Vous devrez juste la faucher deux fois par an, en juin puis en octobre à la fin des floraisons quand les fleurs sont montées à graines. Laissez la coupe sécher un peu au sol afin que les graines retombent sur le sol et réensemencent la prairie.
La floraison des vivaces s'étale généralement d'avril à juillet tandis que les annuelles fleurissent de juin à septembre. La première année de floraison, vous serez donc amené à faucher à l'automne, lorsque les dernières fleurs auront grainé (lorsque la prairie est éphémère, on parle plutôt de jachère fleurie).
Faucher le matin et « ensiler en une journée »
On obtient une meilleure qualité du foin quand on fauche tôt le matin avec des andains larges pour hâter le fanage puis quand on hache plus tard la même journée.
Le fauchage tardif en une définition
La fauche tardive se pratique généralement en mois de juillet, mais dans les régions montagnardes, elle est reportée à la fin de la période d'été.
Il faudra donc petit à petit amaigrir votre sol en exportant de la matière organique. Autrement dit, lorsque vous faucherez votre prairie, il ne faudra pas laisser la tonte à l'endroit où pousse votre prairie mais la mettre ailleurs (paillage, compost etc.), pour éviter d'enrichir le sol.
Fauchage tardif : qu'est-ce que c'est ? Le fauchage tardif – qui implique de connaître parfaitement la biodiversité des zones concernées – consiste à faucher l'herbe aux abords routiers selon des paramètres précisément déterminés. Un plan des différentes zones est donc établi.
Sur les premières récoltes d'herbe de ce printemps 2022, la qualité semble au rendez-vous (pour 86 % des éleveurs selon le récent sondage de Web-agri). En effet, les conditions favorables du mois d'avril ont boosté la croissance qui a atteint son pic entre fin avril et début mai dans la majorité des régions.
Pour obtenir un fourrage de qualité, il est recommandé de faucher lorsque la luzerne atteint en moyenne 28 pouces de haut. Dans le cas des graminées, on parle plutôt de 22 pouces de haut. Selon Jean-Philippe Laroche, beaucoup de producteurs vont plutôt se fier au stade de croissance de la plante.
Lorsque l'herbe est drue ou très haute, fauchez dans les 2 sens. Eliminez la partie supérieure en balançant la débroussailleuse vers la droite, puis coupez la partie inférieure en revenant vers la gauche. Si vous devez faucher en pente, travaillez par bandes successives.
Rasez la prairie à l'automne avant le repos hivernal, ou broyer les résidus si la portance ne permet plus le pâturage.
Une prairie fleurie sur un sol vierge
En choisissant judicieusement les graines, on va semer une prairie et améliorer le sol en même temps. Dans un premier temps, il faut observer ce qui pousse dans les prés voisins pour avoir une première orientation. Puis on complète avec des espèces botaniques de même milieu.
Attention de ne pas faner une fois de trop quand le foin est déjà bien sec pour ne pas perdre trop de feuilles à la manipulation. Ainsi, les légumineuses sont plus fragiles et perdent plus de feuilles. Il sera préférable de botteler le soir pour limiter les pertes.
La période des foins était autrefois beaucoup plus longue qu'aujourd'hui. On faisait les foins à la main et leur durée s'étalait sur un mois environ, le plus souvent de mi-juin à mi-juillet.
Le réensemencement est une méthode plus fastidieuse, mais souvent plus efficace. Tondez d'abord le gazon à éliminer à ras de sol. Ensuite, privez-le de lumière avec de grandes bâches que vous laisserez sur le sol durant quelques mois. Cette solution simple et saine permet d'anéantir les herbes jusqu'aux racines.
Il explique que l'herbe haute garde l'humidité de la rosée du matin, le sol reste frais et différentes espèces végétales vont apparaître et l'enrichir.
La fauche a pour rôle d'assurer des repous- ses de qualité pour l'été : c'est pourquoi on veillera à faucher précocement et à étaler les chan- tiers de fauche pour répartir les repousses.
Les opérations d'entretien de la prairie doivent être effectuées régulièrement pour conserver un couvert fermé. On retiendra, en priorité, l'ébousage d'arrière-saison et le hersage de fin d'hiver. Ces travaux s'effectueront toujours sur un gazon court et avant la reprise de la pousse ou de la repousse.
Pourquoi faucher ? Traditionnellement, la fauche permet quant à elle de constituer des réserves pour l'hiver. Cependant, dans certaines exploitations, laitières notamment, l'augmentation de la taille du troupeau a conduit à l'arrêt du pâturage. Les animaux sont nourris toute l'année avec des fourrages conservés.
Son odeur. Un bon foin sera agréable à sentir tandis qu'un foin ayant chauffé aura une odeur forte, piquante, de moisi et peu agréable. Les nez fins peuvent sentir les moisissures avant même d'en voir les traces.
L'idéal pour une bonne conservation du foin, est que son taux d'humidité ne dépasse pas les 15 % ou 20 %. Vous obtiendrez ainsi des balles de bonne qualité, non humides, qui résisteront à l'été et pourront être utilisées pour l'hiver.
La valeur nutritive et l'ingestibilité des fourrages conservés sont déterminées avant tout par celles du fourrage vert au moment de la fauche. Un fourrage récolté au stade feuillu possède une meilleure valeur alimentaire qu'au stade épiaison.
Les objectifs du fauchage :
Améliorer la visibilité de véhicules dans les virages et carrefours. Anticiper un freinage avec une meilleure vision de dangers potentiels en bord de route (passage d'un animal par exemple) Permettre un stationnement aisé et sécurisé des véhicules en cas d'arrêt.
1. Action de couper l'herbe ou les céréales à la faux ou avec une faucheuse. 2. Procédé de tir d'un canon ou d'une mitrailleuse, utilisé pour battre méthodiquement une zone de terrain, de part et d'autre d'une direction de tir ou d'un objectif.
Le fauchage requiert un apprentissage spécifique ; il s'effectue par un balancement régulier des deux bras tout en maintenant la lame bien horizontale à la hauteur voulue. Cet outil est apparu vers le XIIe siècle en France et fut utilisé, dans un premier temps, pour couper l'herbe.