Pour que le g se prononce « je » devant « a, o, u », il faut mettre un « e » après le « g » : une orangeade, la rougeole,… devant « e, i, y » : le g se prononce « je » : une page, la gélatine, une girafe.
Quand la lettre g est placée devant une consonne, elle se prononce [g]. Il existe cependant une exception devant le n : la lettre g se prononce [ɲ]. Pour obtenir le son [ʒ] devant a, o et u, et il faut mettre un e après la lettre g. Devant les voyelles e, i et y la lettre g se prononce [ʒ].
Il y a 3 manières d'écrire le son [ʒ] : – avec la lettre « j » devant toutes les voyelles en début ou milieu de mots. – avec la lettre « g » devant les voyelles e (e, é, è, ê), i, y. – avec les lettres « ge » devant les voyelles a, o, u.
Devant les voyelles e et i, il faut écrire gu : une guenon, une guitare. La lettre g se prononce [j] lorsqu'elle est suivie de e, i et y : un singe, une girafe, la gymnastique. Devant les voyelles a et o, il faut écrire ge : la mangeoire, l'orangeade. Le son [j] peut aussi s'écrire avec un j : jouer, juste, joyeux.
La lettre y se lit 2 fois, une fois avec chaque syllabe. Exemple : un « rayon » se lit rai-ion. Dans de nombreux verbes, le son [j] s'écrit avec la lettre y.
Antonio de Nebrija en 1517, par son ouvrage « Règles d'orthographe en langue castillane », puis Gian Giorgio Trissino en 1524, par ses « Épîtres sur lettres nouvellement ajoutées à la langue italienne » sont les premiers à avoir fait adopter l'usage des lettres J et U dans leurs pays respectifs.
Attention à ne pas confondre le son [j] avec le son [i]. En phonétique, on appelle le son [j] le yod. Pour prononcer ce son, dîtes rapidement « i e i e i e i e i e », vous finirez par entendre le son [j] de cette manière !
C'est au grammairien lyonnais Meigret, qui publia en 1542 un Traité de l'écriture française, et qui avait en vue une notation phonétique plus exacte, qu'on attribue la distinction de l'i et du j.
Le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son sujet : Lorsque le sujet est au singulier, le verbe se conjugue au singulier. Lorsque le sujet est au pluriel, le verbe se conjugue au pluriel. Lorsque qu'il y a plusieurs sujets, le verbe se conjugue au pluriel.
Tout d'abord, concentrez-vous sur le sujet de votre phrase. Dans cette phrase, le sujet est « vous », on doit donc conjuguer le verbe à la deuxième personne du pluriel et ajouter la terminaison -ez : vous comptez. Ensuite, selon la règle, les verbes qui suivent ce verbe conjugué se mettent à l'infinitif.
Petit rappel : Le son g s'écrit différemment selon la lettre qu'il précède. Il s'écrit gu devant les voyelles e, é, è, ê, i et y.
C'est pareil si on ajoute un mot entre le sujet je et le verbe : ce mot ajouté n'a pas d'influence sur la terminaison. Ainsi, on écrit je vous mets le document en pièce jointe , je vous mets en demeure , je me mets à ta place , je te mets au courant .
La lettre g se prononce différemment devant a, o, u et e,i. Devant a, o et u → gu comme dans gare. Devant i et e → je comme dans génial. La lettre c se prononce différemment devant a, o, u et e,i.
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
Ici, on dit « Magui »
Non, ici, on prononce « Magui ». « Je n'ai jamais entendu quelqu'un prononcer « magi », à part dans la pub' », confirme Zuzanna, 26 ans, alsacienne pure souche. « Les vrais Alsaciens disent toujours « Magui ».
Car ils ont privilégié l'étymologie. Le terme “seconde” vient en effet du latin secundus, qui veut dire « suivant », or secundus prend un C. C'est ainsi que le G fut remplacée par un C, pour se conformer à la racine latine.
Les verbes pronominaux suivants n'ont jamais de C.O.D. ; ils sont donc toujours invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se sourire, se succéder, se ressembler, se parler, se nuire, se survivre, se suffire, se convenir.
L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « être » L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « avoir » L'accord du participe passé avec les verbes pronominaux. L'accord du participe passé avec un infinitif.
Évolution du glyphe
Le zéro a été inventé vers le V e siècle en Inde. L'astronome et mathématicien Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien et il invente alors un signe pour l'absence, donc ouvrant le chemin de la représentation à ce qui n'était pas représentable et quantifié jusque-là.
Le héros Palamède, d'après la légende grecque, aurait inventé le jeu de dés dans le but de distraire ses compagnons durant le siège de Troie.
L'ABC (alphabet latin)
L'arrangement musical est attribué à Louis Le Maire (parfois Lemaire), un compositeur du XVIII e siècle. Le thème serait celui utilisé par Wolfgang Amadeus Mozart pour ses Douze variations en do majeur pour piano sur « Ah ! vous dirai-je, maman ».
Pour que le g se prononce « gue » devant « e, i, y », il faut mettre un « u » après le « g » :une figue, une guitare,…
En français, le son [g] peut être transcrit par différentes graphies : g, gu, gg, gh et c. Cependant, les graphies g et gu sont les plus courantes pour écrire ce son, les autres variantes graphiques étant d'emploi beaucoup plus rare.
L'alphabet phonétique international (API) est un système de transcription qui représente tous les sons de toutes les langues. Dans ce système, chaque symbole (ou signe) correspond à un seul son, et chaque son, à un seul symbole. On ne tient pas compte des différentes graphies qui peuvent représenter un son à l'écrit.