Une consommation excessive d'alcool peut entraîner des lésions des nerfs et de certaines parties du cerveau. Lorsque les nerfs des bras et des jambes (nerfs périphériques. en apprendre davantage ) sont touchés, les personnes peuvent présenter une perte de sensation ou des picotements au niveau des mains et des pieds.
En cas d'alcoolisation chronique
L'éthanol agit sur les fibres nerveuses, au niveau de la gaine de myéline (la graisse formant la gaine des cellules nerveuses), et peut provoquer une atteinte de plusieurs nerfs, appelée polyneuropathie ou polynévrite, qui va toucher les deux membres inférieurs.
Symptômes de l'intolérance à l'alcool
Douleurs abdominales, diarrhées. Flush au visage (rougeur subite), bouffées de chaleur, sueurs, sensations thermiques perturbées. Urticaire et démangeaisons des extrémités (mains, pieds, oreilles), du torse, des fesses et des cuisses.
Les antalgiques, les antiépileptiques, le patch à la lidocaïne et les antidépresseurs tricycliques soulagent les douleurs neuropathiques. D'autres techniques peuvent également soulager le patient : la stimulation électrique transcutanée, l'acupuncture, l'hypnose, la relaxation…
En effet, l'alcool est un vasodilatateur. Autrement dit, il dilate les vaisseaux sanguins et favorise l'engorgement veineux. En cas de jambes lourdes, votre allié n'est pas le vin, mais la vigne rouge, une plante connue pour stimuler la circulation et que vous pouvez consommer sous forme d'infusion.
La consommation excessive d'alcool provoque une atrophie du cervelet ; celui-ci n'est donc pas capable de remplir sa fonction correctement. Les troubles sont généralement limités aux jambes. La personne a une démarche irrégulière et saccadée, elle écarte les jambes, et a des difficulté à marcher en ligne droite.
Aucune relation linéaire n'a été constatée entre la quantité d'alcool consommée et la probabilité de crampes aux jambes.
Lorsque des signes cutanés (éruption ou ulcérations) ou un syndrome de Raynaud sont associés à une neuropathie asymétrique, la piste de la vascularite auto-immune ou infectieuse est privilégiée. En revanche, une perte de poids, des ganglions, de la fièvre et des lésions expansives sont plutôt en faveur d'un cancer.
Diagnostic de la polynévrite. Une polynévrite sera suspectée en cas de déficits sensitifs diffus ou multifocaux et/ou de faiblesse musculaire sans hyperréflexie. Cependant, en cas de signes relativement diffus mais qui ont commencé de façon asymétrique, la cause peut être une mononeuropathie multiple.
Quels sont les signes de la polynévrite ? Au début, les patients se plaignent surtout d'engourdissements, de picotements, de douleurs neuropathiques (brûlures, décharges électriques…) ou une combinaison de ces symptômes qui commencent généralement de façon distale, dans les orteils, et remontent lentement vers le haut.
Cette dépendance se manifeste à travers des symptômes physiques de manque quand vous ne consommez pas (tremblements, sueurs, crises de tachycardie, hypertension, nausées, vomissements), mais elle est aussi psychologique, au point de ne plus arriver à vivre sans l'alcool.
Heureusement, il y a de bonnes nouvelles. Chez les personnes souffrant de stéatose hépatique, après seulement deux à trois semaines d'arrêt de consommation d'alcool, le foie peut guérir et semble fonctionner aussi bien que s'il était tout neuf.
La règle d'or est de choisir un alcool clair pour minimiser la gueule de bois. Alors si ces options semblent être les pires, ce sont en réalité les meilleures. J'ai nommé Vodka, Gin, et Saké. Plus un alcool est clair, moins il contient d'impuretés liées à la fermentation que notre corps a du mal à assimiler.
La carence en vitamine B6 peut également favoriser les convulsions en période de sevrage. La prise des vitamines B1 B6 permet de combler ces carences, de prévenir le risque de convulsions et de soutenir le fonctionnement du foie.
Syndrome cérébelleux
Les troubles de la marche les plus fréquents chez les malades alcooliques sont dus à des syndromes cérébelleux qui peuvent d'ailleurs coexister avec une neuropathie périphérique.
Plus d'humidité dans le corps entraîne une accumulation de liquide dans les pieds et les jambes. Un autre exemple est l'alcool. On ne s'y attend pas vraiment, mais en consommant de l'alcool, le corps retiendra également plus d'eau. Cela se produit surtout après avoir consommé de l'alcool.
Il existe autant de traitements que de causes possibles à la polynévrite. En cas de diabète ou d'alcoolisme, l'équilibrage de la maladie ou le sevrage limiteront l'évolution de la maladie. En cas de carence vitaminique, une cure de vitamine pourra être prescrite.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Les tumeurs au cerveau et à la moelle épinière peuvent causer des troubles du système nerveux au fur et à mesure qu'elles grossissent. Un lymphome non hodgkinien qui affecte le système nerveux central peut aussi causer des troubles du système nerveux.
Les troubles musculaires et articulaires
Les douleurs aux jambes peuvent également être provoquées par des troubles musculaires et articulaires tels que la fibromyalgie, l'arthrite et les douleurs musculaires. Ces douleurs sont souvent accompagnées de raideur et d'une limitation de la mobilité.
Brûlures, décharges électriques, démangeaisons, picotements en sont la signature, souvent associés à d'autres symptômes, troubles du sommeil, fatigue, anxiété, dépression et hypersensibilité, ou, au contraire, hyposensibilité.
À l'inverse, une consommation d'alcool excessive s'avère être un élément inflammatoire et donc potentiellement dangereux pour le corps humain. Une forte consommation d'alcool non contrôlée pourrait aggraver des affections telles que l'arthrite ou encore la goutte.
En effet, la consommation importante et répétée d'alcool provoque une réaction inflammatoire dans le cerveau qui participe au développement et au maintien de l'addiction, notamment en provoquant des changements d'activité neuronale dans les régions cérébrales associées à la dépendance, par exemple le circuit de la ...
Que celles qui ne se sont jamais réveillées avec le visage enflé un lendemain de veille lancent la première pierre! En effet, l'alcool agit en tant qu'inflammatoire sur le système et peut, par le fait même, causer des gonflements des joues, des paupières, des cernes et même des oreilles parfois!