Pour gagner un match il faut gagner 2 sets (ou manche). Un set, correspond à 6 jeux. Lorsqu'il y a « 5-5 », il faut aller jusqu'à 7 jeux. S'il y a « 6-6 » on réalise alors un « jeu décisif » (tie break).
Pour gagner un set (on parle aussi de manche), il faut remporter 6 jeux et avoir une avance de 2 jeux minimum sur son adversaire (6-4 ou 7-5 par exemple). Si les joueurs sont à 6-6, un septième jeu les départage : c'est le jeu décisif, "tie-break" en anglais. On compte alors les points de 1 à 7.
Les internationaux de France rentrent dans le rang d'une décision commune entre les quatre tournois du Grand Chelem, celle d'instaurer le super tie-break (10 points gagnants avec deux points d'écart) dès lors qu'un match n'a pas su nommer de vainqueur à 6-6 au 5e set.
Lorsque l'on annonce un score au tennis, il faut toujours annoncer le score du serveur en premier. 4. On commence le jeu à 0/0 et on commence à servir à droite. Lorsqu'on gagne 1 point cela fait 15, 2 points cela fait 30, 3 points 40, 4 points on remporte le jeu et cela fait 1/0.
Pour gagner un set, il faut décrocher 6 jeux, à condition d'en avoir 2 d'avance sur son rival. Si tu as 6 jeux et ton adversaire 5, tu dois gagner un jeu de plus pour empocher le set. Si les joueurs sont à 6 jeux à 6, un 7e jeu les départage, c'est le tie-break.
Pourquoi on dit Love au tennis ? En anglais, les arbitres annoncent 15-0 (“fifteen-love“) ou 0-15 (“love-fifteen”) pour le premier point. Love signifie que le score est vierge. Cette bizarrerie de langage vient d'une prononciation à la française de la forme d'oeuf que prend le chiffre zéro.
On annonce souvent le score 15A, 30A, 40A. C'est une familiarité de langage quand les deux joueurs ont marqué autant de points dans le jeu. Le A vient de "all" en anglais : "Partout" en français. Deux joueurs à 15-15 dans le jeu se dit 15 All ou 15 partout."
Pour gagner un match il faut gagner 2 sets (ou manche). Un set, correspond à 6 jeux. Lorsqu'il y a « 5-5 », il faut aller jusqu'à 7 jeux. S'il y a « 6-6 » on réalise alors un « jeu décisif » (tie break).
Une fois qu'un point était remporté, le joueur ayant gagné l'échange devait s'avancer sur la ligne suivante, ce qui le rapprochait un peu plus du filet. Ces lignes étaient distantes de 15 pieds (environ 4,5 mètres). En toute logique, on aurait donc dû compter de la façon suivante : 15, 30, 45.
Les matchs de tennis peuvent durer des heures, ce qui est épuisant pour les joueurs. C'est pourquoi les matchs de tennis sont généralement disputés sur cinq manches. Les joueurs doivent être en forme pour pouvoir courir et sauter pendant les matchs.
Avec un tie-break de 46 points, Opelka et Isner entrent dans l'histoire. Les Américains Reilly Opelka et John Isner ont disputé le tie-break le plus long de l'histoire de l'ATP Tour depuis 1990, la nuit dernière à l'Open de Dallas. Opelka s'est finalement imposé 24-22.
Isner est officiellement devenu le match le plus long de l'histoire du tennis avec 11h05 de jeu, d'autres records ont également été battus durant ce match. Tout d'abord, la durée du 5ème set : 8h11, qui en fait le set le plus long jamais disputé ! Logique vue la durée du match…
Dans les tournois majeurs, les simples masculins peuvent s'étendre sur cinq manches (le gagnant est celui qui en remporte la majorité) et les simples féminins peuvent s'étendre sur trois manches (la gagnante est celle qui en remporte la majorité).
La vraie raison : il y a moitié moins de spectateurs pour les finales féminines que pour les masculines. Des joueuses rétorquent que l'intérêt du match serait plus intense en 5 sets et qu'il attirerait plus de monde. Elles militent ainsi pour des rencontres en 5 sets, au moins pour les finales.
Le premier joueur (ou première équipe) à atteindre 7 points remporte le set, à condition d'avoir au moins deux points d'écart (sinon le jeu se poursuit jusqu'à ce qu'il y ait deux points d'écart). Les joueurs doivent changer de côté tous les 6 points.
(Anglicisme) (Sport) Terme utilisé dans les sports de raquette tels que le tennis, le badminton ou encore le squash. Il peut être traduit par « nul » ou « balle à remettre », il est donné lorsque l'arbitre juge que le dernier point doit être rejoué. Le joueur a obtenu un let.
Il avance deux raisons à cela : « On fait rebondir sa balle pour se concentrer, cela permet de bien visualiser le terrain, l'adversaire, savoir où on va servir.
Au début du tie-break, le joueur qui sert servira dans la boîte de droite du court (le deux) et à la fin du point, l'autre joueur servira et se relaiera tous les 2 services à partir de ce moment.
Les échelons de cette série, du plus faible au plus élevé, sont : 40, 30/5, 30/4, 30/3, 30/2, 30/1. Ensuite, il y a la troisième série avec six classements : 30, 15/5, 15/4, 15/3, 15/2, 15/1. Puis la seconde série : 15, 5/6, 4/6, 3/6, 2/6, 1/6, 0, -2/6, -4/6, -15, les trois derniers étant des classements négatifs.
Le nombre 40 serait un raccourci de 45, trop long à prononcer. Quand les joueurs étaient à égalité à 40, l'avantage consistait à faire 5 pas supplémentaires. Une autre explication possible vient des paris d'argent, très fréquents pendant les rencontres de jeu de paume.
Vous entendrez une expression comme “Love Fifteen”. Vous pouvez probablement dire, d'après le déroulement du jeu, que “Love” signifie zéro.
Au Moyen Âge, rendu à égalité, l'arbitre déclarait « à deux », ce qui signifiait que les joueurs étaient à deux points (consécutifs) de gagner le jeu. Ce « à deux » emprunté par des bouches anglaises aux Français, prit la forme écorchée de « deuce ».