Il ne doit pas être utilisé à partir du 4e mois de grossesse.
L´UTROGESTAN, un médicament couramment utilisé par les femmes enceintes pour limiter le risque de contractions, ne doit plus être prescrit après le premier trimestre de la grossesse.
Les doses d'œstrogènes et progestérones peuvent être réduites de moitié après la 8ème semaine et stoppées définitivement 10 jours après.
Si vous prenez de la Progestérone (Progestan ou Duphaston ou Progiron) et/ou du Provames, arrêtez le traitement. Vos règles reviennent quelques jours après. Les vitamines sont à continuer pour préparer le prochain essai.
· Au cours de la grossesse, l'utilisation d'UTROGESTAN 200 mg, capsule molle orale ou vaginale est réservée au premier trimestre, uniquement par voie vaginale. Pendant les 2ème et 3ème trimestres de la grossesse, il existe en effet des risques d'effets indésirables sur le foie.
Progestérone durant la grossesse
Elle prévient le début du travail en inhibant les contractions utérines (quiescence myométriale), en s'opposant aux effets de l'ocytocine et des prostaglandines et elle a une action sur le col utérin.
supplémentation de la phase lutéale au cours de cycles spontanés ou induits, en cas d'hypofertilité ou de stérilité primaire ou secondaire notamment par dysovulation, en cas de menace d'avortement ou de prévention d'avortement à répétition par insuffisance lutéale, jusqu'à la 12ème semaine de grossesse.
La progestérone pourrait aider les femmes victimes de fausses couches récurrentes, rapporte une étude américaine publiée dans le journal scientifique Fertility and Sterility. Des conclusions qui confirment les bienfaits de cette hormone féminine essentielle au bon déroulement d'une grossesse.
Effets indésirables possibles du médicament UTROGESTAN. Par voie orale : somnolence, vertiges 1 à 3 heures après la prise du médicament, léger saignement, règles plus fréquentes. Ces effets sont le plus souvent le signe d'un surdosage.
Trop de progestérone
Les symptômes : larmes faciles, seins sensibles ou douloureux, irritabilité, maux de tête, fatigue, vertiges, ballonnements, réveils difficiles…
Saignements au moment de l'ovulation
On suppose qu'après le jour de l'ovulation, une baisse des niveaux d'œstrogènes et une augmentation simultanée des niveaux de progestérone peuvent entraîner des saignements.
Le taux d'HCG augmente très rapidement jusqu'à 8-10 semaines de grossesse ; elle double en moyenne toutes les 31 heures pour atteindre un pic vers la 10ème semaine. Au 3ème mois, la sécrétion d'HCG diminue très nettement et le placenta prend le relai.
Pessaire de type Arabin : le pessaire de type Arabin est une autre façon de réduire les risques de grossesse prématurée. Il se présente sous forme d'un anneau en silicone inséré dans le vagin pour maintenir le col de l'utérus fermé.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
On parle d'insertion basse du placenta lorsque celui-ci est situé trop près du col de l'utérus. La future mère doit alors rester couchée le plus possible afin de limiter les saignements.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
Les saignements peuvent généralement être contrôlés par l'administration d'œstrogènes plus un progestatif (une hormone féminine de synthèse) ou de la progestérone (similaire à l'hormone fabriquée par le corps) ou parfois par l'une de ces hormones seule.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Dans l'alimentation, la consommation quotidienne de fruits et de légumes frais dans les 3 mois précédant et suivant le début de grossesse diminuerait le risque de fausse couche précoce (2).
La progestérone agit sur la muqueuse de l'utérus (ou endomètre), et permet la survenue des règles à la fin de chaque cycle menstruel.
La progestérone peut être prise par voie orale, en doses ou en comprimés, ce qui nécessite une ordonnance de votre médecin ou gynécologue, ou elle peut être prise par voie vaginale en insérant des ovules de progestérone dans le vagin.
La forme de l'ovule facilite son introduction. « On le place au fond du vagin, en le poussant profondément avec le doigt, comme on le ferait avec un tampon », détaille le Dr Delbos.