L'apnée dite « obstructive » du sommeil cause la fermeture partielle ou totale des voies respiratoires pendant le sommeil. Une personne qui souffre de ce type d'apnée pourrait donc se réveiller en sursaut avec la sensation d'étouffement.
Le blocage peut être attribuable au relâchement des muscles de la gorge ou de la langue, à une mauvaise posture, à des voies aériennes étroites, à une déviation du septum nasal, à une langue de grande taille, à une respiration diaphragmatique inadéquate ou à un excès de tissus graisseux dans la gorge.
En provoquant de multiples micro-éveils pendant la nuit, l'apnée fragmente le sommeil et perturbe fortement sa qualité. Mais ce trouble favorise aussi l'émergence de diverses maladies. Les arrêts de la respiration provoquent une sensation d'étouffement, ce qui engendre une grande tension pour l'organisme.
Dans le cas le plus fréquent, le laryngospasme est une conséquence du syndrome du reflux gastro-oesophagien ou RGO. En cas de reflux gastro-œsophagien, des sucs gastriques fortement acides vont refluer et provoquer une irritation chronique de l'œsophage et du larynx.
Cette sensation est probablement due au relâchement musculaire qui se produit lors du passage de la veille au sommeil. Rien de grave toutefois: aucune pathologie n'a jamais été associée à cet effet que les médecins nomment la «myoclonie d'endormissement».
L'immobilité corporelle est une des caractéristiques comportementales du sommeil. On regroupe sous le nom de parasomnies un groupe d'affections qui se caractérisent par des comportements anormaux et des expériences indésirables se produisant à l'endormissement ou pendant le sommeil.
La lipothymie est une sensation passagère de malaise qui n'aboutit pas à la perte de connaissance totale.
Dormir en bonne position
Il est conseillé pour des raisons anatomiques de dormir sur le côté afin d'élargir au maximum les voies respiratoires. Surélever légèrement la tête du lit peut aussi permettre d'éviter les apnées.
Les symptômes de la crise d'angoisse nocturne ne sont pas toujours aussi violents, mais la peur est toujours là. C'est donc une situation très désagréable à vivre. Et si les crises se répètent, l'angoisse nocturne agit aussi sur l'endormissement, qui devient difficile : on a peur de vivre une nouvelle crise si on dort.
Ronflements, sommeil agité, troubles de la respiration nocturne, somnolence dans la journée, fatigue, sont des symptômes évocateurs d'apnée du sommeil. Le diagnostic est confirmé par un enregistrement du sommeil qui précise également le degré de sévérité du syndrome d'apnée du sommeil.
Angoisse nocturne symptômes
Symptômes physiques : En général, les personnes souffrant d'anxiété nocturne présentent souvent des symptômes physiques tels que des palpitations cardiaques accrues, des difficultés à respirer, une transpiration accrue ou même des vertiges.
La détresse respiratoire provoque l'impression de manquer d'air. Il s'agit d'une sensation très angoissante qui s'accompagne souvent de panique. Cette affection est généralement liée à une affection pulmonaire ou cardiaque.
L'apnée du sommeil ne disparaît pas, c'est une maladie chronique. Rarement, certaines interventions chirurgicales peuvent diminuer l'apnée du sommeil, mais elles ne sont pas couramment pratiquées et sont associées à des complications potentielles.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
L'anxiété généralisée perturbe surtout l'endormissement. Les attaques de panique peuvent, elles, être associées à des réveils au milieu de la nuit, avec le cœur qui bat et une sensation de mort imminente. Les recommandations pour le traitement sont aussi très claires : donner le moins possible de tranquillisants.
La spasmophilie est une trop grande sensibilité émotionnelle qui se manifeste par une crise subite, regroupant un ensemble de symptômes (vertiges, contracture des doigts, par exemple) qui inquiètent celle ou celui qui en est victime. Pour les psychiatres, la spasmophilie est une manifestation des troubles anxieux.
Essoufflement, difficulté à respirer, oppression, fatigue... c'est peut-être un pneumothorax. Cette maladie désigne une affection de la plèvre, la fine enveloppe qui entoure les poumons.
Quels sont les signes de dysphagie? Une lenteur à s'alimenter ou l'augmentation de la durée des repas. Des aliments qui restent en bouche ou qui sont difficiles à propulser vers la gorge. Un écoulement de salive ou nourriture hors de la bouche.
La dyspnée est une sensation de respiration désagréable et gênante. Elle est ressentie et décrite de manière différente par les patients en fonction de la cause.
crise comitiale : survenue de manifestations cliniques transitoires, en raison d'une hyperactivité paroxystique d'un groupe de neurones ; perte de connaissance : il s'agit d'un trouble de la conscience avec perte de contact, sans communication possible.
Les causes possibles sont : la sclérose en plaque, l'accident vasculaire cérébral, les maladies inflammatoires et dégénératives du système nerveux central, la maladie de Parkinson.
"Certaines personnes peuvent exprimer leur stress par un malaise vagal. Le stress devient problématique quand il est chronique et provoque un épuisement. Et un phénomène vagal peut survenir. Un malaise va être ressenti comme très inquiétant et aller jusqu'au malaise vagal.
La narcolepsie est un trouble du sommeil marqué par une somnolence excessive pendant la journée ou récurrente, des épisodes irrésistibles de sommeil pendant les heures de veille normales, généralement avec des épisodes soudains et passagers de faiblesse musculaire (cataplexie).
Enfin, pour éviter les troubles du sommeil paradoxal, adoptez une bonne hygiène de vie, une bonne position de sommeil (dormir sur le côté) et surtout une bonne literie. C'est prouvé, un bon matelas au soutien parfait influe directement sur la qualité du sommeil.
Le traitement du trouble du comportement en sommeil paradoxal repose sur le clonazépam de 0,5 à 2 mg par voie orale au coucher.