Il vous est probablement déjà arrivé, au moins une fois dans votre vie, de ressentir un engourdissement, un picotement, ou un fourmillement au niveau du bras pendant la nuit. Cette sensation généralement indolore de "membre endormi" a un nom : laparesthésie.
Les médecins demandent également si la personne a présenté un trouble qui peut provoquer un engourdissement, particulièrement le diabète, une maladie rénale chronique, des infections (comme une infection par le VIH ou la maladie de Lyme), un AVC ou de l'arthrite.
Pour cela, n'hésitez pas à masser la zone engourdie. Prenez un peu d'huile d'olive, de l'huile de coco ou de l'huile de moutarde et appliquez sur la partie douloureuse. Faites ensuite des mouvements circulaires tout en procédant avec beaucoup de douceur. Effectuez ce massage pendant au moins 5 minutes.
Le mot engourdissement est utilisé par les patients pour désigner une perte de sensibilité complète ou partielle d'un membre, des sensations anormales, des fourmillements, une faiblesse voire une paralysie, mais dans ce cas le terme d'engourdissement est impropre.
Les causes des douleurs dans les bras la nuit
Dans la majorité des cas, les douleurs dans les bras la nuit sont dues à des blessures ou à des chocs traumatiques. La tendinite, la contusion à la suite d'un traumatisme, l'entorse ou encore la fracture peuvent être à l'origine de votre douleur.
En dehors des fourmillements sans gravité dus à un mauvais appui ou positionnement, la cause la plus fréquente est le syndrome du canal carpien : la compression du nerf médian au niveau du poignet entraîne ces sensations d'engourdissement et de fourmillements, notamment durant la nuit ou le matin au réveil.
L'apparition de fourmillements au niveau de la main et du bras fait partie des signes avant-coureurs de l'AVC et de l'ischémie cérébrale transitoire. Une prise en charge médicale rapide est indispensable si les fourmillements s'accompagnent d'autres symptômes comme des troubles de la parole et de l'équilibre.
Une sensation de décharges électriques, de brûlures ou de fourmillements qui ne s'accentuent pas avec l'effort. Une douleur qui apparaît soudain lors d'un effort, irradie dans le bras gauche et ne s'atténue pas au repos (dans ce cas il s'agit peut-être d'un infarctus du myocarde : consultez le plus vite possible)
Des fourmillements
Des fourmillement dans les mains et les pieds sont fréquents lors d'épisodes de stress intense. Ils sont dus à une accumulation de dioxyde de carbone dans le sang, au niveau des extrémités. C'est une manifestation physique en réponse à un danger potentiel.
En l'absence de traitement et si les symptômes perdurent, voire s'aggravent, le risque est que le nerf médian soit endommagé. Des troubles de la sensibilité tactile (hypoesthésie) et de la motricité (diminution de la force musculaire du pouce) apparaissent.
Le syndrome du canal carpien se traduit au début par des signes subjectifs comme les fourmillements, une sensation d'engourdissement et parfois des douleurs du pouce, de l'index et du médius, voire des douleurs ascendantes vers l'avant-bras et le coude. L'atteinte des 2 mains est très fréquente.
Des fourmillements peuvent apparaître "certainement à cause du manque de vitamine D et de son action sur les muscles". Cependant, l'experte ajoute que ces fourmillements peuvent également être dus à un manque de potassium ou de magnésium.
Le diagnostic de sclérose en plaques repose sur la présence d'une dissémination des lésions dans l'espace (au moins deux symptômes ou deux lésions à l'IRM dans des régions cliniques différentes) ainsi qu'une dissémination dans le temps (lésions d'âges différents sur l'IRM).
Dans 75% des cas, la sclérose en plaques commence par une poussée, c'est à dire l'apparition sur quelques heures à quelques jours de symptômes neurologiques, qui persistent généralement pendant quelques jours à quelques semaines puis disparaissent progressivement plus ou moins complètement.
Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
Une douleur intense au bras gauche, qui ne fluctue pas en fonction des changements de position et s'accompagne d'une sensation de malaise général, de sueurs, d'une pâleur, etc doit être considérée comme un signe d'infarctus du myocarde !
Elle peut irradier vers le bras gauche, l'avant-bras, avec parfois une sensation de serrement au poignet, dans le cou, la mâchoire inférieure, parfois dans le bras droit, la nuque, le dos ou la région de l'estomac.
Pour la contrer et rendre la situation plus confortable, le médicament sans ordonnance Toprec apporte du kétoprofène. Il s'agit d'un anti inflammatoire non stéroïdien (AINS), comme l'ibuprofène qui va stopper le processus à l'origine des douleurs.
Les myopathies inflammatoires se manifestent essentiellement par une faiblesse des muscles, une fatigabilité, des douleurs prédominant souvent à la racine des membres, aux bras et aux cuisses. Les douleurs peuvent être le jour ou la nuit, sans être en lien avec un effort musculaire au préalable.
La spondylarthrite ankylosante est une inflammation chronique des articulations, caractérisée par une atteinte du rachis et du bassin. Elle se manifeste par des poussées douloureuses entrecoupées d'accalmies. Elle peut parfois évoluer vers un enraidissement des articulations touchées.
Lors d'une crise d'arthrose, notamment au niveau des articulations du rachis, l'inflammation peut être à l'origine d'une altération du nerf. Par ce biais, il peut décharger et être à l'origine d'une symptomatologie nerveuse à type de picotements dans les bras, dans les mains ou dans les doigts et évoluant par poussées.
Les fourmillements sont appelés « paresthésies » par les médecins. C'est une sensation anormale à la surface de la peau en l'absence de stimuli c'est-à-dire sans que la peau ne soit au contact de quoi que ce soit. La paresthésie provoque une sensation semblable à celle de fourmis qui envahissent la surface de la peau.