A quoi sont-elles dues ? Les études montrent que l'alcool perturbe fortement l'hippocampe, cette zone cérébrale qui joue un rôle de premier plan dans les processus de mémorisation. Le sujet vit des informations que son cerveau ne peut plus encoder pour les stocker sous forme de souvenirs à long terme.
L'alcool ne se contente pas de faire tourner la tête, voire de rendre malade. Il peut aussi influencer les processus de mémorisation. Si bien que certains se réveillent avec une gueule de bois et plus aucun souvenir de leur soirée. C'est ce qu'on appelle le black-out.
Boire rapidement beaucoup d'alcool entraîne des pertes de mémoire ponctuelles aussi appelées « trou noir » ou « black-out ». Le cerveau perd temporairement sa capacité à enregistrer les souvenirs même si on continue à agir et parler tout à fait normalement.
Symptômes. "Le syndrome de Korsakoff se manifeste par des troubles de la mémoire avec une amnésie dite " antérograde ", caractérisée par l'impossibilité de former de nouveaux souvenirs. Le malade oublie à mesure ce qu'on vient de lui dire ou ce qu'il a fait quelques instants plus tôt.
Selon une étude publiée dans Clinical Psychology Science et relayée par nos confères du New York Post, l'état d'ébriété d'un individu révèle sa réalité et sa vraie personnalité. Un test a été effectué sur un groupe de 156 participants volontaires.
Est-ce que quand on est bourré on dit ce qu'on pense ? Or, selon une récente étude, il n'a aucun effet sur nos comportements “moraux” : ivres, nous sommes bien nous-mêmes.
Il se définit dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM5) comme une accumulation pathologique et excessive des animaux de compagnie. On peut le comparer au syndrome de diogène, qui se caractérise par l'entassement d'objets jusqu'à remplir l'habitation.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences.
La démence fronto-temporale, qui désigne un groupe de démences, provient de troubles héréditaires ou spontanés (survenant pour des raisons inconnues) qui provoquent la dégénérescence du lobe frontal et parfois temporal.
Les troubles de la mémoire en général
Une consommation excessive d'alcool augmente les risques de troubles de la mémoire en général. Cela veut dire que cette consommation est à la fois dangereuse pour la mémoire à court terme et à long terme.
Certaines études montrent en effet que l'alcool augmente le taux de testostérone chez la femme. Cette hormone jouant un rôle important au niveau du désir, on peut facilement comprendre et expliquer le comportement aussi inhabituel qu'il soit.
Pour l'éviter, il suffit d'appliquer ces conseils simples : éviter de boire trop et trop rapidement, manger et alterner avec des boissons non-alcoolisées. Alcool info service est le service national d'aide à distance en matière d'alcool et de dépendances.
L'alcool engendre chez certains un comportement impulsif et agressif qui peut se convertir en un comportement automatique s'ils boivent trop d'alcool sur le long terme. Et il faut ajouter à cela les altérations que l'alcool peut causer au cerveau. Celles-ci réduisent encore plus la maîtrise de soi.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Des chercheurs de l'Université de Sussex en Angleterre, ont découvert que l'alcool agit sur la partie du cerveau liée à la mémoire. Selon cette étude, l'alcool accentue les souvenirs juste avant de commencer à boire et les diminue pendant et après la consommation d'alcool.
La tachypsychie pourrait se scinder en deux composantes : les « pensées accélérées » et les pensées dites « grouillantes ». Dans un état hypomane, la tachypsychie semble être caractérisée par des « pensées accélérées » résultant d'une production d'idées excessives se succédant les unes après les autres.
Types d'aphasie
Souvent, une alexie (perte de la capacité à lire les mots) est également présente. Aphasie expressive (motrice, non fluente ou de Broca): la capacité à produire les mots est altérée, mais la compréhension et la capacité à conceptualiser sont relativement préservées.
C'est un trouble de la communication qui peut se manifester dans l'expression et/ou la compréhension orale ou écrite. Le langage oral, la lecture, l'écriture et les gestes peuvent être perturbés.
Le syndrome de West ou spasmes infantiles associe, chez un nourrisson, des spasmes axiaux en salves, une détérioration psychomotrice et un tracé EEG intercritique hypsarythmique. C'est le type le plus fréquent d'encéphalopathie épileptique.
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
La personne qui souffre du syndrome de l'imposteur dépense trop d'énergie par rapport à la tâche qu'on lui demande de réaliser, elle montre un surinvestissement, ce qui lui permet d'attribuer son succès "éventuel" à une grande quantité de travail et non à ses compétences réelles.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.
L'alcool, comme n'importe quelle drogue, modifie nos perceptions car il agit sur le cerveau. Certains neurobiologistes le surnomment « la drogue sale » car il s'attaque à l'ensemble de l'organisme et non à une cible en particulier ou à un récepteur neuronal, comme c'est le cas, par exemple, avec la cocaïne.