Il est possible de suivre un traitement hormonal de substitution à partir de l'âge de 16 ans. Avant cet âge, les adolescents transgenres peuvent, sous certaines conditions, prendre des inhibiteurs de puberté afin de freiner le développement des caractéristiques sexuelles secondaires à partir de la puberté.
Ce traitement doit démarrer quand la ménopause est vraiment installée. Le repère, c'est un an sans règles. Il arrive qu'on commence un petit peu plus tôt, quand les signes fonctionnels sont très importants comme les bouffées de chaleur, la fatigue, les insomnies, etc.
Dans la plupart des cas, un bilan sanguin et hormonal (prise de sang) suffisent. Vous demander une batterie de tests médicaux avant un début de traitement sans raison n'est pas un protocole normal.
La prise d'un traitement hormonal substitutif à la ménopause accroît légèrement les risques de thrombose veineuse. Il s'agit de la formation d'un caillot dans une veine, provoquant une phlébite ou une embolie pulmonaire. Une thrombose artérielle (formation d'un caillot dans une artère) est également possible.
Selon le Dr Eric Wood, les 5 hormones qui peuvent perturber le métabolisme et empêcher la perte de poids sont les hormones thyroïdiennes T3 et T4, l'insuline, les œstrogènes, le cortisol et la leptine.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Une fois que vous avez votre certificat de psychiatre, si l'endocrinologue (ou autre médecin) l'a demandé, une fois que vous avez le bilan sanguin, si l'endocrinologue (ou autre médecin) l'a demandé, l'endocrinologue (ou autre médecin) vous prescrira les hormones.
Un traitement hormonal substitutif de la ménopause (THM) peut être proposé par le médecin traitant ou le gynécologue.
Si on a des troubles type bouffées de chaleur, insomnies, sécheresse vaginale rebelles aux traitements non hormonaux : c'est le traitement hormonal qui est le plus efficace.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
Le diagnostic de la ménopause repose sur l'absence de règles depuis 12 mois chez une femme d'environ 50 ans. Aucun examen n'est, a priori, nécessaire dans ce cas. En cas de doute, le médecin peut recourir au « test à la progestérone ».
La leptine est une hormone digestive peptidique qui permet à la fois de réguler les réserves lipidiques de l'organisme et de stimuler la satiété. C'est d'ailleurs pourquoi elle est aussi nommée "hormone de la satiété".
L'évaluation de votre profil hormonal se fait par une prise de sang, le plus souvent entre le 2ième et le 4ième jour du cycle. Différentes hormones jouent un rôle dans la reproduction.
Pour simplifier au maximum, la leptine est l'hormone qui dit à ton corps quand il faut arrêter de manger. Si tu as un faible niveau de leptine cela peut souvent entraîner des fringales dans la journée et donc ton corps aura tendance à stocker davantage.
«Nous avons déterminé que la ménopause accélère le vieillissement cellulaire de 6% en moyenne», précise le Dr Horvath. «Cela ne semble pas énorme mais fait une différence en s'accumulant au cours de la vie des femmes», souligne-t-il.
Compléments alimentaires, cures et hygiènes de vie
Faire une cure de collagène est également une bonne idée. Sans oublier qu'il est également impératif de boire beaucoup d'eau et de pratiquer une activité physique régulière pour tonifier les muscles et donc la peau en profondeur.
Les hormones agissent comme des messagers biochimiques. Qualité du sommeil, croissance, reproduction, libido, gestion des émotions, métabolisme... elles tiennent les ficelles de notre corps.
Des maladies peuvent également être à l'origine d'un dérèglement hormonal : le SOPK par exemple provoque un dysfonctionnement des glandes, à l'origine de nombreux symptômes. Enfin, de tumeurs peuvent aussi libérer des hormones, et être donc à l'origine d'un dérèglement hormonal.
Perte ou prise de poids, fatigue, irritabilité, problèmes de pilosité, troubles du sommeil, sensibilité aux changements de température, urines plus abondantes et plus fréquentes, troubles de la libido, sont autant de signaux d'alertes qui peuvent vous amener à consulter un endocrinologue.