NOVEMBRE 2022 : parapluie et pneus hiver En terme de précipitations, le nord de la Loire risque de voir de fortes accumulations d'eau (+5%), tandis que les premières gelées apparaîtront. Novembre cloturera donc l'hiver dans les normales de saison.
Elles se produisent principalement entre janvier et février, mais peuvent apparaître plus généralement entre novembre et mars, les vagues de froid concernent régulièrement la France avec une intensité et une durée très variable.
Bien que l'hiver commence officiellement le 21 décembre 2023, les températures froides vont se pointer le bout du nez avant cette date. C'est donc un hiver plus froid que ce qu'on a pu vivre dans les dernières années qui est attendu dans les prochains mois.
Une semaine douce mais un froid à nos portes
Lors de l'après-midi du jeudi 8 février 2024, les températures devraient s'établir entre 14 et 18°C sur les trois quarts de la France ! Elles fléchiront à peine vendredi 9 février avant de se rafraîchir peu à peu durant le week-end des 10 et 11 février.
Il projette des températures passant légèrement sous les normales dès la semaine du 12 au 18 février 2024 puis le froid pourrait dominer en se généralisant durant la semaine du 19 au 25 février. Cette masse d'air froid s'estomperait en reculant vers le nord en fin de mois.
en moyenne montagne à l'horizon 2050. des cumuls de pluie en été. Les sécheresses sont plus longues en été jusqu'à 5 à 10 jours supplémentaires. tropicales en plus sur la moitié nord de la France, et jusqu'à 50 nuits sur les régions méditerranéennes.
Le monde s'est déjà réchauffé de +1,1° depuis l'ère pré-industrielle et les experts envisagent qu'il atteigne +1,5° début 2030. En France, le réchauffement est encore plus rapide et atteint +1,7°. Ce qui accentue déjà les extrêmes climatiques: sécheresses, méga-feux, canicules, pluies diluviennes etc. Et demain ?
Entre le 25 et le 31 janvier 2024, l'anomalie thermique devrait être supérieure à +5°C en France ! C'est tout le sud-ouest de l'Europe qui s'attend à une fin janvier bien plus printanière qu'hivernale, de l'Espagne jusqu'à l'Allemagne et à la Pologne.
Des températures élevées dès le mois de mai
Ce qui nous intéresse ici est donc la tendance pour l'été à venir. Bon nombre de modèles sont d'ores et déjà en accord sur le fait que la saison estivale sera plus chaude que la normale et le principal modèle européen ECMWF va aussi largement sur cette trajectoire.
La probabilité de connaître une suite d'hiver plus humide augmente sensiblement selon les différents modèles météorologiques. Autrement dit, les mois de janvier et février pourraient voir les perturbations défiler à nouveau assez fréquemment, sauf peut-être vers la Méditerranée où un temps plus sec s'imposerait.
À l'échelle de la France et de la saison, la température moyenne devrait être supérieure à la normale d'environ 2 °C (moyenne de référence 1991-2020). L'hiver 2023-2024 se classe ainsi au 3e rang des hivers les plus chauds depuis le début des mesures en 1900, derrière l'hiver 2020 (+2,3 °C) et l'hiver 2016 (+2,1 °C).
Un hiver plus froid et moins neigeux dans l'ensemble que l'hiver 2022-23. L'hiver 2023-2024 devrait être doux et moins neigeux en partie. Les spéculations vont bon train quant aux prévisions météo pour l'hiver 2023-24 depuis que l'on sait qu'El Niño est de retour et pourrait influencer la température des mois à venir.
Bien que moins froid que son prédécesseur, février 2024 pourrait connaître une tendance dans le prolongement du mois de janvier, à savoir assez froid, surtout au nord-est, relativement neigeux près des frontières, pluvieux sur le quart nord-ouest du pays.
Décembre s'annonce pluvieux et doux
Le rapide courant d'ouest à sud-ouest océanique envisagé devrait apporter des pluies fréquentes et abondantes à travers toute la France au cours de ce mois de décembre 2023. Ces intempéries s'annoncent également venteuses avec des tempêtes probables, notamment au nord et à l'ouest.
Météo France y a relevé le 13 janvier 1968 la température de − 36,7 °C, la plus basse jamais mesurée en France. Les Meuthiards, eux, préfèrent retenir un autre record, non homologué mais qui s'affiche comme un trophée sur le site Internet de la mairie : le 17 janvier 1985, le mercure y serait tombé à − 41 °C !
En moyenne sur le trimestre décembre 2023 - janvier 2024 - février 2024, une tendance humide très nette se dégage sur une grande partie du continent européen. La France serait concernée avec une probabilité notable d'un temps plus humide que la normale sur la moyenne des trois mois de l'hiver.
2024 s'annonce aussi très chaud. Les spécialistes mettent déjà en garde. L'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA) a calculé les probabilités que l'année 2024 fasse partie des années les plus chaudes que l'on ait connu.
Le blocage anticyclonique et ses fortes chaleurs devraient nous accompagner jusqu'au lundi 11 septembre 2023 puis la donne devrait changer à compter du mardi 12. En effet, le blocage anticyclonique devrait s'affaisser avec des hautes pressions reculant vers le sud-est de l'Europe et le bassin méditerranéen.
Selon l'agence nationale de météorologie, ces chaleurs devraient cesser à partir de ce vendredi 25 août.
Si vous prévoyez de déménager à Annecy, sachez que les climatologues estiment qu'entre 2040 et 2070, elle sera la ville la plus chaude de France. Découvrez le classement effectué par le Figaro des villes les plus chaudes de France en 2040.
Tendances pour juillet 2024
Les dernières projections pour le mois de juillet 2024 maintiennent une tendance vers un temps sec et très chaud, propice à des séquences caniculaires, notamment dans le sud du territoire.
L'hiver météorologique, qui commence le 1er décembre et s'achève à la fin du mois de février, correspond à la période la plus froide de l'année dans l'hémisphère nord. C'est la saison du froid, voire des grands froids, mais aussi de la neige, du givre, du brouillard, des pluies verglaçantes et des tempêtes…
Le réchauffement climatique en 2050, un consensus scientifique. Le bilan de la COP26 est clair et prévoit une hausse des températures moyennes estimée à 2,7 °C d'ici 2100, alors même que l'objectif était de 1,5°C d'augmentation.
En 2100, nous vivrons toujours sur la planète Terre. Nous mangerons des légumes, des fruits et de la viande, un peu de tout ce qu'on mande aujourd'hui : en 2020. Nous nous déplacerons à pied, en bus, en voiture etc... Les voitures pourront voler.