L'orthopnée, ou dyspnée de décubitus, correspond à une gêne respiratoire voire à un essoufflement survenant au repos, en position allongée sur le dos, qui s'améliore en position assise ou debout.
La position allongée au moment de se coucher peut occasionner des difficultés à respirer pour certaines personnes. Durant le sommeil, le relâchement du corps et de ses différents muscles peut être à l'origine de l'apparition du syndrome d'apnées du sommeil.
Par ailleurs, le fait de dormir sur le dos pousse la langue à l'arrière de la bouche et favorise les épisodes d'apnée. Quant à la consommation d'alcool, d'opiacés ou de certains médicaments, elle peut aussi favoriser l'apnée en raison d'un effet relaxant sur les muscles.
L'apnée du sommeil est un syndrome caractérisé par la survenue d'épisodes anormalement fréquents d'interruptions (apnées) ou de réductions (hypopnées) de la respiration durant le sommeil. Ces pauses de respiration durent de 10 à 30 secondes, voire plus, et peuvent se répéter une centaine de fois par nuit.
La détresse respiratoire provoque l'impression de manquer d'air. Il s'agit d'une sensation très angoissante qui s'accompagne souvent de panique. Cette affection est généralement liée à une affection pulmonaire ou cardiaque.
Dormir en bonne position
Il est conseillé pour des raisons anatomiques de dormir sur le côté afin d'élargir au maximum les voies respiratoires. Surélever légèrement la tête du lit peut aussi permettre d'éviter les apnées.
La dyspnée est une sensation de respiration désagréable et gênante. Elle est ressentie et décrite de manière différente par les patients en fonction de la cause.
On pense que le stress et l'anxiété en sont à l'origine, mais il peut aussi se manifester chez les personnes souffrant de maladies, comme l'apnée du sommeil ou la maladie de Parkinson, ou ayant des antécédents familiaux de bruxisme.
Le symptôme de l'asthme le plus fréquent est la crise d'essoufflement aiguë. Mais l'asthme peut également se traduire par : une sensation d'oppression au niveau de la cage thoracique, une difficulté à respirer profondément, une respiration sifflante, un essoufflement à l'effort ou une toux qui ne passe pas.
Vous allez porter une canule nasale, ceci nous permet de surveiller votre respiration et de déterminer s'il y a une réduction ou une obstruction de votre débit d'air — c'est-à-dire une apnée. Cela nous indiquera également si vous ronflez, un signe commun d'AOS.
L'immobilité corporelle est une des caractéristiques comportementales du sommeil. On regroupe sous le nom de parasomnies un groupe d'affections qui se caractérisent par des comportements anormaux et des expériences indésirables se produisant à l'endormissement ou pendant le sommeil.
L'apnée du sommeil est provoquée par l'obstruction des voies supérieures aériennes dont les causes peuvent être multiples : dilatation du pharynx, obstruction des voies nasales, augmentation de la taille des amygdales, de la langue ou de la luette.
Position assise
Placez les deux pieds sur le sol. Penchez légèrement la poitrine vers l'avant. Posez les coudes sur les genoux. Appuyez le menton sur vos mains.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
L'apnée du sommeil ou syndrome d'apnées–hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) est un trouble de la ventilation nocturne dû à la survenue anormalement fréquente de pauses respiratoires. Ce syndrome est dû à des épisodes répétés d'obstruction des conduits respiratoires de l'arrière gorge.
Pensez à respirer et à vous relaxer car «le stress est de loin le premier facteur qui explique les battements ressentis», assure le Dr Kouakam. Mais même au repos, une tisane à la main et prêt à dormir, le cœur peut «s'emballer». La faute au surmenage ou au manque de sommeil.
La cataplexie est la perte soudaine du tonus musculaire sans que la personne perde connaissance. Les personnes narcoleptiques ressentent également parfois des hallucinations ou des paralysies du sommeil de quelques secondes, au réveil ou en s'endormant.
Pendant cette phase d'endormissement, nos muscles se relâchent. Notre cerveau interprète parfois cette sensation comme une chute, ce qui déclenche une contraction musculaire. Les secousses hypniques, également appelées sursauts du sommeil, peuvent se produire sans raison mais révèlent parfois un problème sous-jacent.
La narcolepsie est un trouble du sommeil marqué par une somnolence excessive pendant la journée ou récurrente, des épisodes irrésistibles de sommeil pendant les heures de veille normales, généralement avec des épisodes soudains et passagers de faiblesse musculaire (cataplexie).