Quelles sont les indications de l'auto-sondage ? Lorsque la vessie ne se vide plus naturellement, il est possible de pratiquer l'auto-sondage. Cette technique consiste à évacuer vous-même l'urine de votre vessie, en introduisant une sonde urinaire par l'urètre.
Elle est utilisée lorsque la vessie ne peut pas être vidée de manière normale, par exemple en raison d'une obstruction de l'urètre ou d'une incontinence urinaire.
Les hommes doivent dans un premier temps tenir leur verge orientée vers le haut et, en appuyant sur le gland d'une main, ouvrir le méat urinaire. De l'autre main, ils introduisent doucement la sonde dans le méat, puis le long l'urètre, jusqu'à ce que l'urine s'écoule, ce qui indique qu'elle est parvenue dans la vessie.
Si la miction est impossible, la vessie poursuit son remplissage permanent (60 ml/h) sans se vider. C'est la mise en tension brutale du muscle vésical (détrusor) qui provoque la douleur. C'est une situation courante chez l'homme et la fréquence augmente avec l'âge.
Indications : rétention urinaire aigue ou chronique avec impossibilité de sondage trans-urétral. inflammation de l'urètre. inflammation de la prostate.
Le maintien de la sonde à demeure doit être reconsidéré tous les jours, et la durée du sondage doit être la plus courte possible. indicatif : sonde en latex enduit de silicone = 2 à 3 semaines maximum selon le fabricant ; sondes 100 % silicone = 4 à 6 semaines maximum selon le fabricant.
des besoins pressants d'uriner (impression de ne pas pouvoir se retenir) ; des besoins d'uriner très souvent sans pouvoir évacuer beaucoup d'urine (pollakiurie) ; des urines troubles, dégageant une odeur inhabituelle et contenant éventuellement des traces de sang.
Les infections des voies urinaires sont la cause la plus courante de la fréquence urinaire chez les femmes et les enfants. Un diabète sucré non contrôlé est la cause la plus fréquente de la polyurie. L'hyperplasie bénigne de la prostate est une cause fréquente chez les hommes de plus de 50 ans.
Les indications de l'auto-sondage
Lorsque la vessie ne se vide plus naturellement, il est possible de pratiquer l'auto-sondage. Cette technique consiste à évacuer vous-même l'urine de votre vessie, en introduisant une sonde urinaire par l'urètre.
Lors du retrait de la sonde qui se fera en clinique d'urologie, un antibiotique sera à prendre le matin pour éviter une infection. Cela peut vous rendre anxieux. Ne vous inquiétez pas, ce n'est pas douloureux. L'infirmière dégonflera le ballonnet et tirera doucement sur la sonde.
Au début, vous pourrez ressentir une gêne lors du passage de la sonde urinaire. Détendez-vous, respirez profondément et réessayez d'introduire la sonde. Ne forcez pas. Si la gêne persiste ou si une douleur apparaît, informez immédiatement votre médecin ou l'infirmier/ère qui vous suit.
La pose d'une sonde urinaire chez l'homme, mais aussi chez la femme, peut parfois entraîner des effets secondaires indésirables (notamment en cas de sondage à demeure). Les plus courants sont l'infection urinaire, les lésions du méat et de l'urètre, les calculs vésicaux et l'irritation de la paroi vésicale.
La rétention d'urine est quand la vessie ne parvient pas à se vider complètement, voire pas du tout. Après la miction , une vessie en bonne santé est complètement vidée (un volume inférieur à 50 ml est normal).
Toilette intime (possibilité de douche) quotidienne et après chaque selle (idéalement), avec de l'eau et du savon doux liquide. - Pour les femmes : en allant de l'orifice urinaire vers anus. - Pour les hommes : en décalottant pour la toilette et en recalottant ensuite.
Faire pipi entre quatre et dix fois par jour peut également être considéré comme "normal", si cette fréquence n'interfère pas avec la qualité de vie de la personne. Il est habituel qu'à partir de 50 ans une personne urine 1 fois la nuit, pour un volume de 250 ml à chaque fois, soit moins de 2 l au total sur 24 h.
Tout le monde émet autant d'urine que ce que l'on boit. C'est la stabilité de la composition du corps. On a une quantité d'urine qui est exactement dépendante du fait d'avoir une quantité d'eau fixe dans l'organisme. Il est impossible d'uriner plus que ce que l'on boit."
envies fréquentes d'uriner ou pollakiurie ; brûlures en urinant ; difficultés à uriner ; douleurs du bas du ventre ou du dos.
Est-ce dangereux de trop uriner ? La pollakiurie elle-même n'est pas dangereuse, mais elle peut être le symptôme d'un problème de santé sous-jacent, qui peut nécessiter un traitement médical. Si vous souffrez de pollakiurie, il est important de consulter un médecin afin de déterminer la cause de ce symptôme.
Les 4 types d'incontinence urinaire sont l'incontinence par impériosité, à l'effort, par regorgement et fonctionnelle.
L'anurie est la diminution ou l'absence d'urine dans la vessie consécutive à l'arrêt de la sécrétion rénale (fabrication de l'urine par le rein). Elle est symptomatique d'une insuffisance rénale aiguë et représente une urgence médicale.
Symptômes et signes
Une infection locale engendre une inflammation de la région infectée qui se traduit par une douleur, une rougeur, un œdème, la formation d'un abcès rempli de pus (infection à germes pyogènes), parfois une élévation de la température.
Les boissons diurétiques : notamment le thé ou les tisanes aux plantes (genévrier, thym, prêle des champs, pissenlit), peuvent vous aider à traiter une infection urinaire plus rapidement. Cela accélère la production d'urine et donc l'élimination des bactéries de la vessie.
Cystite et infection urinaire : quelle différence ? La cystite est la dénomination médicale de l'infection urinaire basse qui touche la vessie et l'urètre. À la différence de la pyélonéphrite qui est une infection urinaire haute puisqu'elle touche les reins et non plus la vessie.