gardez vos épaules et votre poitrine le plus immobile possible. Faites une pause à la fin d'une phrase, juste avant de vous essouffler.
Parler mal des autres cache une faible estime de soi
Parler mal des autres en dit long sur la manière dont une personne se voit elle-même. Derrière la critique se cache de l'insécurité et une faible estime de soi, assure l'étude publiée par l'Association Américaine de Psychologie (APA).
Il y a des personnes réservées qui se sentent mal dans les conversations de groupe pour des questions de timidité, d'anxiété ou de manque de confiance. Parce qu'elles ne savent parfois pas quoi dire dans les conversations et elles se comparent à leurs interlocuteurs beaucoup plus à l'aise et expansifs.
Voyez s'il parle plus doucement lorsque vous êtes près de lui. Cela peut être une façon de vous signifier que vous pouvez vous pencher vers lui et vous rapprocher.
La logorrhée est un terme médical qui est principalement utilisé en psychiatrie. Ce trouble du langage est souvent constaté lors d'accès maniaques chez des personnes bipolaires ou maniaco-dépressives. Les personnes logorrhéiques peuvent présenter un débit de paroles entre 180 et 220 mots par minute.
Ce que je vous conseille plus généralement, c'est surtout de réagir avec calme, fermeté et bienveillance, même si la personne en face de vous ne fait que vous interrompre. Vous lui montrerez que votre parole a de la valeur et qu'il doit aussi vous écouter. Mais ne prenez pas tout non plus personnellement.
Manipulation égocentrique
C'est ce manipulateur qui fera tout pour vendre des encyclopédies aux personnes âgées, sans se préoccuper de l'intérêt de celles-ci, c'est ce manipulateur qui met des bâtons dans les roues de ses collègues pour se faire « bien voir » de la direction ou pour obtenir une promotion à leur place.
Couper la parole et recentrer le sujet sur soi peut aussi cacher un évitement des émotions de l'autre. Pour éviter de faire face au stress, à la tristesse ou au questionnement de son interlocuteur, la personne préfère détourner la conversation au profit d'un sujet qu'elle connaît bien, c'est-à-dire elle-même.