Le cannabis entraîne une tendance à la paranoïa chez certaines personnes. Le cannabis entraîne chez certaines personnes une tendance à court terme à la paranoïa, selon une étude publiée dans la revue Schizophrenia Bulletin . Certains facteurs psychologiques favorisent cette réaction.
Sur le plan neuro-psychiatrique, la cocaïne est bien plus forte que les opiacés. Elle entraîne une altération de l'humeur et de la relation aux autres avec des comportements psychiatriques et sociaux impossibles à gérer. Elle rend les personnes paranoïaques et agressives.
Il s'agit d'une réaction d'angoisse ou de panique qui se déclenche face aux effets d'une consommation. Les produits psychédéliques (cannabis, LSD, champignons, pilules d'XTC, certaines drogues synthétiques) sont plus susceptibles d'entraîner un bad trip, car ils agissent principalement au niveau des perceptions.
Il faut être attentif aux arrêts respiratoires et à l'état de conscience : surveiller la respiration, vérifier la température, la réveiller de temps en temps. Ne pas hésiter à appeler les secours en cas de doute sur l'état de la personne.
Au niveau physique par des nausées, vomissements, des tremblements, des sueurs, une augmentation soudaine du rythme cardiaque, une pâleur, la salive extrêmement pâteuse, des palpitations, etc. Dans la plupart des cas, les symptômes s'estompent avec les effets du produit.
En effet, lorsque l'on fume, il y a une intoxication au monoxyde de carbone et vous inhalez 4000 substances toxiques. Cela provoque entre autre une accélération du rythme cardiaque qui peut être perçue comme une sensation de stress, d'angoisse...
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend.
les yeux dans le vague, les pupilles dilatées ; l'effet dure plusieurs heures ; un état somnolent, une lenteur dans ses mouvements ; dans le cas des fumeurs quotidiens, on peut observer le bout des doigts jaunis par la résine.
Comment éviter les crises blanches
Consommer en étant à jeun, par exemple, de même que la combinaison avec d'autres substances, en particulier l'alcool. Un autre point est la quantité de THC (et autres cannabinoïdes) apportée à notre organisme, de même que la vitesse à laquelle se fait cet apport.
Contraction du terme "ecstasy", substance psychostimulante, supposée aider à éprouver l'"extase". Drogue.
Camisole réalisée à partir d'une étoffe de laine grise.
La première utilisation documentée d'un joint remonte à environ 1850 au Mexique. Un pharmacien de l'Université de Guadalajara a découvert que les travailleurs agricoles mélangeaient de la weed avec du tabac dans leurs cigarettes.
Lorsque la consommation devient régulière et accrue, cela peut mener à des troubles dépressifs, des troubles pulmonaires et rénaux ainsi que de la paranoïa. Éventuellement, il y a des risques d'idées noires et même suicidaires (6).
Concentration et mémoire
C'est le cas du cannabis et de l'ecstasy. En effet, la molécule de THC (tétra-hydro-cannabinol) contenue dans le cannabis diminue considérablement les performances de mémorisation et de concentration d'une personne.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
La spasmophilie est une trop grande sensibilité émotionnelle qui se manifeste par une crise subite, regroupant un ensemble de symptômes (vertiges, contracture des doigts, par exemple) qui inquiètent celle ou celui qui en est victime. Pour les psychiatres, la spasmophilie est une manifestation des troubles anxieux.
Le tabac n'est pas un bon antidépresseur parce qu'il faut le prendre plusieurs fois par jour, parce qu'il a beaucoup d'effets indésirables... Lorsque l'on a des gros soucis, il est impossible d'arrêter de fumer. "Il est possible d'arrêter de fumer si l'on trouve d'autres moyens pour gérer ces gros soucis.
Le malaise cannabique, auquel on fait aussi référence sous les appellations de « blanchette beuh », « greening out » ou bien encore le « coma fumylique », fait tout simplement référence aux effets physiques secondaires ressentis après avoir consommé trop de THC en une fenêtre de temps trop courte.
COMMENT STOPPER UN BAD TRIP
Tout d'abord, éloignez-vous de vos amis pendant un petit moment et asseyez-vous dans un endroit tranquille. Prenez une boisson sucrée ou juste un peu d'eau. Relaxez-vous et essayez de respirer lentement et profondément.
Le CBD peut contenir du THC, qui est le principe psychoactif présent dans le cannabis et qui peut jouer un rôle dans le déclenchement d'un "bad trip". Ceci est possible en cas de consommations ponctuelle ou habituelle.