Melancholia est un poème de Victor Hugo, écrit en juillet 1838 à Paris et paru en 1856 dans le recueil Les Contemplations. Dans ce poème en alexandrins, Victor Hugo dénonce le travail dur et pénible des enfants.
« Melancholia » est un long poème dénonçant la misère du peuple dans le contexte de la révolution industrielle.
« Melancholia » témoigne de l'engagement politique de Victor Hugo auprès des plus démunis. Le poète a recours à de multiples registres pour dénoncer l'exploitation des enfants dans les usines : descriptions réalistes, fantastiques, prise de position polémique contre l'industrialisme.
Melancholia est donc pathétique réaliste. Ce poème écrit avec précision la société du siècle dernier, montrant les conditions déplorables des enfants dans le monde de l'usine. Il insiste sur le fait que ce sont les enfants et non les adultes qui donnent la joie de vivre au monde.
Notre poème « Melancholia » se trouve dans le Livre Troisième des Contemplations : « Les Luttes et les Rêves ». Ce titre est révélateur : c'est le rêve, c'est à dire, la vision d'une société plus juste, qui alimente les luttes du poète.
Melancholia est un poème de Victor Hugo, écrit en juillet 1838 à Paris et paru en 1856 dans le recueil Les Contemplations. Dans ce poème en alexandrins, Victor Hugo dénonce le travail dur et pénible des enfants.
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Dans la même prison le même mouvement.
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs, que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Dans la même prison le même mouvement.
Extrait des Contemplations, recueil paru en 1856, « Demain, dès l'aube… » est un poème d'amour et de deuil. Victor Hugo l'a écrit en hommage à sa fille Léopoldine, décédée le 4 septembre 1843. Il y évoque son pèlerinage annuel sur sa tombe.
Composition des Contemplations : deux parties, six livres
LIVRE PREMIER : AURORE. 29 poèmes. LIVRE DEUXIÈME : L'ÂME EN FLEUR. 28 poèmes.
Le poème VIII, « A qui donc sommes-nous ? » est situé dans la deuxième partie de Les Contemplations, « Aujourd'hui » 1843-1855 dans le livre quatrième intitulé « Pauca meae ».
Il est composé de 158 poèmes rassemblés en six livres. La plupart de ces poèmes ont été écrits entre 1841 et 1855, mais les poèmes les plus anciens de ce recueil datent de 1830. Les Contemplations sont un recueil du souvenir, de l'amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil et même d'une certaine foi mystique.
Il commence son poème en montrant que l'enfant est forcé d'aller contre sa nature, qui est de rire et d'être heureux : “Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?” Le poète utilise dans le même vers un adjectif positif, montrant le caractère innocent et rêveur des enfants “doux êtres pensifs”, à côté d'un ...
Pourquoi c'est intéressant ? Victor Hugo interroge, par son lyrisme, la vie et Dieu. Le recueil retrace un véritable itinéraire spirituel, presque métaphysique, tout en prenant une dimension universelle. Le poète l'explique dans la préface de son œuvre : «Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous.»
1. "Demain, dès l'aube", Victor Hugo.
Le bouquet de houx vert et de bruyère en fleur, plantes vivaces qui symbolisent l'immortalité, sont là comme une métaphore du poème. Ce texte est un cadeau fait à sa fille par son père pour qu'on ne l'oublie jamais.
Les Contemplations est un recueil du souvenir, de l'amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil et même d'une certaine foi mystique. Le souvenir, surtout, y prend une place prépondérante, puisque Hugo y expérimente le genre de….
Le drame commence le 16 avril 1846, quand le garde-forestier en chef du domaine de Fontainebleau, Pierre Lecomte, tire deux cartouches en direction du roi Louis-Philippe. C'est qu'il est en pétard, le bougre : le roi n'a pas répondu à son courrier dans lequel il se plaint de ne pas avoir droit à une retraite.
Un autre thème qui imprègne Les Contemplations d'Hugo est le thème de la nature, qui s'invite dans les vers du poète. Hugo s'en sert comme cadre des scènes qu'il évoque, mais aussi comme cadre des sentiments qu'il ressent. Ainsi, la nature de Victor Hugo est une nature qui s'adapte à ses sentiments.
Dans le poème Pleur dans la nuit, Victor Hugo décrit l'infini comme une période de doute durant laquelle chacun est confronté au bien et au mal : « L'être éternellement montre sa face double, mal et bien, glace et feu ; L'homme sent à la fois, âme pure et chair sombre ».
Victor Hugo se regroupe avec quelques écrivains pour former le Cénacle. Ce cercle de jeunes auteurs sera le foyer de leur mouvement littéraire appelé romantisme.
Il est massif, conscient de son bonheur passé, de sa douleur présente, et de son désir de continuer à écrire entre nuit et clarté. Le lyrisme se construit aussi à la faveur des références constantes à la nature.
Hugo peint dans Les Contemplations la totalité de l'âme – amour, tristesse, deuil, éblouissements et mystères de la nature, pensée sociale, politique et religieuse – grâce à l'étendue de son registre lyrique qui allie le badinage léger, la plainte désolée, à l'éloquence et au pittoresque des descriptions.
V. Hugo pleure sa fille Léopoldine, exprime sa douleur personnelle qui est si forte qu'il vient à délirer, à entrer dans un état de démence. Il espère en écrivant pouvoir trouver des réponses à ses questions. Même s'il parait comme « fou », il ne l'est pas mais il sait qu'il peut le devenir.