Alors qu'un exsudat clair indique le plus souvent une guérison saine, une coloration jaune ou noire peut indiquer une infection. Il est donc important de surveiller de près la couleur de l'exsudat de votre plaie et d'intervenir si nécessaire.
Une plaie fibrineuse, également appelée plaie jaune, est une plaie recouverte de tissu jaunâtre plus ou moins adhérent et visqueux. 💡 La définition médicale de la fibrine est la suivante : la fibrine est une protéine fibreuse qui n'est pas présente à l'état naturel dans le corps.
Conclusion : les plaies exsudatives sont identifiables au fluide jaune pâle à leur surface : les exsudats. La meilleure façon de les soigner est d'appliquer un pansement américain, qui va venir absorber les exsudats et accélérer la cicatrisation.
Exsudat purulent : épais, opaque, jaune, vert ou brun, il est associé à une infection ou à la présence d'un niveau élevé de bactéries. Il est absent dans les conditions normales.
La couleur verte correspond à l'infection de la plaie.
Elle survient quand des micro-organismes parviennent à échapper aux stratégies de défenses de l'hôte. L'infection relève donc, soit d'un échec thérapeutique, soit d'une prolifération anormale du microbe au sein de la plaie.
Si elle est profonde et béante, ou au contraire petite mais provoquée par un objet pointu (couteau, clou, etc.). Si la plaie touche l'œil ou la main, quelle que soit sa profondeur. Si le blessé présente une pâleur du visage, des sueurs, une soif importante, des vertiges ou des petits malaises.
gardez la plaie au sec durant les premières 48h. au delà de 48h, vous pouvez laisser la plaie à l'air. si vous mettez un pansement, changez-le le moins possible afin d'éviter l'irritation de la peau, et veillez à ce qu'il reste sec. Un pansement humide doit, par contre, être remplacé le plus vite possible.
Toutes les plaies produisent un exsudat. Bien qu'il soit majoritairement composé d'eau, il contient également des électrolytes, des nutriments, des protéines, des médiateurs inflammatoires, des enzymes permettant de digérer les protéines (notamment des métalloprotéinases), des facteurs de croissance et des déchets.
Les signes d'infection à surveiller :
Enflure, rougeur et chaleur autour de la plaie.
La plaie bourgeonnante
Elle présente un aspect rouge. Cela traduit la présence d'un tissu en bonne voie de cicatrisation. Cet aspect de la plaie est le signe d'une bonne vascularisation qui permet la migration et l'implantation des fibroblastes.
Appliquer du miel frais sur une plaie en cours de cicatrisation, ouverte ou fermée, permettra d'accélérer la cicatrisation de la peau. Il suffit de masser doucement la plaie avec le miel afin de faire pénétrer et d'éviter l'accumulation des cellules mortes ce qui améliorera la circulation sanguine.
Lavez votre blessure avec de l'eau tiède et désinfectez-la
La première chose à faire est de nettoyer la plaie. La cicatrisation commence dès lors qu'il y a une ouverture de la peau et donc, une exposition potentielle aux bactéries extérieures de l'environnement.
La fibrine restant dans les plaies fait partie des débris tissulaires qui sont des obstacles à la cicatrisation des plaies profondes. Ces débris nuisent à la circulation sanguine dans la plaie et favorisent le développement d'une infection. Ils doivent être retirés par des soins infirmiers.
Si vous avez fait vous-même un pansement, changez-le tous les jours pendant 2 à 3 jours, puis tous les 2 jours si la plaie est propre (sans rougeur ni suintement). Si vous avez une prescription médicale concernant le changement des pansements, suivez-la.
Mécaniques : frottement, appui anormal, hyperbourgeonnement, hyperkératose, éversion ou invagination des berges, plaie trop cavitaire ne permettant pas un méchage efficace, troubles de la marche etc…
Le pus est plus ou moins épais et grumeleux. Il est susceptible de former un abcès dans une cavité ou dans un tissu, et peut aussi être présent dans un mucopus (exsudat abondant contenant du pus), lors d'une rhinorrhée (écoulement avec infection des voies respiratoires), par exemple.
Le pansement alginate convient pour la fibrine humide et les plaies infectées. Évaluation des plaies, maîtrise des différents types de pansements, prescription, surveillance et cicatrisation.
Une plaie ne cicatrise pas: comment y remédier? La mesure principale contre une mauvaise cicatrisation est la prévention. Pour assurer une bonne cicatrisation, il convient de nettoyer et de désinfecter correctement la plaie et de la traiter ensuite avec une crème cicatrisante.
Action sur la plaie
Une plaie peut présenter de la fibrine. Elle ressemble à des filaments blancs ou jaunâtres.
Nettoyage de la plaie : le nettoyage de la plaie avec une solution saline ou un nettoyant doux peut aider à enlever la fibrine et les autres débris de la plaie. Irrigation : l'irrigation de la plaie avec de l'eau propre ou une solution saline peut aider à enlever la fibrine et les autres débris de la plaie.
La fibrine ne préexiste pas dans le sang ; elle n'apparaît qu'au moment de la coagulation.
Elle prévient et traite les infections des petites et grandes plaies, et réduit le risque de cicatrices. Le médicament ne pique pas, et offre ainsi une bonne tolérance. La solution de Betadine convient notamment pour le nettoyage et le rinçage des plaies infectées.
En fonction du type de blessure et des soins apportés pendant les deux premières phases, la peau peut prendre une teinte rosée qui s'estompe de plus en plus au fur et à mesure. On estime que cette dernière étape peut aller de quelques semaines jusqu'à 2 ans selon la gravité de la blessure.
Les bonnes raisons de privilégier la cicatrisation en milieu humide. Quand le milieu de la plaie reste humide, la cicatrisation est accélérée et le risque de formation de cicatrices disgracieuses est réduit. La formation de croûtes est évitée.