Le rétrécissement aortique est le plus souvent dû à une calcification progressive des valvules liées au vieillissement. On ne connaît pas précisément l'origine de ces calcifications, mais on sait que le tabagisme, l'hypercholestérolémie et le surpoids sont des facteurs de risque.
Le seul traitement efficace est le remplacement valvulaire aortique. Celui-ci se pratique de façon très fréquente dès 70 ans et aujourd'hui extrêmement fréquemment chez des patients de plus de 80 ans. Il reste encore rare au delà de 90 ans. La chirurgie est effectuée sous circulation extra-corporelle.
L'opération de la valve cardiaque est indiquée en cas de gêne fonctionnelle, de dilatation importante du ventricule gauche ou de l'aorte initiale. On remplace alors la valve par une valve artificielle ou biologique.
Le seul traitement permettant de guérir de cette maladie est le remplacement de la valve aortique par une valve artificielle (ou bioprothèse) par voie chirurgicale ou par voie percutanée (à travers la peau).
La calcification excessive entraînera le dépôt de calcium dans différents tissus qui n'en contiennent généralement pas, comme les articulations et les vaisseaux sanguins. Une calcification insuffisante mènera quant à elle au ramollissement des os et des dents.
Le rétrécissement aortique est le plus souvent dû à une calcification progressive des valvules liées au vieillissement. On ne connaît pas précisément l'origine de ces calcifications, mais on sait que le tabagisme, l'hypercholestérolémie et le surpoids sont des facteurs de risque.
Des infections bactériennes ou des atteintes rhumatismales peuvent également abîmer les valves cardiaques et les empêcher de fonctionner correctement. Lorsque les valves se ferment mal, du sang reflue dans les oreillettes ou les ventricules à chaque contraction du cœur.
La valve a une durée de vie d'une quinzaine d'années.
Éliminer les dépôts de calcium qui se sont formés sur les feuillets valvulaires. Réparer les cordages qui commandent les mouvements des feuillets valvulaires. Rattacher la valve à ses cordages. Renforcer l'orifice valvulaire en ajoutant du tissu ou en cousant un anneau d'annuloplastie autour de l'orifice valvulaire.
Vivre avec un rétrécissement aortique
En cas de RA, l'activité physique doit être autorisée par le cardiologue. Le rétrécissement aortique serré est une contre-indication formelle aux efforts importants. De plus, il se peut que les voyages long courrier en avion soient déconseillés.
Adopter une alimentation faible en sel et saine pour le cœur. Le sel est composé de sodium et de chlorure. Il est présent dans les aliments, le sel de table et le sel de mer. Un apport trop important en sel dans votre alimentation peut entraîner une accumulation de liquide et forcer votre coeur à travailler plus fort.
Une valvulopathie évoluée donne habituellement des symptômes : essoufflement, palpitations, douleurs thoraciques ou syncopes. Elle peut cependant exister sans gêner l'activité ordinaire, ou sans que la gêne soit réellement ressentie par le patient, tout en altérant la fonction cardiaque.
On pratique d'abord une anesthésie locale, puis guidé par la radioscopie télévisée, on place la pointe des aiguilles au sein de la calcification. Par ces aiguilles, on « lave » la calcification avec le produit anesthésique. Ce produit anesthésiant (xylocaïne) dissout le calcium.
Les minéraux, dont le calcium, élément majeur de la minéralisation. Le calcium nécessaire est apporté par l'alimentation. Il doit être associé au phosphore qui, lui, se trouve principalement dans la trame. Les sources de phosphore sont le jaune d'œuf, les viandes blanches, le poisson et également le riz.
Le rhumatisme à hydroxyapatite, également appelé maladie des calcifications tendineuses multiples, est une arthrite microcristalline caractérisée par l'accumulation d'hydroxyapatite (cristaux de phosphates de calcium) au niveau des tendons.
Le risque d'infection bactérienne du site opératoire est toujours présent avec toute chirurgie cardiaque à cœur ouvert. Dans le cas du Mycobacterium chimaera, le risque est très faible (de moins de 1 %). Par ailleurs, les risques associés au fait de ne pas être opéré sont nettement plus grands.
On associe souvent de la kinésithérapie respiratoire pour que le patient retrouve au plus vite ses capacités ventilatoires qui ont été diminuées temporairement de 20 à 30% par l'ouverture du sternum. La deuxième phase débute vers le septième jour, en fait elle débute dès que le patient est autonome !
Sommeil et repos après une opération du cœur
Pendant votre convalescence, vous vous sentirez encore souvent fatigué. Essayez de dormir au moins 8 heures par nuit et de vous reposer une petite heure après le repas de midi. Vous sentirez votre état physique et moral s'améliorer au fil de votre convalescence.
Étourdissements, vertiges ou quasi-évanouissement – ces symptômes sont plus courants en présence d'une sténose aortique.
Une valvulopathie peut être traitée par l'administration de médicaments, ou par une intervention chirurgicale à coeur ouvert. Il existe plusieurs options de traitement chirurgical qui peuvent être pratiquées par voie dite mini-invasive.
Mécanisme du risque cardiaque en lien avec les caries
Depuis quelques années, il est désormais avéré que la bactérie responsable des caries, le streptococcus mutans, se retrouve parfois dans les tissus cardiaques.
L'harpagophytum qui par contre est un puissant anti-infammatoire (n'ayant pas les effets secondaires des médicaments allopathiques), pourrait vous soulager. Vous pouvez l'associer au cassis pendant une dizaine de jours. Mais ne pas négliger de consulter votre médecin car on peut supprimer cette calcification.
L'histoire naturelle d'une calcification est d'évoluer spontanément vers la résorption et la guérison en passant par différents épisodes de douleurs, parfois intenses. Le délai de disparition de la calcification et des symptômes varie de quelques mois à plusieurs années.
Pour le moment, il n'existe pas de traitement pour réduire ce score calcique, on peut seulement traiter les facteurs de risques comme le tabac. L'objet de l'étude sera donc de pousser au développement d'un traitement.