L'apparition d'un ganglion sous l'aisselle peut être un signe d'alerte. Si on palpe une boule dure qui n'est pas douloureuse, il faut aller consulter son médecin traitant ou son gynécologue.
C'est une inflammation aigue ou chronique des glandes sudoripares. Quand elle touche l'aisselle elle est connue comme « boule sous l'aisselle ». Ce n'est pas une infection et elle n'est pas con- tagieuse. Sa cause est inconnue, mais la prédisposition génétique et les facteurs externes favorisent son apparition.
Une douleur dans le bras gauche, en particulier, peut être le signe d'un infarctus du myocarde ou d'une angine de poitrine. C'est pourquoi il est important d'accorder une importance particulière à toute douleur soudaine dans le bras gauche et consulter un médecin sans attendre.
Déplacez votre main droite très haut dans l'aisselle gauche, juste derrière le muscle pectoral. Avec les doigts pointant vers la milieu clavicule, pressez-les contre la paroi thoracique du patient et glissez-les vers le bas pour sentir les nœuds centraux.
Dans tous les cas, la prise de paracétamol, souvent associé à de la codéine, va soulager la douleur. On peut compléter par l'application de compresses d'eau fraîche et/ou des bains tièdes.
L'artère axillaire peut également se dilater et entraîner un anévrisme, conduisant à une compression du plexus brachial. Cette compression peut se manifester par des douleurs au niveau de l'aisselle et du bras ou par une perte de sensibilité.
Les symptômes sont principalement des adénopathies (inflammations des ganglions lymphatiques), un gonflement indolore des ganglions au cou, aux aisselles ou à l'aine, des signes respiratoires ou abdominaux par compression d'adénopathies profondes des sueurs nocturnes, de la fièvre ainsi qu'une perte de poids plus ...
Les ganglions : dans la majorité des cas, leur gonflement ne dure pas plus d'une semaine. S'ils persistent davantage ou s'ils s'accompagnent de douleur, il faut consulter. « Seul un médecin pourra faire la différence entre un ganglion gonflé, douloureux mais bénin, d'un ganglion tumoral », souligne le Dr Bensoussan.
Cependant, parfois, quelques germes survivent et provoquent une infection. Un ganglion lymphatique infecté est douloureux et la peau située en regard devient rouge. Les cellules cancéreuses se détachent souvent d'un cancer et migrent dans les vaisseaux lymphatiques jusqu'aux ganglions lymphatiques avoisinants.
Une douleur au bras gauche peut être liée à une douleur musculaire, à un pincement nerveux, à une blessure osseuse ou encore à une douleur référée du cœur. En effet, le bras peut être source de nombreux types de symptômes avec des douleurs apparaissant la nuit, au repos ou au mouvement.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Douleur erratique : douleur qui change souvent de place. Douleur exquise : douleur vive et très localisée, généralement provoquée par la pression. Douleur fulgurante : douleur très intense qui fait penser à un éclair. Douleur irradiante : douleur qui diffuse en rayons à partir d'un point de plus forte intensité.
Le nerf radial passe au niveau du creux axillaire (aisselle) et se prolonge le long du bras jusqu'au coude, en s'enroulant autour de l'humérus, osunique du bras.
Un ganglion enflé dans le creux de l'aisselle, une seule solution : la consultation médicale. Les causes sont nombreuses et les examens seuls peuvent conduire à un vrai diagnostic. Dans tous les cas, une adénopathie n'est pas normale et nécessite une exploration sérieuse.
Un ganglion axillaire est un organe situé dans le creux de l'aisselle qui mesure en temps normal autour de 5 mm et qui est rempli de lymphocytes (les globules blancs) qui nous protègent contre les agressions de toutes sortes, notamment infectieuses (bactéries, virus, champignons).
niveau I (région axillaire inférieure) – située dans la partie inférieure de l'aisselle; niveau II (région axillaire centrale) – située dans la partie centrale de l'aisselle; niveau III (région axillaire supérieure) – située dans la partie supérieure de l'aisselle, près du sternum.
Quand évoquer un diagnostic de lymphome ? La présentation clinique classique est celle d'une d'adénopathie, avec ou sans signes cliniques d'altération de l'état général (sueurs nocturnes, un prurit, une fièvre, un amaigrissement).
Quand consulter un médecin ? Les ganglions disparaissent généralement d'eux-mêmes lorsque l'infection qui les cause est traitée. S'ils deviennent gênants et perdurent dans le temps, il est recommandé d'en parler à un médecin.
Si un ganglion lymphatique est très douloureux ou draine du pus ou toute autre substance, la personne doit consulter immédiatement un médecin. Les autres personnes doivent appeler leur médecin. Le médecin décidera de l'urgence d'une consultation selon la présence de signes précurseurs et d'autres symptômes.
Les signes d'alarme peuvent être : - une grosseur palpable, apparue récemment dans l'un des seins chez la femme ou un nodule sous la peau, ou encore l'augmentation de volume ou l'induration (le fait de durcir) d'un ou de plusieurs ganglions.
Métastases : les signaux d'alerte
Métastases hépatique (au foie) : lourdeur et douleurs au niveau du foie. Métastases tumorales (au cerveau) : nausées, vomissements, vertiges, troubles de la concentration. Métastases pulmonaires (aux poumons) : toux persistante, essoufflement, gêne respiratoire.
Certains patients atteints de lymphome ne remarquent aucun gonflement du tout et d'autres se plaignent de sueurs nocturnes, de perte de poids, de frissons, de manque d'énergie et de démangeaisons. Le lymphome, notamment lorsqu'il s'agit du stade précoce de développement, n'entraîne pas de douleurs.
La présence de ganglions envahis traduit la capacité d'une tumeur à se propager et est le signe de la présence probable de métastases dans d'autres organes du corps. Elles rendent ainsi le pronostic plus incertain.