L'évolution des températures moyennes annuelles en France métropolitaine montre un réchauffement depuis 1900. Ce réchauffement a connu un rythme variable, avec une augmentation particulièrement marquée depuis les années 1980.
Le CO2 produit par les activités humaines est la principale cause du réchauffement climatique. En 2020, sa concentration dans l'atmosphère était passée à 48 % au-dessus de son niveau préindustriel (avant 1750). D'autres gaz à effet de serre sont émis par les activités humaines en moindres quantités.
Le dioxyde de carbone est la principale cause des changements climatiques d'origine humaine. Il reste dans l'atmosphère très longtemps. D'autres gaz à effet de serre, comme l'oxyde nitreux, restent dans l'atmosphère longtemps. D'autres substances ne produisent que des effets de courte durée.
Dans les années 1940, il y eu un développement de la spectroscopie infrarouge pour mesurer les radiations à grande longueur d'onde. A cet époque, on a prouvé que l'augmentation de la quantité de dioxyde de carbone a eu comme conséquence plus d'absorption des radiations infrarouges.
Il y a 56 millions d'années, la Terre a connu l'un des plus importants et des plus rapides réchauffements climatiques de son histoire: le Maximum Thermique Paléocène-Éocène qui présente des similarités avec le réchauffement actuel et à venir. Cet épisode a vu les températures mondiales augmenter de 5 à 8°C.
On pourrait devenir de super nageurs
Certes d'un côté, la terre s'assèche mais les glaciers fondent et augmenteront considérablement le niveau de l'eau (pas besoin d'attendre 3000 ans pour que ça se produise, donc commencez à vous familiariser avec des palmes).
La température moyenne de la Terre a dépassé de plus d'un degré Celsius (1,8 F) le niveau de référence de l'ère préindustrielle. Ce nouvel état climatique persistera très probablement pendant des siècles, car il s'agit de la période la plus chaude depuis plus de 100.000 ans.
L'expression “réchauffement climatique” apparaît pour la première fois, cette année-là. Elle a été inventée par le climatologue Wallace Broecker dans la revue Science. A la fin des années 1970, la science a produit des modèles généraux de circulation atmosphérique mondiale.
Svante Arrhenius, scientifique suédois pionnier qui, en 1896, estimait pour la première fois l'ampleur du réchauffement dû à la combustion généralisée du charbon, voyait en ce changement une aubaine, une évolution vers « des climats plus équitables qui favorisera les climats terrestres les plus froids. »
C'est à la toute fin de ce siècle, en 1896 que le lien est réellement établi entre l'activité industrielle et un possible réchauffement du climat. Les recherches de Svante August Arrhenius, sonnent aujourd'hui à nos oreilles comme la première alerte scientifique révélant l'impact de l'Homme sur le climat.
La chute de ces indicateurs est bien sûr liée à la montée structurelle des températures qui, en 2050, seront entre 1,6 et 1,9 °C plus élevées que celles qui y étaient relevées durant la période 1976-2005.
Un immense nuage de poussières toxiques entraîna une baisse de la température mondiale moyenne de 1 °C, provoquant des dérèglements climatiques ressentis jusqu'en Europe en 1452-1453.
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.
Effectivement, non seulement la Terre se réchauffe mais elle se réchauffe à vitesse grand V, c'est-à-dire en quelques centaines d'années et non comme avant, c'est-à-dire progressivement sur quelques milliers d'années. Comparons l'énergie solaire reçue par la Terre et la température moyenne à la surface du globe.
Les principales conséquences sont la diminution de la disponibilité en eau et des rendements des cultures, l'augmentation des risques de sécheresses et de perte de biodiversité, les incendies de forêt et les vagues de chaleur.
Cette différence d'impact saute aux yeux lorsque nous analysons le taux de mortalité dû aux changements climatiques et à ses événements extrêmes pour chaque pays. Entre 1902 et 2021, les trois pays les plus impactés en nombre de morts sont la Chine, l'Inde et le Bangladesh (Uswitch).
La première, c'est que l'Europe est un continent et les continents se réchauffent plus vite que les océans. C'est lié au fait que les océans absorbent la chaleur sur toute leur profondeur. Mais, surtout, quand l'océan se réchauffe, sa surface s'évapore.
Le rapport a été catégorique dans sa conclusion : les changements climatiques sont réels et les activités humaines, en grande partie le rejet de gaz polluants provenant de la combustion de combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz), en sont la cause principale.
La Normandie : Déjà attractive aujourd'hui, particulièrement pour les franciliens, cette région va voir sa côte augmenter. Elle permettra de bénéficier d'un environnement naturel varié et doux. Le climat sera plus agréable qu'ailleurs, l'agriculture y sera plus répandue et les produits locaux facilement accessibles.
Elle utilise les termes « global warming » ou « climate change ». Leur traduction littérale n'est pas réchauffement climatique, mais respectivement « réchauffement planétaire » et « changement climatique ».
Le pays le plus chaud au monde est la Libye.
Température record à El Azizia avec… 57,8° en Septembre 1922 !
Par ailleurs, sans la chaleur du soleil, la surface terrestre se refroidirait jusqu'à atteindre la température de l'espace: environ –270 °C. Or, l'oxygène devient liquide à –183 °C et solide à –219 °C; et l'azote est solide à –210 °C.
C'est le phénomène de l'effet de serre naturel. Sans cet effet de serre, la température à la surface de la Terre serait de -18°C et la vie, si elle s' y avérait possible, serait fort différente. Le Soleil nous envoie un rayonnement composé d'un peu d'ultraviolets, et surtout de lumière visible et d'infrarouge proche.