La pleine saison s'étale d'avril à août, période à laquelle on peut trouver le crustacé à moins de 30€ le kg sur les étals de marché ou chez son poissonnier.
Une nouvelle saison de pêche au homard commence dans les Maritimes. Les pêcheurs de homard de la zone 25, dans le détroit de Northumberland, ont pris la mer le 11 août 2022.
La pêche est particulièrement importante de mai à août car en cette période de l'année où l'eau se réchauffe, le homard est plus actif et il se nourrit davantage. Aussi rentre-t-il facilement dans les casiers. Avec 60 à 70 % des volumes capturés pendant les mois d'été, la conséquence est immédiate : les prix chutent.
Un homard moyen pèse environ 454 g (1 lb). On calcule environ 2 homards par personne.
La pleine saison s'étale d'avril à août, période à laquelle on peut trouver le crustacé à moins de 30€ le kg sur les étals de marché ou chez son poissonnier.
Seuls l'estomac (qui se trouve à l'arrière de la tête) et l'intestin (la veine noire qui fait la longueur de la queue) ne sont pas comestibles. Sinon, la chair, les œufs, le foie, le gras et le sang du homard peuvent être consommés.
Le meilleur homard est européen : on le trouve du nord de la Norvége à la Méditerranée. Il fréquente les zones rocheuses jusqu'à 120 m de profondeur. Il est d'un bleu sombre. Le homard "breton" des côtes du Finistère, est le plus apprécié pour sa chair fine et parfumée.
Normalement, le prix baisse lorsque les débarquements de homard se font plus nombreux. Mais les règles du jeu ont changé, analyse M. Lamont. Le taux de change avec les États-Unis et la forte demande en Asie contribuent à un prix élevé.
Le directeur scientifique du Regroupement des pêcheurs professionnels de homard du sud de la Gaspésie et biologiste de formation, Jean Côté, note que le homard meurt très rapidement lorsqu'on le plonge dans l'eau bouillante.
MEILLEURE RÉPONSE par nos experts. Il ne faut surtout pas le congeler cru ! Cela risquerait fortement de dénaturer son goût et sa texture et de le rendre impropre à la consommation.
Pour conserver le homard, l'envelopper simplement d'un linge humide et le placer dans le bas du frigo, soit à l'endroit le plus frais. Un maximum de 12 heures est conseillé!
8 170 000 livres du crustacé ont été capturés. Il s'agit d'une baisse d'environ 2 % par rapport à 2021. Le profit a également baissé, l'année précédente les pêcheurs recevaient 8,35 $ la livre, en 2022 le prix au débarquement est réduit de 40 cents.
Chaque année, au début du mois de mai, les pêcheurs vont installer leurs cages au large. Cette pêche qui s'étend sur neuf semaines est réglementée et contrôlée.
Les adeptes du homard trouvent que sa chair est à la fois feuilletée et étoffée, en plus d'être plus parfumée que celle de la langouste. Les amateurs de langouste estiment aussi qu'étant ferme et serrée, la chair de leur crustacé préféré est la meilleure.
La langouste est la femelle du homard et la langoustine, leur fille?
Quant au prix, il varie en fonction de la saison et des variétés, mais tourne en général autour de 30 ou 40 € le kilo pour un crustacé de qualité. La langouste est en général plus chère que le homard, puisqu'elle est plus rare.
Cassez la pince à l'aide du casse noix et retirez-en la chair en vous aidant du pique. Grattez bien pour ne rien oublier. Cassez ensuite l'articulation des pinces pour y récupérer un peu de chair également. N'hésitez pas à utiliser à nouveau la pince à homard pour casser aussi la partie la plus charnue des pinces.
Son gène de couleur :
Chez le homard, il interagit avec une protéine, la crustacyanine, pour donner une couleur bleue qui contribue à camoufler l'animal aux yeux de ses prédateurs. Mais, à la cuisson, la protéine se délite, libérant l'astaxanthine qui, de ce fait, redevient orange.
21 mai 2008 – Ce ne sont pas tous les amateurs de homard qui apprécient le tomalli du homard, mais ceux qui le mangent devraient limiter leur consommation, recommande Santé Canada. Le tomalli, cette substance verte qui se retrouve dans la cavité du homard, assume les fonctions du foie et du pancréas.
En premier lieu, leur chair contient naturellement des microbes et toxines qui se développent très vite après la mort. Les cuire vivants réduit donc grandement les risques d'empoisonnement alimentaire. On les reçoit vivants pour cette même raison.
Pour éviter toute souffrance potentielle, il faut donc “assommer” le crustacé avant de le faire cuire (ébouillanté entier ou grillé coupé en deux). L'option la plus simple consiste à le placer au congélateur pendant 15 minutes, avant de le plonger “inconscient” dans l'eau bouillante, tête la première.