Le gérondif s'utilise pour exprimer les circonstances de l'action exprimée par le verbe principal. C'est le temps idéal pour introduire un complément circonstanciel. Il permet de pouvoir désigner le verbe comme un adverbe tout en gardant ses propriétés de verbe. C'est en forgeant qu'on devient forgeron.
En français, l'équivalent du gérondif est un participe présent précédé de la préposition "en". Le gérondif a une valeur causale ou instrumentale : "On apprend en écrivant le métier d'écrivain." (relation de cause, ou de moyen).
Le gérondif présent permet d'indiquer que deux actions avec le même sujet se déroulent en même temps. Il est toujours introduit par la préposition "en" et il est invariable.
gérondif
En latin, forme verbale déclinable qui se substitue à l'infinitif dans certaines fonctions. 2. En français, forme verbale terminée par-ant et précédée de la préposition en, qui sert à décrire certaines circonstances de l'action.
Le participe présent dans sa forme verbale tend à désigner un état, tandis que le gérondif insiste sur l'action tout en restant invariable. Sa forme est : EN + participe présent. Exemple : En cherchant une solution, il évita l'aide d'autrui. Le gérondif exprime la simultanéité et aussi la manière.
Le gérondif, qui se forme avec en + participe présent, est employé lorsque les deux verbes ont le même sujet et expriment : - Le temps -> Je l'ai salué en passant. - La simultanéité -> Elle tricote en regardant la télévision. - La manière -> Le vase s'est brisé en tombant.
Pour faire le gérondif, on ajoute « en » + verbe + « -ant ». Le verbe est au participe présent. Pour cela, on ajoute « -ant » au radical du verbe conjugué à la première personne du pluriel présent (nous).
Le gérondif est un mode impersonnel du verbe, c'est-à-dire qu'il ne permet pas de distinguer les personnes grammaticales (je, tu, il/elle/on, nous, vous, ils/elles). Le verbe ne peut donc pas être conjugué. Un verbe au gérondif se termine toujours par -ant et est précédé de la préposition « en ». Il est invariable.
On utilise le gérondif comme un CC qui exprime le temps, la cause, la condition, la manière et l'opposition. cliquer ici Un complément circonstanciel : est un mot ou groupe de mots lié au verbe. apporte des précisions sur les circonstances (temps, manière, mesure, moyen, but, cause, lieu, comparaison...)
Le participe présent exprime une action. Il est formé du radical du verbe suivi de la terminaison -ant et est invariable. L'adjectif verbal exprime une qualité. À la différence du participe présent, il ne peut pas être suivi de compléments du verbe et surtout, il varie en genre et en nombre.
« Ayant » étant un participe présent, on répugne à l'accorder, même dans « ayant cause » et « ayant droit ». Les substantifs « ayant cause » et « ayant droit » s'écrivent sans trait d'union. Au pluriel, on accorde « ayant » : « des ayants droit », « des ayants cause ».
Exemple : ''Elles m'ont soutenu pendant cette dure épreuve.'' Dans le segment de phrase « elles m'ont soutenu », le participe passé « soutenu » est employé avec l'auxiliaire avoir. Dans un tel contexte, il ne s'accorde pas avec le sujet « elles ».
(Rappel, pour trouver le COD, on pose la question “quoi?/”qui?” après le verbe. Par exemple, “je mange des pommes” : je mange quoi ? -> des pommes.) Si le COD est placé devant le verbe, le participe passé s'accorde avec le COD. Par exemple, “les pommes qu'il a mangées”: le COD “que” est placé avant le verbe.
Le gérondif est toujours invariable. Formation : Radical du verbe à la 2nde personne du présent + terminaison en -ant. Dans la proposition, le sujet des deux verbes peut être le même ou différent.
Le passé simple à aspect ponctuel : Le passé simple en général exprime des actions accomplies, ponctuelles à la différence de l'imparfait qui exprime, lui, comme on a vu des actions qui durent. Hier, il plut et neigea.
-> L'imparfait duratif pour des actions qui durent : Elle demeurait rue de la Pépinière depuis trois ans. -> l'imparfait d'habitude (ou imparfait itératif) pour des actions qui se répètent : Pendant les vacances, elle se levait à dix heures tous les jours.
Lorsque le participe passé d'un verbe est employé seul, c'est-à-dire non accompagné d'un auxiliaire, on dit qu'il est employé comme un adjectif. Autrement dit, le participe passé employé tout seul se comportera exactement comme un adjectif. Toutefois, il ne faut pas confondre l'adjectif et le participe passé.
Le passé composé et le participe passé sont deux temps du passé (d'où leur nom !). Passé composé : Le passé composé se forme avec l'auxiliaire être ou avoir au présent de l'indicatif et le participe passé du verbe que l'on veut conjuguer.
Le participe passé ne s'accorde pas avec le sujet, mais avec le complément d'objet direct (COD), uniquement si celui-ci est placé avant. Exemples : « Le chat a mangé les souris ! » Le COD « les souris » est placé après le participe passé, on n'accorde pas.
Le participe présent exprime généralement une action se déroulant en même temps que l'action décrite par le verbe principal de la phrase. Je l'ai vu faisant son travail de fin de session. Elle salua l'homme quittant la pièce.
Pour reconnaître l'adjectif verbal, on peut essayer de le mettre au féminin en remplaçant le nom masculin auquel il se rapporte par un nom féminin. S'il s'accorde, c'est un adjectif verbal; dans le cas contraire, c'est un participe présent.
Le participe passé peut avoir plusieurs terminaisons, c'est un verbe conjugué à un temps composé. Le participe présent se termine par -ant, il est invariable.