Il faut bluffer contre adversaires que vous sentez inclinés à rendre leurs cartes quand vous misez. Vous venez de rejoindre une partie, vous vous retrouvez en duel sur la rivière et vous pensez à bluffer. Vous ne savez pas contre qui vous jouez. Votre adversaire est peut être une calling-station qui paye tout.
La réalité du bluff
C'est une arme redoutable, comme le slowplaying. Pour gagner au poker, vous devez avoir une part d'imprévisible dans votre jeu. Miser avec rien et ne pas miser quand vous avez un jeu fort. Un joueur qui ne bluffe jamais, ne sera jamais relancé.
En général, les mains initiales que vous choisissez de jouer dans un tournoi et dans une partie avec de l'argent réel. La seule différence est que vous vous sentez probablement plus aveuglé dans un jeu cash game, ce qui vous donne plus de choix et de liberté d'action.
Erreur n°1 : Jouer trop longtemps quand vous êtes dans une mauvaise période. Vous ne seriez pas un vrai joueur de poker si vous n'aviez jamais connu ces périodes où rien ne fonctionne comme prévu. Quand vous perdez, vous voulez juste essayer de récupérer vos pertes, vous forcez les choses, et vous jouez trop longtemps.
« Faire tapis »
Lorsqu'un joueur « fait tapis » cela veut dire qu'il mise l'ensemble des jetons qu'il lui reste, on dit aussi qu'il est all-in (de l'anglais, qui peut se traduire par « tout mettre » ou « je mets tout »).
Certains joueurs gagnent également leur vie en jouant dans les casinos. Le niveau est plus bas qu'online et obtenir à 10 bb / 100 mains est faisable, surtout si vous faites la tournée des casinos bourrés de touristes. Les limites sont plus hautes, souvent du 2/5, mais le format live vous fait jouer moins de mains.
Le gagnant d'une partie de cartes de Menteur est celui qui le premier, ne possède plus de cartes.
Le premier joueur doit jouer un ou plusieurs as, face cachée, au milieu de l'aire de jeu. Ensuite, le joueur à sa gauche doit jouer un ou plusieurs deux. Le joueur suivant doit jouer un ou plusieurs trois, le suivant, un ou plusieurs quatre, et ainsi de suite...
Un fish au poker est un joueur qui est généralement inexpérimenté et qui est susceptible de perdre de nombreux pots et parties. Parce qu'un fish fera constamment de mauvais choix et des erreurs qui lui coûteront à long terme et le rendront exploitable par les autres joueurs.
Le parieur annonce sa main en passant le plateau à son voisin. Le nombre de dés découvert et cachés est à la convenance du parieur et a une grande influence sur le bluff. Le joueur qui reçoit la main (receveur), doit l'accepter ou la refuser. S'il la refuse il déclare « menteur » et découvre l'intégralité de la main.
Suivre est toujours autorisé
Quel que soit le nombre de jetons que vous avez devant vous, vous pouvez toujours suivre (payer). Lorsque vous payez pour le reste de vos jetons, vous êtes donc à tapis (all-in).
Q : A l'abattage des cartes, qui doit montrer ses cartes le premier ? R : Habituellement, quand vous pensez avoir la meilleure main, vous montrez votre jeu en premier. Sinon, les règles imposent que c'est celui qui a fait la dernière relance sur la river qui montre son jeu en premier.
Les joueurs doivent présenter une main de 5 cartes. Pour cela, ils peuvent combiner leurs cartes privées avec les celles du tableau ou n'utiliser aucune carte privée (on dit qu'il joue tableau). → Le joueur ayant la meilleure main remporte le pot. En cas d'égalité, il est partagé.
Quinte Flush Royale (Royal Flush) : la plus forte main possible du poker. Une quinte flush royale combine une quinte à l'As et une couleur. Elle est composée de : As, Roi, Dame, Valet, 10, tous de la même couleur.
On parle d'addiction aux jeux quand la pratique occupe trop de place dans la vie du joueur, qu'elle devient envahissante, quele joueur perd le contrôle et continue malgré tout de jouer, alors que les conséquences négatives sont pourtant bien présentes.
La rentabilité des casinos repose sur le taux de redistribution (TRJ) qu'il affiche. Un taux qu'on calcule grâce à l'espérance (coucou les cours de DEGEAD). Il représente le pourcentage (basé sur la somme engagée) qui est directement reversé au joueur.
Le nord de l'Europe regorge de destinations séduisantes pour les joueurs professionnels. On pense notamment à l'Estonie, au Danemark ou encore à la Lituanie (installé à Riga, Eric Larchevêque en était sans doute l'un des pionniers), où les joueurs peuvent jouer librement contre des adversaires du monde entier.
On introduit de l'argent dans la machine ou son billet transformé en crédit. On dispose alors les 5 cartes distribuées par la machine et l'écran est illuminé par la main gagnante. La troisième partie du jeu a pour but de construire une combinaison avec les cartes proposées par la machine.
A-A, K-K et Q-Q sont des mains que l'on joue (presque) quoi qu'il arrive car ce sont les plus belles. Elles valent une relance, tout comme aussi la plupart du temps avec... A-K de la même couleur (on dit « As-Roi assortis » ou « As-Roi suited »). C'est aussi une très forte main.