Les robots peuvent remplacer les hommes dans des situations ou lors de tâches dangereuses. Effectuer des cascades lors d'un tournage ou servir de leurres pendant des opérations militaires sont autant de missions que peuvent remplir les robots.
Les robots dits explorateurs permettent, quant à eux, de remplacer l'Homme dans certaines situations, plus ou moins dangereuses ou inaccessibles, telles que l'exploration de l'espace.
Les vendeurs tiendront pour leur part jusqu'à 2030. Tous domaines confondus, il faudra selon les chercheurs se préparer pour 2061, où les intelligences artificielles ont une chance sur deux de pouvoir surpasser les humains pour à peu près n'importe quelle tâche.
Dans tous ces domaines la machine devient un outil inestimable, mais elle ne remplacera jamais totalement l'être humain qui restera juge des résultats et des performances. De plus, on constate qu'il s'agit en général de systèmes « fermés », comportant un périmètre de solutions ou d'informations bornés.
Loin de tous les fantasmes qu'elle charrie, Guy Mamou-Mani, coprésident d'Open, entreprise de services du numérique, plaide pour une utilisation sobre et responsable de l'intelligence artificielle, et plus largement des outils digitaux.
Piratage des systèmes contrôlés par l'IA : perturber les infrastructures en causant par exemple une panne d'électricité généralisée, un engorgement du trafic ou la rupture de la logistique alimentaire. Chantage à grande échelle : recueillir des données personnelles afin d'envoyer des messages de menace automatisés.
Les humains sont par exemple capables de penser qu'il pense, ce qu'on appelle la métacognition. Une IA en est incapable. En outre, le principe même de l'esprit humain est qu'il peut se tromper. Les robots peuvent aussi faire des erreurs, mais seulement parce qu'un humain a fait une erreur dans son programme.
Ce qu'on ignore c'est que l'informatique est loin d'être capable de remplacer l'homme. Elle est plus susceptible à l'erreur que les êtres humains à cause de son manque de capacités d'analyse, et de discernement. Mais aussi de questionnements, des critères souvent incontournables dans certaines circonstances.
En pensantàla productivité, les avantages des robots sontévidents: ils travaillent plus vite et plus précisément qu'un homme. Ils n'ont jamais besoin d'une pause ni de vacances et ils ne font pas la grève et ils ne sont jamais malades . En les utilisant 24 heures par jour, on gagne le maximum de capacité.
Une autre conséquence de cette automatisation de certaines activités par les machines est la création de tout un nouvel écosystème de travail en ligne, avec des entreprises recrutant des travailleurs humains pour effectuer des micro tâches complémentaires de l'IA.
Assez vite, on s'est dit que le critère de la différence entre l'homme et la machine, l'intelligence, la conscience, est finalement assez fragile. Car, qu'il sache ou non ce qu'il fait, l'ordinateur le fait et c'est bien l'essentiel qu'on attend de lui.
Les robots peuvent par ailleurs être affectés au service clientèle et remplir la fonction d'un réceptionniste à l'humeur toujours égale. De plus, ils se chargent des tâches estimées trop dangereuses pour les humains et pas uniquement sur les sites à niveau de radioactivité ou de toxicité très élevé.
Un robot ne peut porter atteinte à un être humain, ni, restant passif, permettre qu'un être humain soit exposé au danger. Un robot doit obéir aux ordres que lui donne un être humain, sauf si de tels ordres entrent en conflit avec la Première loi.
Le métier de thérapeute de désintoxication digitale fait partie des professions d'avenir qui connaîtront un succès florissant en 2050. En effet, l'une des plus grandes addictions des dernières décennies et qui s'aggravent d'ailleurs est celle liée à l'internet.
L'ordinateur n'est pas plus intelligent, mais il est mieux outillé qu'un homme pour jouer au jeu de go : quand il faut explorer à toute allure un maximum de cas, l'homme est dépassé. Rien d'étonnant à ce que le système d'intelligence artificielle AlphaGo ait été conçu par une filiale de Google DeepMind.
La machine ne peut pas remplacer la pensée humaine. Elle ne pourra jamais faire un devoir du début à la fin. Elle n'a pas d'imagination, elle n'a aucun sens critique, elle n'a aucun sens des valeurs. L'ordinateur est là pour faciliter les tâches à faire.
La machine est un outil
L'homme a toujours eu besoin d'outils pour évoluer : les outils lui ont permis de décupler sa force et de façonner le monde. Ils lui ont permis de faire le mal mais aussi le bien.
Intelligence artificielle (IA) - Explication
En termes simples, l'IA, qui signifie « intelligence artificielle », désigne des systèmes ou des machines qui imitent l'intelligence humaine pour effectuer des tâches et qui peuvent s'améliorer de manière itérative en fonction des informations qu'ils recueillent.
Contrairement au machine learning, le deep learning ne requiert pas de données structurées. Il fonctionne grâce à des réseaux neuronaux artificiels qui combinent plusieurs algorithmes. Cette conception informatique s'inspire directement de la structure des neurones d'un cerveau.
Conclusion. Le marché de l'Intelligence Artificielle progresse donc à grande vitesse, porté par un nombre croissant de cas d'usage. L'apport de confiance agira comme un catalyseur de cette tendance et ouvrira les portes d'un vaste marché adressable pour de nouveaux acteurs généralistes et spécialistes.