Quand écrit-on « aie » ou « aies » ? Quand on conjugue le verbe avoir au subjonctif présent aux deux premières personnes du singulier : que j'aie, que tu aies.
La forme "aie" correspond à : la première personne du singulier (je) du subjonctif présent (que j'aie). Exemple : "Il faut que j'aie mon examen, cette fois-ci !" ; la deuxième personne du singulier (tu) de l'impératif présent : "N'aie pas peur, aie confiance en toi."
Il faut écrire : En cas d'accident de la route, aie le réflexe de faire un constat. « Ais » n'a pas de sujet exprimé, signe qu'il s'agit de l'impératif. Or, à la 2e personne du singulier de l'impératif, « avoir » fait « aie » et non « ais ».
On mettra donc un « e » à la fin de « ai » : aie. Et pour vérifier, tu te dis, si c'était la première personne du pluriel, est-ce que je dirais « il faut que nous avons une bonne note » ou « il faut que nous ayons une bonne note » ? À l'oreille, on entend qu'il faut dire « il faut que nous ayons une bonne note ».
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
de tréma sur le « i », « ai » se prononce « è », et le « e » final n'a aucune influence sur la prononciation. Que j'aie, que tu aies, qu'il ait, que nous ayons, que. vous ayez, qu'ils aient.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
Il faut écrire : Les examens que j'ai eu à subir n'étaient pas si douloureux. On n'accorde pas « eu », car « les examens » est en réalité COD de l'infinitif « subir » et non du verbe « avoir ».
«Employé avec l'auxiliaire avoir, le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le complément d'objet direct quand celui-ci le précède (les crêpes que j'ai mangées). Mais si le complément suit le participe, il reste invariable (j'ai mangé les crêpes).»
Aïe, j'ai mal !
Dans que tu aies , le verbe s'écrit avec un e et un s . Cette terminaison -es , c'est celle du subjonctif présent, avec le sujet tu .
Pas de doute, on écrit toujours « qu'il ait » ou « qu'elle ait ». La forme conjuguée du verbe avoir « aie » existe, mais correspond ou bien au mode subjonctif à la première personne du singulier du subjonctif (« que j'aie »), ou bien au mode impératif à la deuxième personne du singulier (« aie ! »).
J'espère que tu vas bien. Aussi, j'espère que tu ailles bien. Les deux sont correctes.
Exemple: "Mon parcours m'a permis de m'impliquer dans (noms de métiers/activités que vous avez connus). J'ai ainsi une vision globale du fonctionnement d'une entreprise et de l'interaction entre ses métiers. Je me propose de mettre mon expérience et mes connaissances à votre service."
La règle est la suivante : quand un participe passé est employé avec l'auxiliaire avoir, il ne s'accorde pas. On écrit, par exemple : « J'ai fait des gâteaux. » On reconnaît l'auxiliaire avoir sous la forme « ai », « fait » reste bien invariable.
On dira plutôt «j'ai deux emplois», ou «j'ai deux professions». En revanche, dans un sens technique de soin aux animaux, travail se dit bien au pluriel travails. «J'ai plusieurs travail(s)»: ne faites plus la faute!
Les verbes espérer et décider ne sont pas suivis du subjonctif, même s'ils sont employés pour exprimer un sentiment ou un souhait. Exemples : espérer - J'espère qu'il aura (futur) encore des propositions de rôles. décider - Le public a décidé qu'il aura (futur) un prix.
Pour construire le subjonctif, on utilise le radical de la 3e personne du pluriel (ILS/ELLES) du présent de l'indicatif, puis on ajoute à ce radical les terminaisons -E, -ES, -E, -IONS, -IEZ, -ENT.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
Comment écrire le mot vu dans une phrase qui contient cette formule ? Que faut-il mettre à la fin : un e , un s ou rien du tout ? Dans la plupart des cas, on écrit j'ai vu sans rien au bout, et parfois j'ai vue avec un e et j'ai vus avec un s (ou les deux).
Par conséquent, on accorde le participe passé « reçu » au féminin singulier, d'où : « la trottinette que j'ai reçue ». En revanche, l'autre participe passé, plu, ne s'accorde pas. Pourquoi ? Parce qu'on pose la question : La trottinette que j'ai reçue a plu à qui ?
✻POMME DE TERRE
nom féminin (pluriel Pommes de terre).
Troisième personne du singulier du subjonctif présent de aller.
Les lettres ei font le son [ɛ].