"La toux peut également provoquer des maux de tête. En effet, la pression exercée lorsque l'on tousse ou éternue entraîne des douleurs au niveau du cuir chevelu qui devient particulièrement sensible. Assurez-vous d'en parler avec votre médecin ! »
Qu'est-ce qui cause les maux de tête liés à la toux ? Si la tête vous fait mal quand vous tousser c'est à cause de la pression accrue dans la poitrine et l'estomac. Certaines autres raisons qui peuvent déclencher des maux de tête sont : Toux due au rhume, aux allergies ou aux infections comme la grippe.
Céphalées de tension et stress
Les céphalées dues au stress apparaissent souvent en fin de journée, quand la fatigue s'ajoute au stress et donne une impression de pression dans la tête. Ainsi dans certains cas, des céphalées fréquentes peuvent être le signe d'alerte d'un état de surmenage.
Les céphalées de tension débutent souvent dans la nuque, puis remontent dans le crâne, touchant généralement les deux côtés de la tête. Les céphalées de tension peuvent à première vue sembler difficiles à distinguer de la migraine – mais la situation s'éclaircit rapidement au vu de certains paramètres.
Les maux de tête les plus fréquents sont les céphalées de tension et les migraines. En fonction de leur cause, les maux de tête peuvent être accompagnés par d'autres signes : fièvre, rhume, nausées, etc. Dans certains cas, les maux de tête peuvent être le signe d'une maladie grave.
en première intention, un scanner (ou tomodensitométrie - TDM). Il est efficace pour repérer 80 % des tumeurs. Le scanner permet de confirmer ou non la présence d'une tumeur et, le cas échéant, de préciser sa position et sa taille. Le scanner permet d'obtenir des images du cerveau grâce à des rayons X.
Le développement d'une tumeur du cerveau entraîne parfois des maux de tête, qui apparaissent plutôt le matin au réveil et s'accompagnent souvent de nausées, voire de vomissements.
C'est la pression intracrânienne (PIC). Quand la pression augmente dans le crâne, on parle d'hypertension intracrânienne (HTIC). La HTIC est un trouble grave qui doit être traité immédiatement. On peut aussi dire que c'est une enflure du cerveau ou un œdème cérébral.
Les atteintes des nerfs sensitifs provoquent des troubles variés. Ils comprennent des fourmillements aux doigts des mains ou des pieds, un engourdissement, une sensation de coups d'aiguilles, de décharges électriques. Les douleurs peuvent prendre la forme d'une sensation de brûlure ou de broiement.
Elle est souvent « pulsatile » : le patient a une sensation de « cœur qui bat dans la tête », « coups de marteau » ou parfois « de serrement ou d'écrasement ». L'intensité de la douleur est augmentée par un effort physique (marcher, monter les escaliers…).
La névralgie d'Arnold est une affection neurologique caractérisée par la compression ou l'inflammation d'un nerf crânien, le nerf grand pectoral. C'est une affection douloureuse qui peut entraîner des symptômes tels que des fourmillements, des picotements ou une sensation de brûlure dans le bras et la main.
Si votre mal de tête s'aggrave au cours du temps ou qu'il ne cède pas au traitement habituel ou qu'il s'accompagne d'autres symptômes comme des vomissements, des douleurs musculaires, de la fatigue, des troubles de la mémoire ou une baisse de la vision, il convient de consulter son médecin traitant au plus vite.
La sinusite aiguë ou chronique entraîne une symptomatologie similaire, dont une rhinorrhée purulente, une pression et une douleur du visage, une congestion nasale avec obstruction, une hyposmie, une halitose et une toux productive (en particulier nocturne).
Inspirez profondément par le nez. Toussez deux fois, la bouche légèrement entrouverte. La première fois, pour faire décoller les sécrétions ; la seconde fois, pour faire monter les sécrétions dans votre gorge.
La raison principale réside dans la diminution de l'humidité dans l'air. Plus l'air est humide, plus il est conducteur d'électricité. Quand l'air est plus sec en hiver, il devient plus isolant et, l'électricité circulant moins bien, notre corps emmagasine davantage de charge électrique.
Les premiers symptômes de l'algodystrophie sont souvent une douleur et une raideur dans la zone touchée par l'accident. Ces symptômes peuvent ensuite s'étendre à d'autres zones du corps, provoquant des douleurs diffuses et une fatigue générale.
L'algodystrophie se caractérise par l'association de douleur, oedème, raideurs articulaires, modification de température et d'aspect de la peau, des ongles, des poils. Les signes cliniques se manifestent au-delà de la zone opérée ou traumatisée mais restent latéralisés et limités au seul membre.
Manger, bouger… La pratique d'une activité physique régulière pendant 30 minutes est essentielle pour garder la forme. Un sport comme la marche rapide, le vélo ou la natation par exemple, permet de réguler la pression artérielle, à l'effort comme au repos, et favorise la perte de poids.
Résumé L'hypertension intracrânienne (HIC) est définie par l'existence d'une pression intracrânienne supérieure à 15 mmHg de façon durable. Les signes cliniques révélant une HIC sont, avant tout, des céphalées rebelles aux antalgiques, des vomissements en jet et des troubles visuels (oedème papillaire, diplopie).
Mais faut-il aussi boire plus d'eau pour diminuer la tension ? Ce n'est pas l'eau en tant que telle qui fait varier la pression mais les minéraux qu'elle contient. Ainsi, une consommation régulière d'eau minérale riche en calcium, en potassium et en magnésium pourrait diminuer la tension artérielle.
L'IRM est le premier examen à réaliser pour détecter une tumeur cérébrale. Pour des raisons pratiques, elle est souvent précédée ou complétée par un scanner (pour lequel on obtient souvent un rendez-vous plus rapidement).
Les cancers des VADS représentent environ 6 % de tous les cancers. Plus de la moitié touchent les lèvres, la bouche et le pharynx (près de 14 000 nouveaux cas par an), plus rarement, l'œsophage (environ 5 500 cas), le larynx (environ 3 200 cas) ou les fosses nasales / sinus / oreilles (800 cas).
L'exposition externe à de fortes doses de rayonnements ionisants constitue le seul facteur de risque avéré des tumeurs cérébrales ( Inserm , 2008).