Prendre le temps de bien respirer rendra votre prise de parole plus fluide et plus intelligible. Une respiration calme et profonde est essentielle pour prendre la parole. On parle de respiration abdominale ; respirer « avec le ventre » fluidifie les mouvements du diaphragme.
Il est donc clair que les émotions vont avoir un rôle important sur la voix et sur la perte de la voix. C'est ce qu'on appelle les dysphonies psychogènes ou psycho-dysfonctionnelles.
Un stress permanent peut entraîner des insomnies et des difficultés à bien dormir. Le sommeil non réparateur va donc affaiblir votre corps. Comment savoir quand votre corps ne supporte plus le stress ? À partir du moment où vous développez des séquelles d'un épuisement mental et physique que l'on nomme le burn out.
Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de la peur de parler en public sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées. Dans certains cas on retrouve des événements traumatisants dans les antécédents, dans la vie familiale ou scolaire.
des frissons ou des bouffées de chaleur, voire des sueurs abondantes ; des tremblements ou des secousses musculaires, des engourdissements, des picotements ou fourmillements ; des sensations de dérobement des jambes (impression qu'elles vont "lâcher" et que l'on va tomber).
Mécanismes physiologiques du stress : alarme, résistance, épuisement. Dès sa confrontation à une situation évaluée comme stressante, l'organisme réagit immédiatement en libérant des catécholamines (hormones produites par la glande médullo-surrénale, dont l'adrénaline).
Vous êtes probablement atteint de glossophobie si vous avez les symptômes suivants : Vous évitez des événements qui vous forceraient à parler en public. Vous sentez des détresses physiques, des nausées, vos jambes tremblent… Avant de parler, vous ressentez une puissante anxiété presque paralysante.
"Tous ceux qui coupent la parole aux autres de façon systématique, agissant tels des envahisseurs, ont un déficit dans la capacité à s'intéresser à autrui, à penser qu'ils peuvent apprendre quelque chose de l'autre ou à être curieux de ce qui se passe dans la tête de l'autre.
Ce type de dommage au cerveau est associé à un certain nombre de problèmes de santé, notamment les troubles dépressifs et anxieux, ainsi que la perte de mémoire et la démence. Donc, n'oublie pas : un peu de stress est bénéfique, mais trop de stress peut être nocif avec le temps!
Lorsque le seuil d'une anxiété modérée est dépassé, l'anxiété forte entrave ce que nous sommes en train de faire et nous la ressentons comme une vraie souffrance. - Quand elle se prolonge. L'anxiété peut devenir permanente et envahissante. Elle empêche alors de vivre normalement et ne laisse plus de répit.
L'exposition prolongée ou répétée à l'agent stressant épuise les capacités énergétiques de l'organisme, le taux de glucose dans le sang est au plus bas, les cellules ne sont plus nourries : l'état d'épuisement est atteint. L'état d'épuisement devient un terrain propice au développement des maladies.
L'enrouement correspond à une altération de la voix ou dysphonie. Généralement sans gravité, il est souvent lié à une infection virale. S'il persiste, il peut être dû à un surmenage des cordes vocales, à une laryngite chronique, voire à une tumeur bénigne ou maligne.
Dans tous les cas, une simple extinction de voix qui dure plus d'une semaine doit amener à consulter un ORL. Ce conseil est également valable en cas de voix bitonale (à deux tons) ou de douleurs à l'oreille associées.
Il peut s'expliquer par une ampoule sur les cordes vocales (appelé nodule, dû à une mauvaise utilisation de sa voix par exemple), par un œdème (dû au tabac par exemple), par un virus (une laryngite par exemple) ou encore par la paralysie d'une corde vocale (survenant parfois sans raison apparente).
La glossophobie est souvent liée à de mauvaises expériences passées lors d'une prise de parole en public, notamment à la suite d'une invitation à parler à un groupe sans préparation préalable. En effet, si cela ne s'est pas bien déroulé, la crainte de parler en public peut alors surgir et rester ancrée sur la durée.
Se concentrer sur le moment présent
Pour se situer dans le présent, le plus simple est de porter une attention particulière à ses sensations corporelles, et de se concentrer par exemple sur sa respiration (en favorisant la respiration ventrale qui a un effet apaisant) ou sur l'ancrage de ses pieds au sol.
Apaisement et bien-être : le silence peut être une marque de sérénité, il est nécessaire pour soi-même ou en couple, permettant de profiter de l'indicible, de l'inaudible. De la même façon que l'on se tait devant un beau paysage, on peut avoir besoin de se taire dans certaines situations particulièrement bienheureuses.
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.
- Le cerveau et en particulier l'hypothalamus. - Des glandes hormonales comme l'hypophyse et les glandes surrénales.
Le stress a des effets physiques : le souffle coupé, le cœur qui bat plus vite, la pression artérielle qui augmente. Il y a deux types de stress : le stress aigüe et le stress chronique. Le stress aiguë est normal, il survient quand un événement imprévu arrive.
une pression routinière, au travail, à l'école, dans la famille ou encore pour tout autre responsabilité ; un stress provoqué par un changement soudain et imprévu, tel qu'un divorce, un changement de travail ou encore l'apparition d'une maladie ; un épisode traumatique : une catastrophe naturelle, un attentat, etc.
Il convient de consulter dès lors qu'on ressent un état d'anxiété excessif au regard de la situation vécue, qui entraîne des symptômes psychiques et physiques de type fatigue, agitation, irritabilité, sueurs, nausées, sensation de boule dans la gorge, tremblements, contractions musculaires, douleurs musculaires, maux ...